Avocat de formation, Nicolas Alfonsi élu député de la Corse-du-Sud en 1973,1981 et 1986.
Il était devenu sénateur de la Corse-du-Sud le 2 décembre 2001 sous l'étiquette du PRG et réélu le 21 septembre 2008 au premier tour.
Il fut aussi président par intérim de l'Assemblée de Corse en 1998, par suite des problèmes de santé de J ean-Paul de Rocca Serra.
Lors des élections cantonales de mars 2011, il est réélu au second tour avec environ 57 % des voix contre un candidat nationaliste modéré.
Il s'était pas représenté pas lors des élections sénatoriales de septembre 2014. Jean-Jacques Panunzi lui a succédé.
Il était chevalier de la légion d'honneur
Il était devenu sénateur de la Corse-du-Sud le 2 décembre 2001 sous l'étiquette du PRG et réélu le 21 septembre 2008 au premier tour.
Il fut aussi président par intérim de l'Assemblée de Corse en 1998, par suite des problèmes de santé de J ean-Paul de Rocca Serra.
Lors des élections cantonales de mars 2011, il est réélu au second tour avec environ 57 % des voix contre un candidat nationaliste modéré.
Il s'était pas représenté pas lors des élections sénatoriales de septembre 2014. Jean-Jacques Panunzi lui a succédé.
Il était chevalier de la légion d'honneur
L'hommage de Jean-Jacques Panunzi
Parmi les victimes du terrible virus Covid19, la Corse a à déplorer la disparition de Nicolas Alfonsi, personnage politique qui a marqué de son empreinte la vie publique insulaire pendant plusieurs décennies.
Maire de Piana pendant près de quarante ans, conseiller général du canton des Deux-Sevi pendant cinquante-trois ans, celui qui fut également trois fois député et deux fois sénateur était aussi un élu engagé à l’Assemblée de Corse pendant les vingt premières années de l’institution. Le parcours remarquable d’un acteur clef qui ne manquait pas de défendre, avec les talents d’avocat qui étaient les siens, sa vision de la Corse avec force et détermination.
Pour avoir travaillé avec lui au conseil départemental de Corse du Sud, y compris lorsqu’il siégeait dans l’opposition à la majorité que je présidais, je sais quel élu investi et constructif il était, et combien il avait à cœur de défendre et promouvoir à la fois la Corse et son territoire des Deux-Sevi, un écrin naturel qui comprend le seul site insulaire inscrit au Patrimoine de l’UNESCO ; sans oublier la commune de Piana à laquelle il tenait tant, et qui est administrée depuis 2001 par notre amie Aline Castellani, fidèle parmi les fidèles qui ne manquera pas de perpétuer son héritage politique.
Son verbe et sa finesse politique nous manqueront. Son engagement passionné au bénéfice d’une Corse à la fois épanouie et ancrée au sein de la République lui survivra. A sa famille, à ses proches et à tous ceux qui, dans l’ouest Corse et au-delà, sont affligés par le départ fulgurant de Nicolas, je tiens, en tant qu’ami et collègue, à exprimer toute mon affection et ma sympathie. Tout en rappelant à la population qu’il est impératif de respecter les règles de sécurité sanitaire et de confinement pour éviter la propagation du coronavirus, y compris en temps de deuil. Les hommages et manifestations physiques viendront en des temps plus propices. Nous n’y manquerons pas. A Nicolas Alfonsi, la Corse reconnaissante…
Maire de Piana pendant près de quarante ans, conseiller général du canton des Deux-Sevi pendant cinquante-trois ans, celui qui fut également trois fois député et deux fois sénateur était aussi un élu engagé à l’Assemblée de Corse pendant les vingt premières années de l’institution. Le parcours remarquable d’un acteur clef qui ne manquait pas de défendre, avec les talents d’avocat qui étaient les siens, sa vision de la Corse avec force et détermination.
Pour avoir travaillé avec lui au conseil départemental de Corse du Sud, y compris lorsqu’il siégeait dans l’opposition à la majorité que je présidais, je sais quel élu investi et constructif il était, et combien il avait à cœur de défendre et promouvoir à la fois la Corse et son territoire des Deux-Sevi, un écrin naturel qui comprend le seul site insulaire inscrit au Patrimoine de l’UNESCO ; sans oublier la commune de Piana à laquelle il tenait tant, et qui est administrée depuis 2001 par notre amie Aline Castellani, fidèle parmi les fidèles qui ne manquera pas de perpétuer son héritage politique.
Son verbe et sa finesse politique nous manqueront. Son engagement passionné au bénéfice d’une Corse à la fois épanouie et ancrée au sein de la République lui survivra. A sa famille, à ses proches et à tous ceux qui, dans l’ouest Corse et au-delà, sont affligés par le départ fulgurant de Nicolas, je tiens, en tant qu’ami et collègue, à exprimer toute mon affection et ma sympathie. Tout en rappelant à la population qu’il est impératif de respecter les règles de sécurité sanitaire et de confinement pour éviter la propagation du coronavirus, y compris en temps de deuil. Les hommages et manifestations physiques viendront en des temps plus propices. Nous n’y manquerons pas. A Nicolas Alfonsi, la Corse reconnaissante…
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