« Je suis très heureux aussi, parce que les voix nationalistes sont en nette progression, plus de 2 000 voix par rapport à la précédente élection, tandis que Laurent Marcangeli ne progresse pas par rapport aux voix de Jean-Jacques Ferrara », analyse-t-il. Ce qui fait dire au candidat, concernant l’éviction de Jean-Jacques Ferrara au profit de Laurent Marcangeli : « Tout ça pour ça ! ».
Si l’avance du maire d’Ajaccio peut sembler décisive (33,7% des suffrages), Romain Colonna veut croire encore à une possibilité de victoire pour les nationalistes. « L’avance peut sembler importante mais il était le seul candidat de son courant politique. Si on prend les voix de Jean-Paul Carrolaggi, Michel Mozziconacci et moi-même, à nous trois, nous sommes devant », comptabilise l’élu Femu A Corsica.
Encore faut-il réussir à rassembler une famille divisée au premier tour. « Il convient à présent de réunir toute la famille nationaliste », indique Romain Colonna. « Depuis la présentation de ma candidature, j’ai dit que je n’avais qu’un seul adversaire, c’est Laurent Marcangeli et le projet de la majorité présidentielle qu’il soutient. Je reste sur cette ligne et je m’adresse à tout le monde », assure-t-il.
Pour le second tour, Romain Colonna estime donc que « le jeu reste ouvert », car « sur de nombreux sujets, on peut tous se retrouver ».
Si l’avance du maire d’Ajaccio peut sembler décisive (33,7% des suffrages), Romain Colonna veut croire encore à une possibilité de victoire pour les nationalistes. « L’avance peut sembler importante mais il était le seul candidat de son courant politique. Si on prend les voix de Jean-Paul Carrolaggi, Michel Mozziconacci et moi-même, à nous trois, nous sommes devant », comptabilise l’élu Femu A Corsica.
Encore faut-il réussir à rassembler une famille divisée au premier tour. « Il convient à présent de réunir toute la famille nationaliste », indique Romain Colonna. « Depuis la présentation de ma candidature, j’ai dit que je n’avais qu’un seul adversaire, c’est Laurent Marcangeli et le projet de la majorité présidentielle qu’il soutient. Je reste sur cette ligne et je m’adresse à tout le monde », assure-t-il.
Pour le second tour, Romain Colonna estime donc que « le jeu reste ouvert », car « sur de nombreux sujets, on peut tous se retrouver ».