Le siège de l'Echo du commerce était situé au numéro 23 du boulevard Paoli, son rédacteur en chef était Joseph Antonini.
Et la plume de l'Echo était pour le moins acérée.
"Bastia, ville sans police".
"Le coup de force de M. Le juge de paix de Borgo"
"La caste se réveille."
Les titres de l'Echo du commerce, qui s'adressaient avant tout aux commerçants, étaient cependant sans ménagement pour l'ensemble de la société bastiaise.
Mais parce que à l'époque aussi l'argent était le nerf de la guerre, les administrateurs du journal faisaient une large place à la publicité.
Des enseignes et des établissements qui existent toujours - Café des Palmiers, Concorde, Mattei etc - y avaient recours.
Et certains slogans sont toujours dans la mémoire de nombreux insulaires comme le fameux "Fumez Job ou ne fumez pas", mais c'était à l'époque où la législation sur le tabac et l'alcool n'avait pas encore germé dans l'esprit de nos dirigeants.
Mais, on vous l'accorde, ce n'est plus mal qu'il en soit ainsi.
Et la plume de l'Echo était pour le moins acérée.
"Bastia, ville sans police".
"Le coup de force de M. Le juge de paix de Borgo"
"La caste se réveille."
Les titres de l'Echo du commerce, qui s'adressaient avant tout aux commerçants, étaient cependant sans ménagement pour l'ensemble de la société bastiaise.
Mais parce que à l'époque aussi l'argent était le nerf de la guerre, les administrateurs du journal faisaient une large place à la publicité.
Des enseignes et des établissements qui existent toujours - Café des Palmiers, Concorde, Mattei etc - y avaient recours.
Et certains slogans sont toujours dans la mémoire de nombreux insulaires comme le fameux "Fumez Job ou ne fumez pas", mais c'était à l'époque où la législation sur le tabac et l'alcool n'avait pas encore germé dans l'esprit de nos dirigeants.
Mais, on vous l'accorde, ce n'est plus mal qu'il en soit ainsi.