Jean-Félix Acquaviva totalise 33,46 % des voix dans la deuxième circonscription de Haute-Corse. Crédits Photo : CNI
« J’ai été surpris qu’on donne des estimations avant les résultats définitifs ». Si Jean-Félix Acquaviva relève la chose, c’est qu’en premier lieu, le député sortant était placé en seconde position par les premières estimations. Finalement, le député nationaliste arrive bien en tête dans la deuxième circonscription de Haute-Corse lors de ce premier tour des élections législatives du 12 juin. Il totalise 33,46 % des suffrages, soit 4,40 points de plus que son adversaire du second tour, François-Xavier Ceccoli. Près de 1 400 voix les séparent.
Premier constat pour le député sortant, l’abstention : « elle est haute et c’est dommageable. Il faut démontrer que ce vote est important pour l’avenir de la Corse vu les discussions à venir avec le gouvernement ». Pour peser de tout son poids politique, le député nationaliste compte bien rassembler « tous ceux qui sont dans le camp de la Corse pour faire face à celui d’un parti ». Le candidat est déjà dans l’offensive de l’entre-deux-tours. « Le match sera celui entre notre projet de société et celui d’un parti parisien. Même s’il est caché, il est bien là et est dans une logique de troisième tour des élections territoriales ».
Malgré la division dans le camp des nationalistes, marquée par la candidature de Lionel Mortini, Jean-Félix Acquaviva regrette « les attaques ciblées contre moi », mais se félicite « d’un score et d’un socle solide » pour le second tour. Marche dont il compte bien se servir pour grimper un peu plus au tableau des scores du second tour en lançant un appel au rassemblement : « Nous sommes ouverts au dialogue avec l’ensemble des forces qui veulent construire ce pays ». Mais il prévient : « Ce sera sur des bases claires ».
Premier constat pour le député sortant, l’abstention : « elle est haute et c’est dommageable. Il faut démontrer que ce vote est important pour l’avenir de la Corse vu les discussions à venir avec le gouvernement ». Pour peser de tout son poids politique, le député nationaliste compte bien rassembler « tous ceux qui sont dans le camp de la Corse pour faire face à celui d’un parti ». Le candidat est déjà dans l’offensive de l’entre-deux-tours. « Le match sera celui entre notre projet de société et celui d’un parti parisien. Même s’il est caché, il est bien là et est dans une logique de troisième tour des élections territoriales ».
Malgré la division dans le camp des nationalistes, marquée par la candidature de Lionel Mortini, Jean-Félix Acquaviva regrette « les attaques ciblées contre moi », mais se félicite « d’un score et d’un socle solide » pour le second tour. Marche dont il compte bien se servir pour grimper un peu plus au tableau des scores du second tour en lançant un appel au rassemblement : « Nous sommes ouverts au dialogue avec l’ensemble des forces qui veulent construire ce pays ». Mais il prévient : « Ce sera sur des bases claires ».