« J’ai pensé à cette histoire il y a seize ans » explique l’auteur. «Cette œuvre dépeint tout mon imaginaire et symbolise la métaphore du monde de demain tel que je le vois » poursuit Maxime Jal Orsatelli dont les centres d’intérêt sont multiples : musique, sport, rencontres humaines, le rire. Il a d’ailleurs composé de nombreux morceaux de musique, dont la bande originale de l’œuvre Terrestia.
Terrestia est une œuvre de science-fiction, d'anticipation regroupant des thèmes philosophiques, politiques, sociaux, humains et existentiels. «Un monde où l'hyper-connexion des I.ndividus, humains ayant échangé leurs noms contre des identifiants dans le but de devenir des transhumains, a fini par ôter petit à petit leurs droits inaliénables et autres fondamentaux comme liberté, libre-arbitre, rapprochement naturel, relations sexuelles, liberté d'expression, langage, et même notion du temps. Cela résulte du Programme Némésis qui promet le Bonheur Impérial et les classe sur l’Echelon selon le principe de la Non-Pensée. Ce Programme leur assure une totale prise en charge, soins augmentés, logements, don de pilules à satiété, et a mis en place un système de domination et de contrôle sans précédent, voulu par les I.ndividus. Son réseau de surveillance enregistre toutes leurs discussions et ne tolère que le langage politiquement correct. Le tout dans un souci de sécurité et de protection, dans un monde à réalité augmentée se voulant non- violent. Une puce a été implantée dans chaque I.ndividu et leur permet de bénéficier d'une médecine connectée régit par une Intelligence Artificielle qui connait tous leurs symptômes avant que ces derniers ne les ressentent. Cette I.A prend la forme d'hologramme et résonne comme la première distorsion avec le réel. La deuxième est une paire de lunettes à réalité augmentée, ayant remplacé l'ordinateur et le téléphone portable.
Des « Specs » qu'ils portent soit pour se connecter au Programme qui puise leur énergie de vie pendant qu’ils restent toute la journée assis, câblés sur leurs fauteuils. Soit pour se divertir lorsqu’ils rentrent chez eux avec les « Ludi », des jeux que propose la Toile. L’argent n'existant plus, ayant été la cause de ségrégation, de jalousie, d'entraves et de malheurs, seules les ressources humaines telles que la pensée et l'énergie sont une valeur d'échange contre le Programme qui tend à les augmenter pour en faire des transhumains, tandis que son Fondateur, lui, n'a pour but que son Immortalité».
Après la publication de ce livre, l’auteur souhaiterait que son roman Terrestia soit adapté au cinéma, «tant son pouvoir visuel est prégnant ».
* Editions La Plume Rebelle.
Terrestia est une œuvre de science-fiction, d'anticipation regroupant des thèmes philosophiques, politiques, sociaux, humains et existentiels. «Un monde où l'hyper-connexion des I.ndividus, humains ayant échangé leurs noms contre des identifiants dans le but de devenir des transhumains, a fini par ôter petit à petit leurs droits inaliénables et autres fondamentaux comme liberté, libre-arbitre, rapprochement naturel, relations sexuelles, liberté d'expression, langage, et même notion du temps. Cela résulte du Programme Némésis qui promet le Bonheur Impérial et les classe sur l’Echelon selon le principe de la Non-Pensée. Ce Programme leur assure une totale prise en charge, soins augmentés, logements, don de pilules à satiété, et a mis en place un système de domination et de contrôle sans précédent, voulu par les I.ndividus. Son réseau de surveillance enregistre toutes leurs discussions et ne tolère que le langage politiquement correct. Le tout dans un souci de sécurité et de protection, dans un monde à réalité augmentée se voulant non- violent. Une puce a été implantée dans chaque I.ndividu et leur permet de bénéficier d'une médecine connectée régit par une Intelligence Artificielle qui connait tous leurs symptômes avant que ces derniers ne les ressentent. Cette I.A prend la forme d'hologramme et résonne comme la première distorsion avec le réel. La deuxième est une paire de lunettes à réalité augmentée, ayant remplacé l'ordinateur et le téléphone portable.
Des « Specs » qu'ils portent soit pour se connecter au Programme qui puise leur énergie de vie pendant qu’ils restent toute la journée assis, câblés sur leurs fauteuils. Soit pour se divertir lorsqu’ils rentrent chez eux avec les « Ludi », des jeux que propose la Toile. L’argent n'existant plus, ayant été la cause de ségrégation, de jalousie, d'entraves et de malheurs, seules les ressources humaines telles que la pensée et l'énergie sont une valeur d'échange contre le Programme qui tend à les augmenter pour en faire des transhumains, tandis que son Fondateur, lui, n'a pour but que son Immortalité».
Après la publication de ce livre, l’auteur souhaiterait que son roman Terrestia soit adapté au cinéma, «tant son pouvoir visuel est prégnant ».
* Editions La Plume Rebelle.