"Je suis fière que l’on m’ait a nouveau confié le conseil de surveillance d'Air Corsica", lance Marie-Hélène Casanova-Servas. Ce mardi 14 septembre à Ajaccio, la présidente sortante de la compagnie est largement applaudie. Pendant les 7 prochaines années, la politique de la compagnie insulaire sera entre ses mains. Pour l'épauler, elle pourra compter sur l'expertise, les compétences et l’expérience du nouveau conseil de surveillance ainsi que de ses deux nouvelles vice-présidentes : Vanina Borromei, ancienne présidente de l'office des transports de la Corse et Muriel Fagni qui connaît bien la compagnie puisqu'elle siège au conseil de surveillance depuis 2015.
Pour la suite, Marie-Hélène Casanova-Servas est sereine. Malgré les deux dernières années de mandature placées sous le signe de la Covid le bilan est positif. Elle assure d'ailleurs que : "la santé de la compagnie est bonne" et ce notamment grâce à "l'engagement sans faille des 700 salariés". A présent, les trois femmes entendent , oeuvrer pour le progrès social au sein de la compagnie aérienne et développer les métiers de forte technicité pour que les jeunes corses puissent intégrer les équipes. "Les défis sont nombreux, mais nous sommes prêtes à aller de l’avant", assure la présidente qui fait du renforcement et de la protection du service public "une priorité de cette nouvelle mandature".
Relier la Corse à l'Europe
Durant les 7 années à venir, le conseil de surveillance souhaite ouvrir les horizons de l'Ile de Beauté notamment par des liaisons vers les grandes capitales européennes ainsi que vers la Méditerranée. Mais ces perspectives ne doivent pas venir en opposition avec les défis environnementaux. "Nous souhaitons toujours faire de Air Corsica une compagnie 0 déchets, poursuit-elle avant de souligner, il faut conserver à l’esprit que nos décisions et nos actions seront déterminantes pour les générations à venir."
Pour la suite, Marie-Hélène Casanova-Servas est sereine. Malgré les deux dernières années de mandature placées sous le signe de la Covid le bilan est positif. Elle assure d'ailleurs que : "la santé de la compagnie est bonne" et ce notamment grâce à "l'engagement sans faille des 700 salariés". A présent, les trois femmes entendent , oeuvrer pour le progrès social au sein de la compagnie aérienne et développer les métiers de forte technicité pour que les jeunes corses puissent intégrer les équipes. "Les défis sont nombreux, mais nous sommes prêtes à aller de l’avant", assure la présidente qui fait du renforcement et de la protection du service public "une priorité de cette nouvelle mandature".
Relier la Corse à l'Europe
Durant les 7 années à venir, le conseil de surveillance souhaite ouvrir les horizons de l'Ile de Beauté notamment par des liaisons vers les grandes capitales européennes ainsi que vers la Méditerranée. Mais ces perspectives ne doivent pas venir en opposition avec les défis environnementaux. "Nous souhaitons toujours faire de Air Corsica une compagnie 0 déchets, poursuit-elle avant de souligner, il faut conserver à l’esprit que nos décisions et nos actions seront déterminantes pour les générations à venir."