"Si nous reprenons le travail, c'est par souci d'honnêteté envers les centres, les apprentis et les élèves, assure Marie-Françoise Poletti, représentante syndicale STC et enseignante du lycée agricole concerné par les problèmes de gestion du personnel dans le centre de formation CFA-CFPPA. Mais il y a des gens en arrêt, on reprend en assurant un service minimum..." La grève durant depuis deux semaines maintenant, la décision a été prise pour limiter l'impact financier de l'absence de cours : "on perd de l'argent et ce n'est pas le but, on ne veut pas que les centres s'effondrent."
Reste qu'aucune décision de la part de l'autorité académique n'a été donnée. "Nous avons demandé une mise en sécurité immédiate du personnel avec, si possible, une mutation immédiate de la personne concernée, rappelle Marie-Françoise Poletti, insistant sur le fait que le dossier n'avance pas et qu'en attendant, c'est la grande débrouille. Huit agents ont été reçus ce lundi à la médecine du travail à leur demande et non par l'autorité académique, qui n'a pas jugé bon de les y envoyer... D'autres étaient à Ajaccio et d'autres au lycée pour maintenir le blocus."
La solution avancée par les services académiques est la mise en arrêt maladie de "la personne concernée", mais celle-ci n'est que temporaire.
Reste qu'aucune décision de la part de l'autorité académique n'a été donnée. "Nous avons demandé une mise en sécurité immédiate du personnel avec, si possible, une mutation immédiate de la personne concernée, rappelle Marie-Françoise Poletti, insistant sur le fait que le dossier n'avance pas et qu'en attendant, c'est la grande débrouille. Huit agents ont été reçus ce lundi à la médecine du travail à leur demande et non par l'autorité académique, qui n'a pas jugé bon de les y envoyer... D'autres étaient à Ajaccio et d'autres au lycée pour maintenir le blocus."
La solution avancée par les services académiques est la mise en arrêt maladie de "la personne concernée", mais celle-ci n'est que temporaire.