Yves Nicolaï, candidat L'Ecologie au Centre législatives dans la 2ème circonscription de la Corse du Sud
- Qu’est-ce qui a motivé votre candidature ?
- C’est le mouvement des Gilets jaunes qui a réveillé ma conscience. Comme j’avais constaté les dégâts de notre société, causés par nos gouvernants depuis pas mal de temps, j’ai compris qu’il était temps de m’engager. Je ne pouvais plus rester les bras croisés derrière un écran télé.
- Vous étiez déjà militant écologiste avant la création de ce mouvement ?
- Non, absolument pas ! C’est une première pour moi, je n’avais jamais fait de politique jusqu’à maintenant.
- Qu’est-ce qui vous différencie des autres candidats ?
- Déjà, je ne suis ni de droite, ni de gauche. Je suis un candidat citoyen au service du peuple et je veux défendre les intérêts de la Nation Corse, je veux que nos concitoyens retrouvent la souveraineté populaire.
- Qui est votre suppléante ?
- Anne Cecile Chevallet qui est kinésithérapeute à Force d’Olmo. J’ai souhaité faire jouer la parité homme/femme.
- Quel est, pour vous, l’enjeu premier de ce scrutin ?
- J’estime qu’il est urgent d’agir, car nous sommes en faillite sociétale, économique et environnementale. Si nous ne changeons pas les causes, nous ne changerons pas les conséquents qui se profilent pour les cinq prochaines années. Les gens ont aujourd’hui de plus en plus de mal à vivre. Ils sont obligés de se poser la question s’ils doivent remplir le réservoir de leur voiture ou leur frigo. C’est une catastrophe ! Les gens n’arrivent plus à vivre de leur retraite qui est le fruit de plus de 40 ans de dur labeur.
- Quelles seraient donc vos priorités si vous étiez élu ?
- Je vais défendre la voix de 79 000 habitants de la circonscription. Je vais être la voix de ceux qui n’en ont pas. Je vais porter les idées du peuple à l’Assemblée nationale. Je travaillerai avec les autres élus insulaires, des députés, du gouvernement jusqu’au Président de la République pour porter la voix des électeurs. Je veux aussi pouvoir faire un travail de fond sur des révisions constitutionnelles, comme faire supprimer l’article 56, alinéa 2 de la Constitution qui prévoit que les anciens présidents de la République sont des membres à vie du Conseil constitutionnel et qu’à ce titre, ils touchent 12 000 euros par mois, c’est inadmissible ! Je voudrais aussi faire supprimer l’article 49/3, car on fait passer des lois en force, sans demander l’avis du peuple et on ne peut pas continuer comme ça !
- Et concernant la Corse ?
- Résoudre le mystère autour du décès d’Yvan Colonna. Il faut trouver rapidement des réponses. Ils ne vont pas nous faire deux fois le coup de la caravelle Ajaccio-Nice ou attendre 28 ans comme ce fut le cas pour reconnaître les victimes de la catastrophe de Furiani. J’estime qu’il faut avancer rapidement et trouver des réponses, car un tel drame dans un service pénitentiaire, c’est inadmissible. En tant que député, cela sera ma priorité. Il faut vraiment que le gouvernement arrête de considérer les Corses comme les Indiens de la République ! Il va falloir que la Corse soit considérée comme n’importe quelle autre région de France.
- Quelles mesures proposez-vous pour l'ile ?
- On a des problèmes de déchets, le dossier est sur la table depuis 7 ans, mais on n’avance pas ! On a la possibilité de faire des choses, mais on n’avance pas ! On a 24 milliards de mètres cubes d’eau qui tombent chaque année sur l’île, on n'en récupère que 60 millions. On a la possibilité d’être parfaitement autonomes en matière d’électricité, d’eau… Il faut agir dans ce sens.
- Quelle est votre position sur les négociations entre le gouvernement et les élus corses concernant l’avenir institutionnel de l’île ?
- Je me réjouis qu’elles aient débuté, et que Mr Darmanin soit toujours en place. Il faut faire un travail de fond, et je serais ravi d’y participer. Je pense aussi qu’il faudrait faire un referendum d’initiative citoyenne afin que les gens se sentent plus impliqués. C’est leur avenir qui est en jeu.
- Comment allez-vous faire campagne ?
- Je fais une campagne de terrain, je vais visiter un grand nombre de communes pour rencontrer la population et échanger avec elle, et proposer mon programme pour qu’elle puisse savoir qu’il y a une autre façon de faire de la politique.
