Lionel Mortini, président de la communauté de communes de Lisula et maire de Belgudè.
- Le bruit court que vous seriez peut-être candidat aux élections législatives du mois de juin. Le confirmez-vous ?
- Rien n'est encore décidé. Mais oui, j’y travaille, j’écoute, je rencontre. Sur une campagne législative, il y a certainement de nombreuses choses à dire en tant que Nationaliste du rural. Et je le sais, je ne me trompe pas d’élections ! Pour l'heure, je n’ai pas encore pris de décision car cela demande une grande réflexion. C'est un engagement pour une campagne d'une part, mais également un engagement personnel d'autre part. Il y a un réel questionnement sur le plan familial. Donc, j'en suis au stade où je me pose beaucoup de questions dont les réponses pèsent d'un côté, comme de l'autre, dans la balance.
- Si votre candidature est actée, cela voudrait dire que vous iriez contre le député sortant, Jean-Félix Acquaviva, également nationaliste ?
- Le député Jean-Félix Acquaviva se représentera certainement. Mais qui est contre qui ? Ça, je n’en sais rien pour le moment. Et ce n’est pas parce qu’il y a un sortant que personne n’a le droit de se présenter. Je ne vais pas demander d’autorisation. Je suis un candidat nationaliste libre comme je l'ai toujours été.
- Sur quoi serait axée votre campagne ?
- Il y a une grande réflexion sur les besoins exprimés par les Corses, comme être présents différemment à Paris. J’ai beaucoup de choses à dire qui ne sont pas dites, avec une façon de faire qui m'est propre. Je travaille sur le terrain, sur la Balagne, depuis de nombreuses années. Je pense qu’il faut transformer ce pays qui est le nôtre. Nous sommes là ! Il faut que nous soyons représentés et que nous puissions aussi nous battre pour le construire et le changer avec toutes les problématiques que l'on connaît. Mais j’aurais le temps, si je suis candidat, d’en parler, de m’exprimer et de dire ce que je souhaite faire. Je ne vais pas me précipiter. On sait que j’y réfléchis. Aujourd’hui, ma décision n'est pas encore prise, mais je ne me refuse pas à une candidature. Ce qu'on verra dans les prochaines semaines. Je n’ai pas de délais, car j'ai jusqu’au mois d’avril pour être candidat, ou pas... Par ailleurs, je tiens à préciser que la défaite ne me fait pas peur. Elle fait partie du combat politique. Nous avons perdu pendant 40 ans, donc ce n’est pas ça qui me gêne le plus.
- Rien n'est encore décidé. Mais oui, j’y travaille, j’écoute, je rencontre. Sur une campagne législative, il y a certainement de nombreuses choses à dire en tant que Nationaliste du rural. Et je le sais, je ne me trompe pas d’élections ! Pour l'heure, je n’ai pas encore pris de décision car cela demande une grande réflexion. C'est un engagement pour une campagne d'une part, mais également un engagement personnel d'autre part. Il y a un réel questionnement sur le plan familial. Donc, j'en suis au stade où je me pose beaucoup de questions dont les réponses pèsent d'un côté, comme de l'autre, dans la balance.
- Si votre candidature est actée, cela voudrait dire que vous iriez contre le député sortant, Jean-Félix Acquaviva, également nationaliste ?
- Le député Jean-Félix Acquaviva se représentera certainement. Mais qui est contre qui ? Ça, je n’en sais rien pour le moment. Et ce n’est pas parce qu’il y a un sortant que personne n’a le droit de se présenter. Je ne vais pas demander d’autorisation. Je suis un candidat nationaliste libre comme je l'ai toujours été.
- Sur quoi serait axée votre campagne ?
- Il y a une grande réflexion sur les besoins exprimés par les Corses, comme être présents différemment à Paris. J’ai beaucoup de choses à dire qui ne sont pas dites, avec une façon de faire qui m'est propre. Je travaille sur le terrain, sur la Balagne, depuis de nombreuses années. Je pense qu’il faut transformer ce pays qui est le nôtre. Nous sommes là ! Il faut que nous soyons représentés et que nous puissions aussi nous battre pour le construire et le changer avec toutes les problématiques que l'on connaît. Mais j’aurais le temps, si je suis candidat, d’en parler, de m’exprimer et de dire ce que je souhaite faire. Je ne vais pas me précipiter. On sait que j’y réfléchis. Aujourd’hui, ma décision n'est pas encore prise, mais je ne me refuse pas à une candidature. Ce qu'on verra dans les prochaines semaines. Je n’ai pas de délais, car j'ai jusqu’au mois d’avril pour être candidat, ou pas... Par ailleurs, je tiens à préciser que la défaite ne me fait pas peur. Elle fait partie du combat politique. Nous avons perdu pendant 40 ans, donc ce n’est pas ça qui me gêne le plus.