Claudine Orabona et son équipe de la liste "Anima Calvese" ont officiellement lancé leur campagne pour l'élection municipale des 15 et 22 mars 2020 en inaugurant à 18 heures leur permanence dans les locaux du "Captain Resto" sur le port de plaisance "Xavier-Colonna" à Calvi.
Une inauguration qui s'est déroulée dans une ambiance chaleureuse.
A chaque chose dans son temps, donc pas de programme détaillé, ni présentation de liste pour cette première, mais simplement une prise de contact avec les calvaises et calvais autour d'un cocktail de bienvenue.
Claudine Orabona prenait en premier la parole pour rappeler son attachement à sa ville où elle est née et où elle a grandi, avant de souligner qu'elle était entourée "de colistiers motivés, investis qui ont travaillé à l'élaboration d'un programme pour présenter des propositions à la fois simples et concrètes que l'on pourra, je l'espère, mettre en oeuvre à court ou moyen terme. Nous ne sommes pas satisfait de la gestion de Calvi depuis maintenant plus de 25 ans. Notre ville s'est enlaidie. Nous n'avons plus ce lien social qui nous unissait. Avec mes jeunes colistiers, je me suis rendu compte que nous partagions tous ce sentiment. Nous espérons de tout coeur reconstruire cette âme calvaise.
Le choix de notre liste s'est imposé comme une évidence: "Anima calvese". C'est notre âme que nous voulons retrouver."
Claudine Orabona répondait ensuite à la question de l'orientation de sa liste: " "On nous a souvent posé la questions: vous avez des nationalistes? et pourquoi vous avez accepté de mener cette liste?.
Alors oui il y az des nationalistes sur notre liste, oui il y a des personnes de droite, il y a des personnes de gauche, il y a des calvais, il y a des gens qui au delà de tous les partis politiques veulent témoigner leur attachement à leur ville, veulent améliorer le quotidien de leurs habitants et nous allons y arriver.
Je sais que l'on m'a reproché de ne pas être à Calvi tout le temps. C'est vrai que depuis plus de 25 ans j'exerce la profession d'avocat sur Bastia mais je le répète, je suis née ici, j'y ai effectué toute ma scolarité et je partage avec beaucoup d'entre vous les mêmes souvenirs. Nous avons en commun une chose, c'est que nous sommes nés à Calvi, parce que mon grand-père médecin a mis au monde beaucoup de ceux qui sont présents ce soir.
Ne vous inquiétez pas c'est avec beaucoup de sérieux que nous allons élaborer et vous présenter de façon collective notre programme dans les prochains jours. Notre liste fait la part belle aux jeunes car une combat politique doit s'inscrire dans la durée et tourné vers l'avenir".
Comme pour étayer son propos, c'est tout naturellement qu'elle passait le micro à un jeune calvais, Sasha Rutily: " Notre génération a une sensibilité différente de notre ville. On a des idées, des ambitions différentes. Avec la sagesse des personnes expérimentées qui nous entourent on peut proposer à nos citoyens d'autres alternatives, de nouvelles ambitions pour notre ville. Je remercie Claudine Orabona de sa confiance".
C'est une autre calvaise, Coralie Camilli qui devait clore les interventions en se présentant au public, rappelant qu'elle est née et qu'elle a grandi au "Paisolu".
" Je viens de passer ces dix dernières années sur le continent à faire des études de philosophie jusqu'au Doctorat. Maintenant je suis Maître de conférence et j'aimerais revenir en Corse, j'aimerais habiter ici, , j'aimerais faire ma vie ici tout en ayant la possibilité de travailler sur le continent. Je suis viscéralement attachée à ma vile je suis déterminée à faire quelque chose pour améliorer certains points sur lesquels on peut tous être d'accord: les liens s sociaux, l'accès au logement, l'accès à la culture, à la santé, l'écologie, préservation du patrimoine, sont autant d'axes de notre programme que l'on vous présentera avec Claudine Orabona dans les prochaines semaines".
Enfin, Ghjulia Robichon s'exprimait en qualité d'élue municipale d'opposition: " C'est pour continuer à être à vos cotés que je souhaitais être présente ce soir, auprès de Claudine Orabona et des autres colistiers de notre démarche "Anima Calvese" pour poursuivre cette conviction qui est aussi celle de "Calvi Altrimente" depuis 12 ans, qu'une autre organisation de la ville est non seulement possible mais qu'elle est surtout souhaitable. Notre détermination réside dans le fait qu'une alternative est nécessaire et indispensable, non pas pour le simple plaisir de nous opposer, mais parce que nous ne pouvons pas nous résoudre à laisser la ville que nous aimons et qui nous a fait, sombrer dans une gestion opaque qui conduit à l'exclusion d'un nombre toujours plus grand d'individus. Les jeunes qui viennent garnir nos rangs aujourd'hui le savent sans doute mieux que nous et, c'est d'ailleurs je le pense un marqueur fort de leur volonté de changement" . Et de conclure: ""Nous voulons faire revivre cette anima, l'âme calvaise que nous vous proposons d'incarner pour que la ville qui appartient à toute sa population soit à nouveau une citadelle de transparence et de bien être au service de tous".
