Dans le cadre de la Semaine européenne de la mobilité, du 16 au 22 septembre, et des Journées du patrimoine, les 18 et 19 septembre, ComCom du Sud-Corse a décidé d'organiser plusieurs événements pour mètre à l'honneur les moyens de locomotion alternatifs à la voiture. "Nous pouvons sans doute dire qu’avec la question des déchets, la problématique de la mobilité compte parmi les enjeux majeurs de notre territoire. La semaine européenne de la mobilité est une occasion précieuse pour mettre un coup de projecteur sur ce qui a été fait et sur que nous allons faire" - a expliqué Jean Charles Orsucci, maire de Bonifacio et vice président de la communauté de communes en charge de la mobilité, lors de la conférence de presse de orientation de l'événement.
Des solutions pour vivre dans la région d'une autre façon
L'objectif de la ComCom du Sud-Corse et des municipalités de Porto-Vecchio et Bonifacio ce n'est pas une simple offre de transport en commun mais "plus généralement nous voulons construire une mobilité plus adaptée aux besoins des habitants mais aussi au besoin induit par le tourisme", détaille Jean Christophe Angelini maire de Porto-Vecchio et président de la communauté de communes du Sud-Corse. En effet, forts de leurs convictions et de leurs observations les différents élus de l’Extrême-Sud de l’île se sont saisit de ce manque et tentent d'y apporter des solutions pérennes.
Depuis près de 6 mois et pour la première fois, un service de transport permet un maillage de cette micro région. La Berlina sillonne les routes de l'extrême-Sud, de Lecci à Monaccia, de Monaccia à Bonifacio en passant évidemment par la cité du sel. "En quelques mois de mise en service, nous comptons plus de 1000 voyageurs, bien sur il serait anticipé de juger de la réussite ou non de la Berlina, mais pour l'heure nous sommes satisfaits des résultats" précise le maire.
Moto, auto, bus et pourquoi pas vélo
Si comme le disait le chanteur, à Paris en vélo on dépasse les autos. Ici la circulation en bicycle reste difficile. La Corse s' est développer avec en trame de fond une omniprésence des véhicules motorisés, offrant une moindre place aux adaptes de mode de transport alternatif. "La direction que nous voulons prendre, c' est le développement d’une mobilité multi modales capables de répondre aux besoins et offrent par la même une nouvelle vision de la mobilité" poursuit Jean-Cristophe Angelini, conscient que "Malgré, la force et l’envie de faire bouger les lignes, la question des transports qui s'inscrit dans les grands enjeux de notre temps à encore du chemin à faire et n'a pas fini d’être au cœur des débats."
Des solutions pour vivre dans la région d'une autre façon
L'objectif de la ComCom du Sud-Corse et des municipalités de Porto-Vecchio et Bonifacio ce n'est pas une simple offre de transport en commun mais "plus généralement nous voulons construire une mobilité plus adaptée aux besoins des habitants mais aussi au besoin induit par le tourisme", détaille Jean Christophe Angelini maire de Porto-Vecchio et président de la communauté de communes du Sud-Corse. En effet, forts de leurs convictions et de leurs observations les différents élus de l’Extrême-Sud de l’île se sont saisit de ce manque et tentent d'y apporter des solutions pérennes.
Depuis près de 6 mois et pour la première fois, un service de transport permet un maillage de cette micro région. La Berlina sillonne les routes de l'extrême-Sud, de Lecci à Monaccia, de Monaccia à Bonifacio en passant évidemment par la cité du sel. "En quelques mois de mise en service, nous comptons plus de 1000 voyageurs, bien sur il serait anticipé de juger de la réussite ou non de la Berlina, mais pour l'heure nous sommes satisfaits des résultats" précise le maire.
Moto, auto, bus et pourquoi pas vélo
Si comme le disait le chanteur, à Paris en vélo on dépasse les autos. Ici la circulation en bicycle reste difficile. La Corse s' est développer avec en trame de fond une omniprésence des véhicules motorisés, offrant une moindre place aux adaptes de mode de transport alternatif. "La direction que nous voulons prendre, c' est le développement d’une mobilité multi modales capables de répondre aux besoins et offrent par la même une nouvelle vision de la mobilité" poursuit Jean-Cristophe Angelini, conscient que "Malgré, la force et l’envie de faire bouger les lignes, la question des transports qui s'inscrit dans les grands enjeux de notre temps à encore du chemin à faire et n'a pas fini d’être au cœur des débats."