- Pourquoi avez-vous décidé de renouveler votre mandat, sous quelle étiquette et avec quelle équipe ?
- Il reste encore beaucoup à faire, nous n’avons réalisé qu’un seul mandat, et nous avons collectivement l’énergie nécessaire pour pouvoir donner de notre temps aux Ajacciennes et aux Ajacciens.
Je suis un homme assumé de centre droit mais au regard de ma liste, je pense que chacun a pu constater que je suis sous une étiquette bien spéciale, celle d’Ajaccio. Bien qu’il y ait de nouvelles têtes sur cette liste, la majorité de l’équipe partage mon mandat et apporte son expérience. Nous avons réalisé un rassemblement, en ouvrant à la société civile, à des personnes nationalistes ou de gauche mais nous avons avant tout une liste de personnes qui aiment leur ville et veulent travailler pour elle.
- Quel score comptez-vous obtenir au premier tour et que ferez-vous pour le second tour, avez-vous songé à des éventuelles alliances ?
- Je ne fais pas de pronostics, je n’aime pas cela. C’est un jeu auquel je ne m’adonne pas. J’espère néanmoins que les Ajacciens nous placeront en tête. Il n’y a pas de discussion autour d’alliances potentielles, je ne suis pas friand des « mercatos » d’entre deux tours. J’espère l’emporter avec mes quarante-huit amis mais je n’insulte pas l’avenir et je ne sous-estime pas mes compétiteurs.
- Quel bilan tirez-vous de votre dernière mandature, vos réalisations ?
- Avec mon équipe, nous avons travaillé avec rigueur pour redresser une situation financière dégradée, tout en restant fidèles à notre engagement de ne pas augmenter les impôts. Cette promesse, difficile à tenir, n’a toutefois pas empêché notre ville de connaître une période inédite durant laquelle d’importants investissements ont embelli la capitale de la Corse. Les nombreux exemples de transformation urbaine sont là pour attester de cette envie de changements et d’ambitions retrouvés pour Ajaccio.
Cependant, il ne faut pas dire que tout est parfait, ce serait manquer d’honnêteté envers les Ajacciens et de lucidité. Certaines choses n’ont pu être engagées faute de temps ou de moyens. Beaucoup reste encore à faire, des problèmes à résoudre et des améliorations à réaliser.
Il s’agit d’une part de s’inscrire dans une continuité des projets avec notamment les projets de la rocade ou de la route des sanguinaires qu’il nous faut achever mais également tendre vers l’avenir en proposant entre autres des aménagements durable avec la création d’éco-quartiers comme, la création d’une promenade sur le front de mer, de plus de 1 000 places de stationnement supplémentaires avec de nouveaux modes de déplacements tels que le téléphérique ou l’ascenseur urbain.
- Quel est votre projet pour cette nouvelle mandature ? Sur quels axes avez vous travaillé ?
- Ce projet porte une ambition, nous avons la volonté de nous investir avec précision, crédibilité et réalisme. Pour cela nous avons travaillé autour des trois axes majeurs. En premier lieu, l’Environnement qui englobe également la mobilité et les transports et l’économie, ensuite, l’humain avec l’aménagement du territoire, le « vivre ensemble » ainsi que le sport et le tourisme et enfin l’identité avec le patrimoine, la culture, les festivités, la vie des quartiers, la langue corse et le développement de la marque Napoléon. Ces axes sont transversaux, on ne peut pas les exclure les uns des autres. C’est une vision globale qu’il nous faut avoir municipale mais également intercommunale.
- Quelles sont les problématiques de votre ville ?
- Ajaccio souffre d’un contexte conjoncturel avec un problème de stationnement et de circulation mais pas plus qu’ailleurs. Chacun doit prendre ses responsabilités notamment au niveau des routes territoriales. Le cœur de ville commerçant souffre certes, mais je ne suis pas le maire de Sarrola-Carcopino, la polémique sur les grands centres commerciaux ne nous est pas imputable, nous travaillons justement sur un développement du centre-ville avec la mise en place de boutiques éphémères, la création d’un pôle entrepreneurial innovant avec la rénovation de la cité Grossetti ou encore la valorisation du patrimoine napoléonien qui est un atout quant à l’attractivité.
Autre grande problématique que nous avons évoquée pendant notre mandature est le réchauffement climatique. Nous sommes face à de véritables « défis environnementaux », à des problèmes que nous n’avions jamais rencontré auparavant.
- Quelle est votre priorité ?
- Tout est important et transversal, que ce soit la création de logements sociaux ou la rénovation des bâtiments existants, la création de parking, le développement d’un plan de déplacement urbain etc. Cependant, comme évoqué précédemment, la protection et la préservation de notre environnement est nécessaire. Il nous faut repenser le Vazzio, être soucieux de l’amélioration de la qualité de l’air, continuer de valoriser le site de la Parata, penser au traitement des déchets, à la propreté urbaine, à la rénovation de l’éclairage public, à la transition énergétique des bâtiments public et même au bien-être animal qui est présent sur nos engagements de campagne. Des travaux hydrauliques et le photovoltaïque sont au programme également.
Il nous faut penser développement durable avec, entre autres, un projet de piétonisation de la ville génoise, la création de nouvelles pistes cyclables et l’amélioration de la fréquence du tram-train.
