Dans les pharmacies due Lisula les masques chirurgicaux "anti-covid" ne se vendaient presque plus, mais depuis que la semaine dernière le gouvernement avait annoncé l’entrée en vigueur du port obligatoire du masque dans les lieux publics clos, à partir de ce lundi 20 juillet, il y a eu une hausse des ventes.
A la pharmacie du Marché , par exemple, où la vente a repris depuis la fin de la semaine dernière, les clients « ont dévalisé » le stock.
A la pharmacie Savelli, le constat est le même. Il y a beaucoup plus de ventes que les semaines passées, que ce soit « des lots de 50, de 10 ou de 2 masques ».
A la pharmacie Broche et Rosellini, les ventes ont augmenté, « car personne ne peut entrer sans masque, alors de nombreux clients en achètent en arrivant ».
Les masques en tissu
La vente des masques lavables a aussi doublé par rapport à la semaine dernière.
A la pharmacie du Marché , par exemple, où la vente a repris depuis la fin de la semaine dernière, les clients « ont dévalisé » le stock.
A la pharmacie Savelli, le constat est le même. Il y a beaucoup plus de ventes que les semaines passées, que ce soit « des lots de 50, de 10 ou de 2 masques ».
A la pharmacie Broche et Rosellini, les ventes ont augmenté, « car personne ne peut entrer sans masque, alors de nombreux clients en achètent en arrivant ».
Les masques en tissu
La vente des masques lavables a aussi doublé par rapport à la semaine dernière.
Et les supermarchés ?
Au Casino de la ville la direction nous confirme que il y a eu beaucoup de ventes de masques juste après le déconfinement, puis elles se sont calmées « jusqu'à ne plus en avoir du tout ».
Depuis ce lundi, elles ont à nouveau augmenté.
Dans l'autre grande surface de L'Ile Rousse, Leclerc, même constat. Les ventes des lots de 10 masques ont recommencé à être achetés depuis la semaine dernière.
Depuis ce lundi, elles ont à nouveau augmenté.
Dans l'autre grande surface de L'Ile Rousse, Leclerc, même constat. Les ventes des lots de 10 masques ont recommencé à être achetés depuis la semaine dernière.
Faut-il craindre une pénurie ?
Ce nouveau décret rendant obligatoire le port du masque dans tous les établissements clos recevant du public, "en particulier les commerces", pose, une nouvelle fois, la question des stocks et des prix.
Mais cette fois ci, contrairement au printemps, on ne devrait plus avoir de problèmes d'approvisionnement. En effet l'objectif, fixé par le gouvernement en cas de seconde vague de l'épidémie de Covid-19, est de produire 15 millions de masques par jour. La capacité française de production est aujourd'hui établie à 500 millions de masques par semaine. Une commande de 3,7 milliards d'unités a déjà été effectuée par l'Etat, ont affirmé les autorités et si un manque ponctuel n'est pas à exclure on ne devrait plus être en rupture.
Mais cette fois ci, contrairement au printemps, on ne devrait plus avoir de problèmes d'approvisionnement. En effet l'objectif, fixé par le gouvernement en cas de seconde vague de l'épidémie de Covid-19, est de produire 15 millions de masques par jour. La capacité française de production est aujourd'hui établie à 500 millions de masques par semaine. Une commande de 3,7 milliards d'unités a déjà été effectuée par l'Etat, ont affirmé les autorités et si un manque ponctuel n'est pas à exclure on ne devrait plus être en rupture.
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