Tous étaient invités à se rapprocher du buffet.
Une inauguration qui s'est déroulée dans une ambiance chaleureuse.
A chaque chose dans son temps, donc pas de programme détaillé, ni présentation de liste pour cette première, mais simplement une prise de contact avec les calvaises et calvais autour d'un cocktail de bienvenue.
Claudine Orabona prenait en premier la parole pour rappeler son attachement à sa ville où elle est née et où elle a grandi, avant de souligner qu'elle était entourée "de colistiers motivés, investis qui ont travaillé à l'élaboration d'un programme pour présenter des propositions à la fois simples et concrètes que l'on pourra, je l'espère, mettre en oeuvre à court ou moyen terme. Nous ne sommes pas satisfait de la gestion de Calvi depuis maintenant plus de 25 ans. Notre ville s'est enlaidie. Nous n'avons plus ce lien social qui nous unissait. Avec mes jeunes colistiers, je me suis rendu compte que nous partagions tous ce sentiment. Nous espérons de tout coeur reconstruire cette âme calvaise.
Le choix de notre liste s'est imposé comme une évidence: "Anima calvese". C'est notre âme que nous voulons retrouver."
Claudine Orabona répondait ensuite à la question de l'orientation de sa liste: " "On nous a souvent posé la questions: vous avez des nationalistes? et pourquoi vous avez accepté de mener cette liste?.
Alors oui il y az des nationalistes sur notre liste, oui il y a des personnes de droite, il y a des personnes de gauche, il y a des calvais, il y a des gens qui au delà de tous les partis politiques veulent témoigner leur attachement à leur ville, veulent améliorer le quotidien de leurs habitants et nous allons y arriver.
Je sais que l'on m'a reproché de ne pas être à Calvi tout le temps. C'est vrai que depuis plus de 25 ans j'exerce la profession d'avocat sur Bastia mais je le répète, je suis née ici, j'y ai effectué toute ma scolarité et je partage avec beaucoup d'entre vous les mêmes souvenirs. Nous avons en commun une chose, c'est que nous sommes nés à Calvi, parce que mon grand-père médecin a mis au monde beaucoup de ceux qui sont présents ce soir.
Ne vous inquiétez pas c'est avec beaucoup de sérieux que nous allons élaborer et vous présenter de façon collective notre programme dans les prochains jours. Notre liste fait la part belle aux jeunes car une combat politique doit s'inscrire dans la durée et tourné vers l'avenir".
Comme pour étayer son propos, c'est tout naturellement qu'elle passait le micro à un jeune calvais, Sasha Rutily: " Notre génération a une sensibilité différente de notre ville. On a des idées, des ambitions différentes. Avec la sagesse des personnes expérimentées qui nous entourent on peut proposer à nos citoyens d'autres alternatives, de nouvelles ambitions pour notre ville. Je remercie Claudine Orabona de sa confiance".
C'est une autre calvaise, Coralie Camilli qui devait clore les interventions en se présentant au public, rappelant qu'elle est née et qu'elle a grandi au "Paisolu".
" Je viens de passer ces dix dernières années sur le continent à faire des études de philosophie jusqu'au Doctorat. Maintenant je suis Maître de conférence et j'aimerais revenir en Corse, j'aimerais habiter ici, , j'aimerais faire ma vie ici tout en ayant la possibilité de travailler sur le continent. Je suis viscéralement attachée à ma vile je suis déterminée à faire quelque chose pour améliorer certains points sur lesquels on peut tous être d'accord: les liens s sociaux, l'accès au logement, l'accès à la culture, à la santé, l'écologie, préservation du patrimoine, sont autant d'axes de notre programme que l'on vous présentera avec Claudine Orabona dans les prochaines semaines".
Enfin, Ghjulia Robichon s'exprimait en qualité d'élue municipale d'opposition: " C'est pour continuer à être à vos cotés que je souhaitais être présente ce soir, auprès de Claudine Orabona et des autres colistiers de notre démarche "Anima Calvese" pour poursuivre cette conviction qui est aussi celle de "Calvi Altrimente" depuis 12 ans, qu'une autre organisation de la ville est non seulement possible mais qu'elle est surtout souhaitable. Notre détermination réside dans le fait qu'une alternative est nécessaire et indispensable, non pas pour le simple plaisir de nous opposer, mais parce que nous ne pouvons pas nous résoudre à laisser la ville que nous aimons et qui nous a fait, sombrer dans une gestion opaque qui conduit à l'exclusion d'un nombre toujours plus grand d'individus. Les jeunes qui viennent garnir nos rangs aujourd'hui le savent sans doute mieux que nous et, c'est d'ailleurs je le pense un marqueur fort de leur volonté de changement" . Et de conclure: ""Nous voulons faire revivre cette anima, l'âme calvaise que nous vous proposons d'incarner pour que la ville qui appartient à toute sa population soit à nouveau une citadelle de transparence et de bien être au service de tous".
Tous étaient invités à se rapprocher du buffet.