À Sartène, avec 45,48 %, soit 771 voix, le maire sortant divers droite Paul Quilichini avec sa liste de droite Sempri Sartè - Toujours Sartène, est arrivé en tête au soir du premier tour, le 15 mars dernier. En seconde position, mais loin derrière lui, Nicolas Alaris, avec sa liste de gauche Reconstruisons Sartene, n'a recueilli que 27,37 % des suffrages. La liste nationaliste Sarté in Core, menée par Paul-Michel Castellani-Leadri, n'a obtenu que 14,15 %, et le quatrième candidat en lice, Pierre François Versini de Femu Sarté, seulement 12,97 % des suffrages.
Pas de changement pour ce second tour ! Les quatre candidats se retrouvent sur la même ligne de départ, sans qu'aucune alliance, ni fusion de liste, n'ait été conclue. De fait, l'opposition, qui totalise près de 55% des suffrages, n'a pas réussi à s'unir, pas voulu disent certains, ne semble pas en mesure d'inquiéter le maire sortant. Sauf retournement spectaculaire d'électeurs de dernière minute ou de 3ème tour, cette quadrangulaire assure Paul Quilichini de sa réélection. D'autant qu'à Sartène, la mobilisation au 1er tour a été assez forte : 70,88 % des électeurs sont allés aux unes. Ce taux de participation, qui a baissé de -18,94 % comparativement à 2014, où il avait atteint 89,82 %, peut s'expliquer dans un contexte de crise COVID. Une remobilisation des abstentionnistes sanitaires ne devrait guère changé la donne.
Pas de changement pour ce second tour ! Les quatre candidats se retrouvent sur la même ligne de départ, sans qu'aucune alliance, ni fusion de liste, n'ait été conclue. De fait, l'opposition, qui totalise près de 55% des suffrages, n'a pas réussi à s'unir, pas voulu disent certains, ne semble pas en mesure d'inquiéter le maire sortant. Sauf retournement spectaculaire d'électeurs de dernière minute ou de 3ème tour, cette quadrangulaire assure Paul Quilichini de sa réélection. D'autant qu'à Sartène, la mobilisation au 1er tour a été assez forte : 70,88 % des électeurs sont allés aux unes. Ce taux de participation, qui a baissé de -18,94 % comparativement à 2014, où il avait atteint 89,82 %, peut s'expliquer dans un contexte de crise COVID. Une remobilisation des abstentionnistes sanitaires ne devrait guère changé la donne.