- C’est le mouvement des Gilets jaunes qui a réveillé ma conscience. Comme j’avais constaté les dégâts de notre société, causés par nos gouvernants depuis pas mal de temps, j’ai compris qu’il était temps de m’engager. Je ne pouvais plus rester les bras croisés derrière un écran télé.
- Vous étiez déjà militant écologiste avant la création de ce mouvement ?
- Non, absolument pas ! C’est une première pour moi, je n’avais jamais fait de politique jusqu’à maintenant.
- Qu’est-ce qui vous différencie des autres candidats ?
- Déjà, je ne suis ni de droite, ni de gauche. Je suis un candidat citoyen au service du peuple et je veux défendre les intérêts de la Nation Corse, je veux que nos concitoyens retrouvent la souveraineté populaire.
- Qui est votre suppléante ?
- Anne Cecile Chevallet qui est kinésithérapeute à Force d’Olmo. J’ai souhaité faire jouer la parité homme/femme.
- Quel est, pour vous, l’enjeu premier de ce scrutin ?
- J’estime qu’il est urgent d’agir, car nous sommes en faillite sociétale, économique et environnementale. Si nous ne changeons pas les causes, nous ne changerons pas les conséquents qui se profilent pour les cinq prochaines années. Les gens ont aujourd’hui de plus en plus de mal à vivre. Ils sont obligés de se poser la question s’ils doivent remplir le réservoir de leur voiture ou leur frigo. C’est une catastrophe ! Les gens n’arrivent plus à vivre de leur retraite qui est le fruit de plus de 40 ans de dur labeur.
- Quelles seraient donc vos priorités si vous étiez élu ?
- Je vais défendre la voix de 79 000 habitants de la circonscription. Je vais être la voix de ceux qui n’en ont pas. Je vais porter les idées du peuple à l’Assemblée nationale. Je travaillerai avec les autres élus insulaires, des députés, du gouvernement jusqu’au Président de la République pour porter la voix des électeurs. Je veux aussi pouvoir faire un travail de fond sur des révisions constitutionnelles, comme faire supprimer l’article 56, alinéa 2 de la Constitution qui prévoit que les anciens présidents de la République sont des membres à vie du Conseil constitutionnel et qu’à ce titre, ils touchent 12 000 euros par mois, c’est inadmissible ! Je voudrais aussi faire supprimer l’article 49/3, car on fait passer des lois en force, sans demander l’avis du peuple et on ne peut pas continuer comme ça !
- Et concernant la Corse ?
- Résoudre le mystère autour du décès d’Yvan Colonna. Il faut trouver rapidement des réponses. Ils ne vont pas nous faire deux fois le coup de la caravelle Ajaccio-Nice ou attendre 28 ans comme ce fut le cas pour reconnaître les victimes de la catastrophe de Furiani. J’estime qu’il faut avancer rapidement et trouver des réponses, car un tel drame dans un service pénitentiaire, c’est inadmissible. En tant que député, cela sera ma priorité. Il faut vraiment que le gouvernement arrête de considérer les Corses comme les Indiens de la République ! Il va falloir que la Corse soit considérée comme n’importe quelle autre région de France.
- Quelles mesures proposez-vous pour l'ile ?
- On a des problèmes de déchets, le dossier est sur la table depuis 7 ans, mais on n’avance pas ! On a la possibilité de faire des choses, mais on n’avance pas ! On a 24 milliards de mètres cubes d’eau qui tombent chaque année sur l’île, on n'en récupère que 60 millions. On a la possibilité d’être parfaitement autonomes en matière d’électricité, d’eau… Il faut agir dans ce sens.
- Quelle est votre position sur les négociations entre le gouvernement et les élus corses concernant l’avenir institutionnel de l’île ?
- Je me réjouis qu’elles aient débuté, et que Mr Darmanin soit toujours en place. Il faut faire un travail de fond, et je serais ravi d’y participer. Je pense aussi qu’il faudrait faire un referendum d’initiative citoyenne afin que les gens se sentent plus impliqués. C’est leur avenir qui est en jeu.
- Comment allez-vous faire campagne ?
- Je fais une campagne de terrain, je vais visiter un grand nombre de communes pour rencontrer la population et échanger avec elle, et proposer mon programme pour qu’elle puisse savoir qu’il y a une autre façon de faire de la politique.