Montpellier Hérault - Stade Français 14-28. (14-7)
Stade Armand Cesari de Furiani.
Arbitre: M. Rousset
Spectateurs: 3.000
Montpellier
Lamositele, Guirado, Haouas, Verhaeghe, Chalureau, Dakuwaqa (Hamadache 26e), Mercer, Tauleigne (Devergie 41e) - Paillaugue (Aprasidze 41e), Garbisi (Foursans 41e) - Rattez, Darmon, Doumayrou, Ngandebe - Tisseron.
Stade Français
M. Alo Emile, Da Silva, P. Alo Emile, De Giovanni (Rixen 60e), Maestri, Burban (Kakovin 25e) , Briatte, Gray - Hall (Coville 41e), Barre - Naivalu, Laumape, Arrate, Lapegue - Veianu.
Pour Montpellier: 2 essais Garbisi (8e). Verhaeghe (17e) 2 transformations Paillaugue (8e, 17e). carton jaune: Dakuwaka (69e)
Pour le Stade Français: 4 essais Arrate (36e) Coville (53e) Francoz (71e) P. Alo Emile (77e). 4 transformations: Barre (36e 53e) Coville (71e, 77e).
Evolution du score. 7-0 (8e) 14-0 (17e) 14-7 (36e) 14-14 (53e) 14-21 (71e) 14-28 (77e)
Une revue d'effectif pour les deux équipes, effectuée en présence du président de la FFR Bernard Laporte, en prévision de la reprise prochaine du championnat dans une quinzaine de jours. Le coup d'envoi était donné par le karatéka Steven Da Costa médaillé d'or des récents Jeux de Tokyo.
Dès le coup d'envoi, les Parisiens mettaient la défense héraultaise sous pression. Le Stade jouait le défi physique, mais Montpellier faisait front sans faiblir et trouvait, même, la faille à la 8e quand, à l'issue d'une touche, Garbisi filait dans un trou de souris et aplatissait entre les poteaux. Paillaugue passait le cuir entre les perches et Montpellier menait 7 à 0. Les Montpelliérains étaient à deux doigts de récidiver quatre minutes plus tard, au moment où ce même Garbisi ajustait une passe au pied pour Doumayrou qui était rattrapé in-extremis. Ce n'était que partie remise. A la 17e, le paquet d'avants de Montpellier enfonçait la défense parisienne envoyant Verhaeghe à l'essai; Une fois de plus Paillaugue transformait donnant du corps à l'avance des joueurs de Philippe Saint-André 14-0. A l'évidence en ce début de match, Montpellier avait la main sur la rencontre.
Montpellier continuait à dominer son adversaire qui allait, enfin, montrer autre chose dans les dix dernières minutes avant la pause en revenant dans les 22 mètres héraultais. Cela était concrétisé, à la 36e, par un essai d'Arrate transformé par Barre.
Le Stade retrouvait des couleurs, même si un slalom du Montpelliérain Garbisi (40e) aurait mérité une meilleure conclusion.
A la pause rien n'était fait, mais Montpellier avait montré de belles choses.
Stade Armand Cesari de Furiani.
Arbitre: M. Rousset
Spectateurs: 3.000
Montpellier
Lamositele, Guirado, Haouas, Verhaeghe, Chalureau, Dakuwaqa (Hamadache 26e), Mercer, Tauleigne (Devergie 41e) - Paillaugue (Aprasidze 41e), Garbisi (Foursans 41e) - Rattez, Darmon, Doumayrou, Ngandebe - Tisseron.
Stade Français
M. Alo Emile, Da Silva, P. Alo Emile, De Giovanni (Rixen 60e), Maestri, Burban (Kakovin 25e) , Briatte, Gray - Hall (Coville 41e), Barre - Naivalu, Laumape, Arrate, Lapegue - Veianu.
Pour Montpellier: 2 essais Garbisi (8e). Verhaeghe (17e) 2 transformations Paillaugue (8e, 17e). carton jaune: Dakuwaka (69e)
Pour le Stade Français: 4 essais Arrate (36e) Coville (53e) Francoz (71e) P. Alo Emile (77e). 4 transformations: Barre (36e 53e) Coville (71e, 77e).
