Vendredi dernier, Nazione avait dénoncé les conditions d'interpellation de ses deux militants (Photo : Laurent Hérin)
Les conditions de leur arrestation avaient provoqué l’ire du parti Nazione qui avait fustigé « des pratiques dignes des pires régimes autoritaires » en fin de semaine dernière. La justice vient de statuer sur le sort d’Antò Simoni et Nicolas Pinzuti, les deux militants interpellés le 30 janvier dernier à Bastia dans le cadre d’une enquête ouverte pour un attentat contre une résidence à San Martinu di Lota en novembre 2022.
Mis en examen et placés en détention provisoire à la maison d’arrêt de la Santé à Paris vendredi dernier, les deux hommes étaient convoqués hier devant le juge des libertés et de la détention provisoire. Au terme de cette audience, Nicolas Pinzuti a retrouvé la liberté et a été assigné à résidence avec interdiction de se rendre en Corse. De son côté Antò Simoni reste placé en détention provisoire.
Mis en examen et placés en détention provisoire à la maison d’arrêt de la Santé à Paris vendredi dernier, les deux hommes étaient convoqués hier devant le juge des libertés et de la détention provisoire. Au terme de cette audience, Nicolas Pinzuti a retrouvé la liberté et a été assigné à résidence avec interdiction de se rendre en Corse. De son côté Antò Simoni reste placé en détention provisoire.
[RIPRESSIONE] BASTÀ À A RIPRESSIONE È À L'ESILIU
— NAZIONE (@CORSICA_LIBERA) February 7, 2024
A piazza di i figlioli di a Nazione ghjè in terra corsa è in LIBERTÀ
- Antò Simoni : détention provisoire
- Nicolas Pinzuti : Assignation à Résidence avec interdiction de se rendre en Corse pic.twitter.com/3R9uYcuifb