Labarrère, Del Moro, Lacombe et Flament : Bastia XV change de braquet
"Il s'agira d'une formation propre au club et basée sur le projet de jeu de Bastia XV" explique Sam Lacombe. "Et elle s'appliquera à toutes les catégories" ajoute l'ancien toulousain qui a fait le pari et le choix de la Corse après plus 20 ans passés sur les bords de la Garonne au sein du staff du Stade Toulousain.
Cadres techniques et éducateurs du club auront donc mission de prêcher tous dans le même sens celui de ce projet de jeu qui n'exonera pas le club des diverses obligations fédérales.
Avvene XV?
C'est un projet d'ouveture en direction des autres clubs.
Il consisterait à rassembler dans les catégories des cadets et des juniors les meilleurs éléments des clubs de l'île pour, à terme, avoir des chances d'un plus grand succès au niveau national.
Le crédo des dirigeants de Bastia XV et de leur équipe technique : "Que les meilleurs accèdent aux meilleures compétitions".
Il s'agirait de rassemblements "dont les divers éléments resteraient licenciés dans leur club respectif" mais avec un incontestable avantage, celui de permettre d'opérer la meilleure détection dès les U13 puis, à partir de là, assurer un "suivi personnalisé de technique individuelle et aux postes."
Avec 28 autres clubs
Projet plus concret : Le président de l'association du Stade Toulousain et ses responsables techniques ont validé la sollicitation bastiaise et le grand Stade Toulousain passera une convention de parrainage avec Bastia XV.
" Il y a une trentaine de clubs comme cela à travers le pays" explique Samuel Lacombe.
Ce parrainage se concrétisera de maintes façons.
Dans un premier temps il permettra, après des journées de détection, aux meilleurs jeunes du club, qui bénéficieront d'un strict suivi scolaire et sportif, d'aller tenter leurs chances au plus haut niveau. En retour le club pourrait bénéficier des conseils éclairés des meilleurs techniciens toulousains et de bien d'autres avantages que le club bastiais consigner sur la convention de parrainage.
Mais quelques-uns des plus beaux noms du rugby français pourraient, à terme, se retrouver ponctuellement à Bastia.
Restera alors à leur trouver l'écrin que mérite leur talent ce qui est, hélas, loin d'être le cas au Casone comme à Volpajo !
Cadres techniques et éducateurs du club auront donc mission de prêcher tous dans le même sens celui de ce projet de jeu qui n'exonera pas le club des diverses obligations fédérales.
Avvene XV?
C'est un projet d'ouveture en direction des autres clubs.
Il consisterait à rassembler dans les catégories des cadets et des juniors les meilleurs éléments des clubs de l'île pour, à terme, avoir des chances d'un plus grand succès au niveau national.
Le crédo des dirigeants de Bastia XV et de leur équipe technique : "Que les meilleurs accèdent aux meilleures compétitions".
Il s'agirait de rassemblements "dont les divers éléments resteraient licenciés dans leur club respectif" mais avec un incontestable avantage, celui de permettre d'opérer la meilleure détection dès les U13 puis, à partir de là, assurer un "suivi personnalisé de technique individuelle et aux postes."
Avec 28 autres clubs
Projet plus concret : Le président de l'association du Stade Toulousain et ses responsables techniques ont validé la sollicitation bastiaise et le grand Stade Toulousain passera une convention de parrainage avec Bastia XV.
" Il y a une trentaine de clubs comme cela à travers le pays" explique Samuel Lacombe.
Ce parrainage se concrétisera de maintes façons.
Dans un premier temps il permettra, après des journées de détection, aux meilleurs jeunes du club, qui bénéficieront d'un strict suivi scolaire et sportif, d'aller tenter leurs chances au plus haut niveau. En retour le club pourrait bénéficier des conseils éclairés des meilleurs techniciens toulousains et de bien d'autres avantages que le club bastiais consigner sur la convention de parrainage.
Mais quelques-uns des plus beaux noms du rugby français pourraient, à terme, se retrouver ponctuellement à Bastia.
Restera alors à leur trouver l'écrin que mérite leur talent ce qui est, hélas, loin d'être le cas au Casone comme à Volpajo !
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