Evolution du score. 7-0 (8e) 14-0 (17e) 14-7 (36e) 14-14 (53e) 14-21 (71e) 14-28 (77e)
Une revue d'effectif pour les deux équipes, effectuée en présence du président de la FFR Bernard Laporte, en prévision de la reprise prochaine du championnat dans une quinzaine de jours. Le coup d'envoi était donné par le karatéka Steven Da Costa médaillé d'or des récents Jeux de Tokyo.
Dès le coup d'envoi, les Parisiens mettaient la défense héraultaise sous pression. Le Stade jouait le défi physique, mais Montpellier faisait front sans faiblir et trouvait, même, la faille à la 8e quand, à l'issue d'une touche, Garbisi filait dans un trou de souris et aplatissait entre les poteaux. Paillaugue passait le cuir entre les perches et Montpellier menait 7 à 0. Les Montpelliérains étaient à deux doigts de récidiver quatre minutes plus tard, au moment où ce même Garbisi ajustait une passe au pied pour Doumayrou qui était rattrapé in-extremis. Ce n'était que partie remise. A la 17e, le paquet d'avants de Montpellier enfonçait la défense parisienne envoyant Verhaeghe à l'essai; Une fois de plus Paillaugue transformait donnant du corps à l'avance des joueurs de Philippe Saint-André 14-0. A l'évidence en ce début de match, Montpellier avait la main sur la rencontre.
Montpellier continuait à dominer son adversaire qui allait, enfin, montrer autre chose dans les dix dernières minutes avant la pause en revenant dans les 22 mètres héraultais. Cela était concrétisé, à la 36e, par un essai d'Arrate transformé par Barre.
Le Stade retrouvait des couleurs, même si un slalom du Montpelliérain Garbisi (40e) aurait mérité une meilleure conclusion.
A la pause rien n'était fait, mais Montpellier avait montré de belles choses.
Le Stade Français revient et passe devant
A la reprise, les staffs avaient procédé à de nombreux changements, avec du côté montpelliérain une nouvelle charnière avec les entrées d'Aprasidze et Foursans, alors que côté Stadiste Coville remplaçait Hall à la mêlée.
Le début de ce deuxième acte était plus équilibré. Le Stade revenait à la hauteur de son adversaire à la 53e. A la suite d'une interception Coville filait à l'essai. Barre passait la transformation et les deux équipes étaient dos à dos (14-14).
Le Stade était plus à son affaire. C'était au tour de Montpellier d'être moins à son aise surtout que l'équipe de l'Hérault finissait le match à 14 suite au carton jaune de Dakuwaka. Le Stade Français prenait l'avantage à neuf minutes du terme quand, au sortir d'une mêlée, Francoz aplatissait. La transformation de Coville faisait passer les Parisiens en tête 21 à 14. les joueurs de la Capitale enfonçaient le clou à trois minutes du terme sur un quatrième essai en force du pilier droit Paul Alo Emile. Coville réussissait la transformation scellant le succès francilien 28 à 14 au terme d'un deuxième acte renversant.
Le rideau venait de tomber sur cet inédit Montpellier - Stade Français qui a tenu toutes ses promesses
Le début de ce deuxième acte était plus équilibré. Le Stade revenait à la hauteur de son adversaire à la 53e. A la suite d'une interception Coville filait à l'essai. Barre passait la transformation et les deux équipes étaient dos à dos (14-14).
Le Stade était plus à son affaire. C'était au tour de Montpellier d'être moins à son aise surtout que l'équipe de l'Hérault finissait le match à 14 suite au carton jaune de Dakuwaka. Le Stade Français prenait l'avantage à neuf minutes du terme quand, au sortir d'une mêlée, Francoz aplatissait. La transformation de Coville faisait passer les Parisiens en tête 21 à 14. les joueurs de la Capitale enfonçaient le clou à trois minutes du terme sur un quatrième essai en force du pilier droit Paul Alo Emile. Coville réussissait la transformation scellant le succès francilien 28 à 14 au terme d'un deuxième acte renversant.
Le rideau venait de tomber sur cet inédit Montpellier - Stade Français qui a tenu toutes ses promesses