Le conseil scientifique a rendu, avant-hier, un avis sur les modalités sanitaires du processus électoral. Il ne s’oppose, donc, pas à la tenue du second tour des élections municipales mais s’il souligne la nette amélioration du contexte sanitaire, il reconnait une incertitude rendant difficile les anticipations. Il appelle, donc, à tenir compte de la situation épidémiologique dans les 15 jours précédant la date décidée du scrutin.
Il est évident que la première de nos préoccupations doit rester la sécurité de nos concitoyens. Nous serons extrêmement attentifs à l’évolution de l’épidémie et nous respecterons scrupuleusement les mesures dictées par les autorités publiques sur la base de données scientifiques fiables.
Dans une élection au contexte si particulier, les candidats auront à reprendre le fil de leur campagne pour permettre à la démocratie de s’exprimer
Les résultats du premier tour ont sonné comme une sanction du très mauvais bilan porté par la majorité sortante qui est devenue, de fait, une minorité municipale.
Ils ont fait également de « Spartimu l’avvene » la première des listes d’opposition avec plus de 20% des voix.
Cela souligne la reconnaissance de la qualité et de la pertinence de notre projet de rassemblement.
Et, justement, l’un des enseignements à tirer de cette épidémie c’est qu’il nous faut apprendre à gouverner plus à l’unisson pour le bien commun
Alors que le monde tel que nous le connaissons a été frappé par un véritable cataclysme, et que notre île va devoir surmonter une crise sociale et économique, nul ne saurait prétendre, seul, avoir toutes les solutions pour faire face aux difficultés qui s’amoncellent.
Suite à ce premier tour il m’incombe la responsabilité de construire et de faire gagner une alliance des listes d’opposition. Je vais m’y atteler sans volonté hégémonique mais autour d’un projet qui permettra à notre ville de triompher de ces épreuves.
J’invite Jean Zuccarelli, Julien Morganti et Jean Martin Mondoloni à la discussion pour jeter les bases de cette union qui, au regard de ces circonstances historiques, s’avère indispensable à la sauvegarde de l’intérêt commun des Bastiais qui doit guider notre action
Il est évident que la première de nos préoccupations doit rester la sécurité de nos concitoyens. Nous serons extrêmement attentifs à l’évolution de l’épidémie et nous respecterons scrupuleusement les mesures dictées par les autorités publiques sur la base de données scientifiques fiables.
Dans une élection au contexte si particulier, les candidats auront à reprendre le fil de leur campagne pour permettre à la démocratie de s’exprimer
Les résultats du premier tour ont sonné comme une sanction du très mauvais bilan porté par la majorité sortante qui est devenue, de fait, une minorité municipale.
Ils ont fait également de « Spartimu l’avvene » la première des listes d’opposition avec plus de 20% des voix.
Cela souligne la reconnaissance de la qualité et de la pertinence de notre projet de rassemblement.
Et, justement, l’un des enseignements à tirer de cette épidémie c’est qu’il nous faut apprendre à gouverner plus à l’unisson pour le bien commun
Alors que le monde tel que nous le connaissons a été frappé par un véritable cataclysme, et que notre île va devoir surmonter une crise sociale et économique, nul ne saurait prétendre, seul, avoir toutes les solutions pour faire face aux difficultés qui s’amoncellent.
Suite à ce premier tour il m’incombe la responsabilité de construire et de faire gagner une alliance des listes d’opposition. Je vais m’y atteler sans volonté hégémonique mais autour d’un projet qui permettra à notre ville de triompher de ces épreuves.
J’invite Jean Zuccarelli, Julien Morganti et Jean Martin Mondoloni à la discussion pour jeter les bases de cette union qui, au regard de ces circonstances historiques, s’avère indispensable à la sauvegarde de l’intérêt commun des Bastiais qui doit guider notre action