« Comme je l’ai fait durant la dernière session de l’Assemblée de Corse, je tiens à condamner l’action clandestine ayant pris pour cible les villas de Pierre Ferracci à Bonifacio il y a quelques jours, renouant avec un passé trouble et sombre que les Corses dans leur immense majorité pensaient derrière eux.
Quelles qu’aient pu être les motivations de ses auteurs, cet attentat est indigne et constitue une rupture dans la trêve engagée par le mouvement clandestin en 2014. Et c’est la Corse qui va en pâtir.
Je le répète, le temps de la justice est long et nous n’avons d’autre choix que de nous en accommoder au lieu de vouloir faire justice de cette façon, conduisant de facto à des situations injustes et abjectes à l’endroit d’un Corse.
Je forge l’espoir que cette exaction demeure le soubresaut d’une époque révolue et non le retour d’une violence politique qui a fait tant de mal à la Corse. »
Quelles qu’aient pu être les motivations de ses auteurs, cet attentat est indigne et constitue une rupture dans la trêve engagée par le mouvement clandestin en 2014. Et c’est la Corse qui va en pâtir.
Je le répète, le temps de la justice est long et nous n’avons d’autre choix que de nous en accommoder au lieu de vouloir faire justice de cette façon, conduisant de facto à des situations injustes et abjectes à l’endroit d’un Corse.
Je forge l’espoir que cette exaction demeure le soubresaut d’une époque révolue et non le retour d’une violence politique qui a fait tant de mal à la Corse. »
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