« Ces réfugiés qui étaient arrivés en début d’année en Corse, pour des raisons personnelles ont souhaité repartir dans leur pays malgré la guerre qui y sévit » explique Ghislaine Ferri, chargée de mission au cabinet du maire Pierre Savelli, responsable du Collectif.
Olena et son fils Yvan qui étaient logés au CCAS de Bastia, par exemple, repartent sous les bombes à Kharkiv. Ils n’ont pas d’autres choix. En effet le mari d’Olena, resté en Ukraine comme tous les hommes du pays, doit subir une intervention chirurgicale très dangereuse au cerveau et le médecin lui a conseillé de rentrer au plus vite.
Comme eux Valeriia, 20 ans, qui est logée chez sa tante Elena dans le Cap Corse souffre quant à elle du mal du pays et retourne rejoindre son père à Loubny. Elle compte reprendre ses études de master à l’université de Kyiv à la rentrée. De même pour Mykola Bondar, 87 ans qui vit chez sa fille a Lumio veut retourner dans son pays à Tcherkassy
.
Cette soirée des « au-revoir » a été pleine d’émotions, des larmes ont coulé de part et d’autre.
Olena et son fils Yvan qui étaient logés au CCAS de Bastia, par exemple, repartent sous les bombes à Kharkiv. Ils n’ont pas d’autres choix. En effet le mari d’Olena, resté en Ukraine comme tous les hommes du pays, doit subir une intervention chirurgicale très dangereuse au cerveau et le médecin lui a conseillé de rentrer au plus vite.
Comme eux Valeriia, 20 ans, qui est logée chez sa tante Elena dans le Cap Corse souffre quant à elle du mal du pays et retourne rejoindre son père à Loubny. Elle compte reprendre ses études de master à l’université de Kyiv à la rentrée. De même pour Mykola Bondar, 87 ans qui vit chez sa fille a Lumio veut retourner dans son pays à Tcherkassy
.
Cette soirée des « au-revoir » a été pleine d’émotions, des larmes ont coulé de part et d’autre.