Le public a répondu présent à l’appel du 31 janvier. Venus en nombre et de toute la Corse, ces fans d’électro et notamment d’Arnaud Rebotini avaient les mêmes mots à la bouche : « Je ne pouvais pas manquer ça ! ». Les plus connaisseurs le suivent depuis le début des années 2000, les autres bien souvent pour le film 120 battements par minute de Robin Campillo, Palme d’Or à Cannes en 2017, dont il a écrit la bande-originale (César de la meilleure musique originale). CNI est allé à la rencontre de ce public particulièrement en forme vendredi soir.
Une spectatrice explique même : « Je l’ai vu déjà 6 fois dont une fois en Amérique du Sud. Quand j’ai su qu’il était programmé à Bastia, je n’y croyais, c’était dingue et j’ai tout suite pris mes places ! ». Et c’est en effet un concert exceptionnel auquel ont pu assister les mélomanes électro en cette fin de mois de janvier à l’Alb’Oru.
La soirée commençait à 19 heures dans la cafétéria avec un warm up de La Clarté et sur le parvis du centre culturel, où les trois food trucks (Le Boodoo, Mamie Lili et A Piazzetta) accueillaient le public. A 21 heures le collectif bastiais Le Disko prend place dans la grande salle, où il est attendu pour une heure de son puissant aux rythmes retentissants.
Puis c’est le tant attendu Arnaud Rebotini qui prend les commandes. Grand, imposant, un style tout droit sorti des années 1980 avec moustache, chemise ouverte, chaîne autour du cou et cheveux gominés. L’artiste arrive et ne laisse personne de marbre avec son aura perceptible depuis l’étage. La foule s’amoncelle et les plus chanceux ont le luxe de lui toucher la main, qui vient de ranger son peigne dans son jean après s’être recoiffé façon Danny Zuko. Proche de son public, Arnaud Rebotini n’hésite pas à quitter les consoles pour rejoindre ses fans et chanter au plus près d’eux. Et lorsqu’il s’agenouille pour susurrer au micro « I want you », les yeux dans ceux d’une jeune femme déjà bien enchantée, celle-ci part à la renverse et la foule hurle de bonheur.
Une fois la performance d’Arnaud Rebotini terminée, c’est au tour de Djedjotronic de poursuivre la soirée. Un groupe qui ne manque pas de talent, car passer après le mastodonte Rebotini n'est a priori, pas évident. Il assure avec brio la suite de cette très belle soirée, qui marquera les esprits et que Bastia Cultura peut-être fière d’avoir programmée !
Une spectatrice explique même : « Je l’ai vu déjà 6 fois dont une fois en Amérique du Sud. Quand j’ai su qu’il était programmé à Bastia, je n’y croyais, c’était dingue et j’ai tout suite pris mes places ! ». Et c’est en effet un concert exceptionnel auquel ont pu assister les mélomanes électro en cette fin de mois de janvier à l’Alb’Oru.
La soirée commençait à 19 heures dans la cafétéria avec un warm up de La Clarté et sur le parvis du centre culturel, où les trois food trucks (Le Boodoo, Mamie Lili et A Piazzetta) accueillaient le public. A 21 heures le collectif bastiais Le Disko prend place dans la grande salle, où il est attendu pour une heure de son puissant aux rythmes retentissants.
Puis c’est le tant attendu Arnaud Rebotini qui prend les commandes. Grand, imposant, un style tout droit sorti des années 1980 avec moustache, chemise ouverte, chaîne autour du cou et cheveux gominés. L’artiste arrive et ne laisse personne de marbre avec son aura perceptible depuis l’étage. La foule s’amoncelle et les plus chanceux ont le luxe de lui toucher la main, qui vient de ranger son peigne dans son jean après s’être recoiffé façon Danny Zuko. Proche de son public, Arnaud Rebotini n’hésite pas à quitter les consoles pour rejoindre ses fans et chanter au plus près d’eux. Et lorsqu’il s’agenouille pour susurrer au micro « I want you », les yeux dans ceux d’une jeune femme déjà bien enchantée, celle-ci part à la renverse et la foule hurle de bonheur.
Une fois la performance d’Arnaud Rebotini terminée, c’est au tour de Djedjotronic de poursuivre la soirée. Un groupe qui ne manque pas de talent, car passer après le mastodonte Rebotini n'est a priori, pas évident. Il assure avec brio la suite de cette très belle soirée, qui marquera les esprits et que Bastia Cultura peut-être fière d’avoir programmée !