Le parti-pris "anti-corse" n'est plus de circonstance. Il s’impose désormais comme une constante, au sein d’une certaine presse française et de nombreux décideurs publics.
Ces derniers mois, publications et communiqués de journalistes, de responsables éditoriaux, de « personnalités » et même de hauts dirigeants du gouvernement, faisant référence à la Corse en des termes outranciers et diffamatoires, se sont multipliés.
Le comble du ridicule a été atteint la semaine dernière avec la publication de l’arrêté du Préfet des Alpes Maritimes, et l’interdiction faite aux supporters du Sporting d’afficher leur soutien à un club et leur appartenance à un territoire.
A cette mesure totalement injustifiée à l’égard d’un club sportif, comme à l’égard de notre peuple, se sont ajoutées les violences perpétrées à l’encontre de la délégation bastiaise.
Pour le PNC, il est aujourd’hui urgent de concrétiser l’indignation collective. La motion que déposera Femu a Corsica lors de la prochaine session de l’Assemblée de Corse, conjuguée à d’autres initiatives citoyennes, juridiques et politiques, s’inscrit clairement dans cette dynamique de refus du racisme, et d’affirmation de notre droit au respect et à la dignité.
Ces derniers mois, publications et communiqués de journalistes, de responsables éditoriaux, de « personnalités » et même de hauts dirigeants du gouvernement, faisant référence à la Corse en des termes outranciers et diffamatoires, se sont multipliés.
Le comble du ridicule a été atteint la semaine dernière avec la publication de l’arrêté du Préfet des Alpes Maritimes, et l’interdiction faite aux supporters du Sporting d’afficher leur soutien à un club et leur appartenance à un territoire.
A cette mesure totalement injustifiée à l’égard d’un club sportif, comme à l’égard de notre peuple, se sont ajoutées les violences perpétrées à l’encontre de la délégation bastiaise.
Pour le PNC, il est aujourd’hui urgent de concrétiser l’indignation collective. La motion que déposera Femu a Corsica lors de la prochaine session de l’Assemblée de Corse, conjuguée à d’autres initiatives citoyennes, juridiques et politiques, s’inscrit clairement dans cette dynamique de refus du racisme, et d’affirmation de notre droit au respect et à la dignité.