"Depuis plusieurs mois, une question préoccupe la population, au-delà même des frontières de l’île : le déploiement de la 5 G, ses usages, ses conséquences sur la santé et sur l’environnement." on lit dans le rapport du président de l'Assemblée de Corse.
"Pour le moment, rappelle Talamoni, on n'a pas les résultats des études d’impact sur la santé publique et l’environnement de cette technologie, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) annonce la disponibilité des résultats, au premier trimestre 2021, pourtant dès septembre les gouvernement lancera les enchères pour attribuer les premières fréquences, sans attendre ce rapport.".
"Pour le moment, rappelle Talamoni, on n'a pas les résultats des études d’impact sur la santé publique et l’environnement de cette technologie, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) annonce la disponibilité des résultats, au premier trimestre 2021, pourtant dès septembre les gouvernement lancera les enchères pour attribuer les premières fréquences, sans attendre ce rapport.".
"Si le développement d’un médicament, de la molécule à sa commercialisation, nécessite environ dix à quinze ans, pourquoi en comparaison, peu de précautions sont prises pour le développement de la « 5G ». ?"
"Cette hâte à implanter une technologie dont on ne mesure pas les conséquences sanitaires, parait souvent motivée par des considérations financières, économiques et politiques, ou les luttes d’influence - souligne le président - Le processus de déploiement de la « 5G » est donc largement entamé malgré les alarmes d’un nombre toujours croissant de scientifiques parmi lesquels certains signalent des risques de cancers du cerveau et du cœur en cas d’exposition de façon intense aux ondes de différentes puissances." on lit dans le rapport - "Il nous appartient de garantir la protection des Corses en appliquant le principe de précaution qui doit nous conduire non pas à rejeter définitivement la « 5G », mais à nous prononcer en faveur d’une position de raison : demander la suspension du déploiement de la « 5G » en attendant de disposer d’études d’impact environnementales et sanitaires, impartiales, objectives et indépendantes des intérêts industriels.".
Le rapport liste les possibles conséquences sur la santé d'une exposition augmentée aux champs électromagnétiques de radiofréquences, mais également les enjeux environnementaux, les risques pour la biodiversité et les possibles effets sur les observations météorologiques.
"Cette hâte à implanter une technologie dont on ne mesure pas les conséquences sanitaires, parait souvent motivée par des considérations financières, économiques et politiques, ou les luttes d’influence - souligne le président - Le processus de déploiement de la « 5G » est donc largement entamé malgré les alarmes d’un nombre toujours croissant de scientifiques parmi lesquels certains signalent des risques de cancers du cerveau et du cœur en cas d’exposition de façon intense aux ondes de différentes puissances." on lit dans le rapport - "Il nous appartient de garantir la protection des Corses en appliquant le principe de précaution qui doit nous conduire non pas à rejeter définitivement la « 5G », mais à nous prononcer en faveur d’une position de raison : demander la suspension du déploiement de la « 5G » en attendant de disposer d’études d’impact environnementales et sanitaires, impartiales, objectives et indépendantes des intérêts industriels.".
Le rapport liste les possibles conséquences sur la santé d'une exposition augmentée aux champs électromagnétiques de radiofréquences, mais également les enjeux environnementaux, les risques pour la biodiversité et les possibles effets sur les observations météorologiques.
C’est donc à la fois pour des raisons sanitaires, environnementales et sociales, que Jean-Guy Talamoni propose aux élus corses, que, dans le droit fil de sa déclaration d’Urgence écologique et climatiques "l'Assemblée se prononce en faveur d’un moratoire sur le déploiement de la « 5G », afin que le débat sur ce sujet puisse s’installer en Corse et dans l’attente que des études indépendantes et objectives sur les impacts sanitaires, soient disponibles."