Josepha Giacometti-Piredda et Petr’Anto Tomasi avec les militants de Corsica Libera ce samedi à Corte
Selon Petr’Anto Tomasi, ces propos correspondent tout simplement à une façon habile "de renvoyer le processus non pas vers l’autonomie ou une solution politique globale, mais vers une simple décentralisation dont profiteront, à terme, toutes les régions françaises ». Corsica Libera reste en attente du programme et des orientations qui seront données à l'issue de la visite d'Emmanuel Macron, mais le parti craint que « le mot d’autonomie soit peut être lancé par le Président Macron, sans contenu réel. Il vient à l’occasion de la Libération de la Corse du joug fasciste et nazi, mais manifestement, sa venue s’inscrit plutôt dans une logique de soumission du peuple corse que de solution politique et de libération".
Ainsi, Corsica Libera considère que "la mise en place d’une démarche de résistance et de construction nationale est plus que jamais nécessaire et doit constituer l’événement politique de ces prochaines semaines." "Nous avions déjà dit aux dernières Ghjurnate Internaziunale que nous étions disponibles pour participer à une démarche de résistance plus large et nous appelons donc l’ensemble de nos militants et sympathisants à participer massivement à cette mobilisation."
La réunion est prévue le 15 octobre prochain à Corte à l’appel du collectif des anciens prisonniers politiques, Patriotti.
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