C’est un lieu d’échanges qui aspire à promouvoir une approche collaborative entre les acteurs économiques, les représentants des entreprises et l’État. Ce lundi en fin de journée, la première réunion de la Cellule économique Corse était organisée à Ajaccio par la préfecture de Corse, en partenariat avec les acteurs économiques et institutionnels du territoire que sont Collectivité de Corse, l’Agence de Développement Économique de la Corse, les chambres consulaires, les services de l’État, l’Ursaaf, les tribunaux de commerce, les avocats, ou encore les représentants professionnels tels que le Medef et l’U2P, et les représentants sectoriels du tourisme (l’UMIH et le GHR) et du BTP (la FRBTP et la CAPEB).
« Cette cellule économique Corse correspond à une attente très forte que l’on entend depuis des mois et qui avait notamment été formulée à la ministre Catherine Vautrin lorsqu’elle était venue », indique le préfet de Corse, Jérôme Filippini, en précisant que cette dernière vise à avancer dans la prévention et l’accompagnement des entreprises de l’île, en créant une dynamique régionale nouvelle qui structure les efforts pour accompagner les entreprises en difficulté, promouvoir la prévention, favoriser le développement et la résilience économique insulaire. « Cette première réunion a permis de faire un état des lieux afin de voir quelle est la situation globale de l’économie en Corse. Nous avons eu des échanges très intéressants pour partager le diagnostic entre la froideur des statistiques et la réalité des entreprises, car parfois les statistiques disent que cela ne va pas si mal, mais cela ne reflète pas la réalité », ajoute-t-il en précisant : « La situation économique de la Corse mérite une attention forte de la part de tous les acteurs. Elle n’est ni inquiétante, ni totalement rose ».
Afin de pas attendre une dégradation de la situation, dans une seconde partie de réunion, les échanges ont porté sur les réponses à apporter aux entreprises. « Il y a des dispositifs qui existent déjà mais qui sont parfois mal connus », souligne le préfet de Corse, « Il faut inciter les chefs d’entreprises qui sont en difficulté à aller le plus tôt possible au contact de leur fédération professionnelle, ou de la DRFIP, ou de l’Ursaaf ou encore du tribunal de commerce, car plus vite on va voir ces interlocuteurs, plus on de chance de s’en sortir ».
De son côté le président de l’Exécutif, Gilles Simeoni s’est félicité de ces premiers échanges. « Sur le principe, il est toujours bien d’avoir un espace où l’on va pouvoir confronter les données, les analyser et essayer d’avoir un diagnostic partagé. Cela permettra de poser au fond le débat économique et social qui est essentiel », a-t-il indiqué à l’issue de la réunion.
La cellule économique de Corse devrait se réunir plusieurs fois par an, avec des réunions qui s’intéresseront plus spécifiquement à des secteurs et filières. Il est déjà notamment prévu un travail sur le BTP, le tourisme et l’agro-alimentaire.
« Cette cellule économique Corse correspond à une attente très forte que l’on entend depuis des mois et qui avait notamment été formulée à la ministre Catherine Vautrin lorsqu’elle était venue », indique le préfet de Corse, Jérôme Filippini, en précisant que cette dernière vise à avancer dans la prévention et l’accompagnement des entreprises de l’île, en créant une dynamique régionale nouvelle qui structure les efforts pour accompagner les entreprises en difficulté, promouvoir la prévention, favoriser le développement et la résilience économique insulaire. « Cette première réunion a permis de faire un état des lieux afin de voir quelle est la situation globale de l’économie en Corse. Nous avons eu des échanges très intéressants pour partager le diagnostic entre la froideur des statistiques et la réalité des entreprises, car parfois les statistiques disent que cela ne va pas si mal, mais cela ne reflète pas la réalité », ajoute-t-il en précisant : « La situation économique de la Corse mérite une attention forte de la part de tous les acteurs. Elle n’est ni inquiétante, ni totalement rose ».
Afin de pas attendre une dégradation de la situation, dans une seconde partie de réunion, les échanges ont porté sur les réponses à apporter aux entreprises. « Il y a des dispositifs qui existent déjà mais qui sont parfois mal connus », souligne le préfet de Corse, « Il faut inciter les chefs d’entreprises qui sont en difficulté à aller le plus tôt possible au contact de leur fédération professionnelle, ou de la DRFIP, ou de l’Ursaaf ou encore du tribunal de commerce, car plus vite on va voir ces interlocuteurs, plus on de chance de s’en sortir ».
De son côté le président de l’Exécutif, Gilles Simeoni s’est félicité de ces premiers échanges. « Sur le principe, il est toujours bien d’avoir un espace où l’on va pouvoir confronter les données, les analyser et essayer d’avoir un diagnostic partagé. Cela permettra de poser au fond le débat économique et social qui est essentiel », a-t-il indiqué à l’issue de la réunion.
La cellule économique de Corse devrait se réunir plusieurs fois par an, avec des réunions qui s’intéresseront plus spécifiquement à des secteurs et filières. Il est déjà notamment prévu un travail sur le BTP, le tourisme et l’agro-alimentaire.