Après un premier jour de mobilisation, le 18 janvier dernier, les marins CGT de la Corsica Linea et de la Méridionale seront de nouveau en grève la semaine prochaine.
La fédération nationale des syndicats maritimes (FNSM) CGT a en effet annoncé ce mercredi qu'elle avait déposé un préavis pour la journée du 31 janvier pour "la défense des retraites et de l'emploi et contre la concurrence déloyale sous pavillon international dans les secteurs pourtant exclus du RIF au cabotage national et dans les eaux territoriales."
Selon le syndicat, cette situation fait aujourd'hui peser de graves menaces sur l’emploi maritime national, à la Méridionale, Corsica Linea, Maritima et au remorquage. "Cette stratégie de destruction de l'emploi maritime national avec la volonté d'en finir avec le pavillon français 1er registre, s'effectue en toute illégalité au service d'intérêts privés particuliers, dont ceux du Secrétaire Général de l'Elysée et sa famille propriétaire de MSC et GNV, armateurs italo-suisse, comme Corsica Ferries, qui ont bénéficié du dispositif d'aides fiscales françaises avec l'argent du contribuable et des montage financiers sophistiqués leur permettant d'obtenir des sommes faramineuses..." dénonce Frédéric Alpozzo, secrétaire national adjoint chargé du commerce pour la FNSM CGT.
Si pour l’heure, il est difficile de dire si ce préavis de grève va entraîner d’importances perturbations des liaisons maritimes entre la Corse et le continent, l’organisation syndicale appelé les matis à une large mobilisation pour exiger du gouvernement d’agir.
La fédération nationale des syndicats maritimes (FNSM) CGT a en effet annoncé ce mercredi qu'elle avait déposé un préavis pour la journée du 31 janvier pour "la défense des retraites et de l'emploi et contre la concurrence déloyale sous pavillon international dans les secteurs pourtant exclus du RIF au cabotage national et dans les eaux territoriales."
Selon le syndicat, cette situation fait aujourd'hui peser de graves menaces sur l’emploi maritime national, à la Méridionale, Corsica Linea, Maritima et au remorquage. "Cette stratégie de destruction de l'emploi maritime national avec la volonté d'en finir avec le pavillon français 1er registre, s'effectue en toute illégalité au service d'intérêts privés particuliers, dont ceux du Secrétaire Général de l'Elysée et sa famille propriétaire de MSC et GNV, armateurs italo-suisse, comme Corsica Ferries, qui ont bénéficié du dispositif d'aides fiscales françaises avec l'argent du contribuable et des montage financiers sophistiqués leur permettant d'obtenir des sommes faramineuses..." dénonce Frédéric Alpozzo, secrétaire national adjoint chargé du commerce pour la FNSM CGT.
Si pour l’heure, il est difficile de dire si ce préavis de grève va entraîner d’importances perturbations des liaisons maritimes entre la Corse et le continent, l’organisation syndicale appelé les matis à une large mobilisation pour exiger du gouvernement d’agir.
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