Camille de Rocca Serra.
Comme il l’a fait clairement avant le premier tour de l’élection législative, l’ancien député LR, Camille de Rocca Serra, lance, de nouveau un appel à voter pour son ancienne suppléante, Valérie Bozzi, en ballotage défavorable dans la 2nde circonscription de Corse du Sud. C’est d’abord, pour l’ancien leader de la droite insulaire, une question d’enjeu politique à quelques jours de l’ouverture d’un processus de négociations sur l’autonomie de l’île. « Si ce second tour des élections législatives représente un enjeu majeur au niveau national, il en devient crucial au niveau de la Corse. A l'heure où doivent s'ouvrir des discussions de fond avec le Gouvernement sur l'avenir de notre île, les Corses devront choisir dimanche celles et ceux qui sauront au mieux les représenter, porter leur voix et mener dans les meilleurs conditions ce dialogue avec l'Etat ».
Une question de posture
Camille de Rocca Serra tacle l’action des députés nationalistes sortants et dénonce leur « posture » vis-à-vis de l’Etat : « Cela fait trop longtemps que les forces nationalistes abordent une posture d'affrontement stérile qui ne permet pas de parvenir à des solutions adaptées. Dans le sillage et l'ombre de Jean-Félix Acquaviva, c'est le positionnement de Paul-André Colombani dont l'action parlementaire s'est avérée vaine et superficielle, n'apportant aucune plus-value pour la Corse si ce n'est quelques effets d'annonce et prises de position médiatiques ». Avant de faire le bilan de ces trois mandats de député entre 2002 et 2017 où il a été battu par les Nationalistes : « Ayant exercé quinze années durant ce mandat parlementaire, et ayant travaillé auprès de mon père plus encore, je sais quel rôle doit jouer un député, publiquement, mais aussi en relais parfois discret entre la circonscription, le Parlement et le Gouvernement. Ce qui m'a permis d'obtenir des avancées importantes en termes d'économie, d'agriculture, de fiscalité, de résorption du désordre foncier, etc... ».
L’appel à droite
Après avoir annoncé sa candidature pour l’actuel scrutin, Camille de Rocca Serra s’était fait damer le pion par son ancienne suppléante et avait du renoncer, non sans amertume. Pourtant, c’est sans ambiguïté qu’il appelle à voter, dimanche prochain, pour la candidate de droite : « Dimanche, il faudra faire le choix du pragmatisme, du sérieux et du travail. Des principes que j'ai en partage avec Valérie Bozzi qui serait plus à même que le sortant de nouer un dialogue fécond dans le cadre des futures discussions. Elle a été ma suppléante en 2017. Elle représente la famille libérale dans la rive Sud. J'appelle toutes celles et ceux qui m'ont toujours accompagné dans mon engagement public à se mobiliser en faveur de Valérie Bozzi et Pierre Castellani le 19 juin pour éviter que la Corse et notre circonscription ne perdent à nouveau cinq ans ».
Une question de posture
Camille de Rocca Serra tacle l’action des députés nationalistes sortants et dénonce leur « posture » vis-à-vis de l’Etat : « Cela fait trop longtemps que les forces nationalistes abordent une posture d'affrontement stérile qui ne permet pas de parvenir à des solutions adaptées. Dans le sillage et l'ombre de Jean-Félix Acquaviva, c'est le positionnement de Paul-André Colombani dont l'action parlementaire s'est avérée vaine et superficielle, n'apportant aucune plus-value pour la Corse si ce n'est quelques effets d'annonce et prises de position médiatiques ». Avant de faire le bilan de ces trois mandats de député entre 2002 et 2017 où il a été battu par les Nationalistes : « Ayant exercé quinze années durant ce mandat parlementaire, et ayant travaillé auprès de mon père plus encore, je sais quel rôle doit jouer un député, publiquement, mais aussi en relais parfois discret entre la circonscription, le Parlement et le Gouvernement. Ce qui m'a permis d'obtenir des avancées importantes en termes d'économie, d'agriculture, de fiscalité, de résorption du désordre foncier, etc... ».
L’appel à droite
Après avoir annoncé sa candidature pour l’actuel scrutin, Camille de Rocca Serra s’était fait damer le pion par son ancienne suppléante et avait du renoncer, non sans amertume. Pourtant, c’est sans ambiguïté qu’il appelle à voter, dimanche prochain, pour la candidate de droite : « Dimanche, il faudra faire le choix du pragmatisme, du sérieux et du travail. Des principes que j'ai en partage avec Valérie Bozzi qui serait plus à même que le sortant de nouer un dialogue fécond dans le cadre des futures discussions. Elle a été ma suppléante en 2017. Elle représente la famille libérale dans la rive Sud. J'appelle toutes celles et ceux qui m'ont toujours accompagné dans mon engagement public à se mobiliser en faveur de Valérie Bozzi et Pierre Castellani le 19 juin pour éviter que la Corse et notre circonscription ne perdent à nouveau cinq ans ».