- Il reste encore beaucoup à faire, nous n’avons réalisé qu’un seul mandat, et nous avons collectivement l’énergie nécessaire pour pouvoir donner de notre temps aux Ajacciennes et aux Ajacciens.
Je suis un homme assumé de centre droit mais au regard de ma liste, je pense que chacun a pu constater que je suis sous une étiquette bien spéciale, celle d’Ajaccio. Bien qu’il y ait de nouvelles têtes sur cette liste, la majorité de l’équipe partage mon mandat et apporte son expérience. Nous avons réalisé un rassemblement, en ouvrant à la société civile, à des personnes nationalistes ou de gauche mais nous avons avant tout une liste de personnes qui aiment leur ville et veulent travailler pour elle.
- Quel score comptez-vous obtenir au premier tour et que ferez-vous pour le second tour, avez-vous songé à des éventuelles alliances ?
- Je ne fais pas de pronostics, je n’aime pas cela. C’est un jeu auquel je ne m’adonne pas. J’espère néanmoins que les Ajacciens nous placeront en tête. Il n’y a pas de discussion autour d’alliances potentielles, je ne suis pas friand des « mercatos » d’entre deux tours. J’espère l’emporter avec mes quarante-huit amis mais je n’insulte pas l’avenir et je ne sous-estime pas mes compétiteurs.
- Quel bilan tirez-vous de votre dernière mandature, vos réalisations ?
- Avec mon équipe, nous avons travaillé avec rigueur pour redresser une situation financière dégradée, tout en restant fidèles à notre engagement de ne pas augmenter les impôts. Cette promesse, difficile à tenir, n’a toutefois pas empêché notre ville de connaître une période inédite durant laquelle d’importants investissements ont embelli la capitale de la Corse. Les nombreux exemples de transformation urbaine sont là pour attester de cette envie de changements et d’ambitions retrouvés pour Ajaccio.
Cependant, il ne faut pas dire que tout est parfait, ce serait manquer d’honnêteté envers les Ajacciens et de lucidité. Certaines choses n’ont pu être engagées faute de temps ou de moyens. Beaucoup reste encore à faire, des problèmes à résoudre et des améliorations à réaliser.
Il s’agit d’une part de s’inscrire dans une continuité des projets avec notamment les projets de la rocade ou de la route des sanguinaires qu’il nous faut achever mais également tendre vers l’avenir en proposant entre autres des aménagements durable avec la création d’éco-quartiers comme, la création d’une promenade sur le front de mer, de plus de 1 000 places de stationnement supplémentaires avec de nouveaux modes de déplacements tels que le téléphérique ou l’ascenseur urbain.
- Quel est votre projet pour cette nouvelle mandature ? Sur quels axes avez vous travaillé ?
- Ce projet porte une ambition, nous avons la volonté de nous investir avec précision, crédibilité et réalisme. Pour cela nous avons travaillé autour des trois axes majeurs. En premier lieu, l’Environnement qui englobe également la mobilité et les transports et l’économie, ensuite, l’humain avec l’aménagement du territoire, le « vivre ensemble » ainsi que le sport et le tourisme et enfin l’identité avec le patrimoine, la culture, les festivités, la vie des quartiers, la langue corse et le développement de la marque Napoléon. Ces axes sont transversaux, on ne peut pas les exclure les uns des autres. C’est une vision globale qu’il nous faut avoir municipale mais également intercommunale.
- Quelles sont les problématiques de votre ville ?
- Ajaccio souffre d’un contexte conjoncturel avec un problème de stationnement et de circulation mais pas plus qu’ailleurs. Chacun doit prendre ses responsabilités notamment au niveau des routes territoriales. Le cœur de ville commerçant souffre certes, mais je ne suis pas le maire de Sarrola-Carcopino, la polémique sur les grands centres commerciaux ne nous est pas imputable, nous travaillons justement sur un développement du centre-ville avec la mise en place de boutiques éphémères, la création d’un pôle entrepreneurial innovant avec la rénovation de la cité Grossetti ou encore la valorisation du patrimoine napoléonien qui est un atout quant à l’attractivité.
Autre grande problématique que nous avons évoquée pendant notre mandature est le réchauffement climatique. Nous sommes face à de véritables « défis environnementaux », à des problèmes que nous n’avions jamais rencontré auparavant.
- Quelle est votre priorité ?
- Tout est important et transversal, que ce soit la création de logements sociaux ou la rénovation des bâtiments existants, la création de parking, le développement d’un plan de déplacement urbain etc. Cependant, comme évoqué précédemment, la protection et la préservation de notre environnement est nécessaire. Il nous faut repenser le Vazzio, être soucieux de l’amélioration de la qualité de l’air, continuer de valoriser le site de la Parata, penser au traitement des déchets, à la propreté urbaine, à la rénovation de l’éclairage public, à la transition énergétique des bâtiments public et même au bien-être animal qui est présent sur nos engagements de campagne. Des travaux hydrauliques et le photovoltaïque sont au programme également.
Il nous faut penser développement durable avec, entre autres, un projet de piétonisation de la ville génoise, la création de nouvelles pistes cyclables et l’amélioration de la fréquence du tram-train.