- Pourquoi avez-vous décidé de vous maintenir au 2nd tour ?
- Les Bastiais nous ont mis en situation d'être qualifiés. Notre force et notre crédibilité pour ce second tour constituent notre projet.
- Votre appel à l’union avec Jean Zuccarelli et Jean-Martin Mondoloni n’a pas été entendu, comment avez-vous réagi à ce refus ?
- En responsabilité. Au regard des résultats du 1er tour, nous avons tendu la main pour une union que l'on a considérée comme la plus cohérente, crédible et saine. Si les têtes de liste ne l'ont pas acceptée, nous le regrettons. Des anciens colistiers adverses ont rejoint notre démarche. Quelque part, c'est le sens d'un futur pour Bastia : rassembler les Bastiais au-delà des sensibilités politiques.
- Pourquoi avez-vous exclu de votre appel J.-S. De Casalta qui a, à ses côtés, votre ancien allié François Tatti avec lequel vous avez fondé le MCD ?
- Il y a eu une rencontre. Au regard du projet, des valeurs, de l'éthique et de l'attitude pendant la campagne, nous avons considéré que nous pouvions faire une alliance avec deux autres listes (Zuccarelli et Mondoloni, ndlr) pour qu'elle soit, je l'ai dit, la plus cohérente, crédible et saine. Nous n'étions pas dans le même schéma avec M. De Casalta.
- Comment se sont déroulées les discussions avec J-S. De Casalta ?
- Elles se sont très bien passées. A l'issue du 1er tour, nous nous sommes rencontrés, puis de nouveau, le 21 mars dernier. A la suite de tout cela, j'ai acté que je ne pouvais pas participer à une union avec cette liste.
- Êtes-vous dans la même démarche : "Tous sauf les Nationalistes " ?
- On est tous pour Bastia. C'est le sens de notre projet et c'est pour cela que, pour la première fois, au 2nd tour, les électeurs auront la possibilité de voter pour un projet et pas uniquement contre des personnes. C'est ça la force d'un Futur pour Bastia. Nous ne voulons pas revivre 2014 !
- Que vous inspire le retrait des Communistes de la coalition ?
- A titre personnel, j'ai été choqué qu'un courant politique aussi important à Bastia soit liquidé pour des questions de places. En tant que candidat, je comprends ce geste politique fort et cohérent. Je souhaite qu'à l'avenir ce courant, comme d'autres, continue à jouer un rôle majeur dans la vie politique bastiaise et corse.
- Espérez vous récupérer leurs voix ?
-Les voix n'appartiennent à personne. Au-delà d'une union, les valeurs sont importantes. Dans notre projet, nous tendons à la création de richesse pour mieux la distribuer notamment avec, d'un point de vue social, la gratuité des crèches, des cantines et des transports, soit trois marqueurs politiques forts. Nous sommes là pour rassembler les différentes sensibilités politiques au-delà des unions.
- Il y a donc des points dans votre programme qui peuvent satisfaire les Communistes ?
- Il y a des points qui peuvent contenter les Bastiais et ceux de sensibilité aussi bien communiste que libérale. C'est ça la force de notre projet.
- Comment politiquement et d’un point du vue du programme, vous démarquez-vous de l'union ?
- Quand il n'y a pas les Communistes et une partie de la droite, il n'y a pas d'union ! On ne se définit pas par rapport à quelqu'un ou en opposition à quelqu'un, mais par nos propositions, notre projet. Nous avons travaillé pendant un an. Nous considérons qu'on ne peut pas être candidat et crédible quand on débarque dans le paysage trois mois avant une élection. Notre force, c'est la cohérence, l'équipe et le projet.
- Quelle est votre position pour la présidence de la CAB ?
- Nous aurons des partenariats avec les communes. L'intérêt, c'est de définir une stratégie, un consensus et de sortir des six ans de conflits et de blocages que la ville de Bastia a connu.
- Vous avez recueilli 12,42% des suffrages au 1er tour, quel score comptez-vous obtenir au second ?
- Celui qui fera gagner Bastia.
- Quel est votre réservoir de voix?
- Les déçus de cette majorité, qui a un bilan catastrophique, les déçus de cet attelage bancal, mais aussi ceux qui veulent un projet pour Bastia.
- Comment comptez-vous faire campagne ?
- Cette campagne de 2nd tour est inédite par rapport au climat et aux gestes barrières que nous devons adopter. Nous avons opté pour une stratégie qui est le prolongement d'actions menées depuis plus d'un an à la fois sur les réseaux sociaux et sur le terrain. Nous faisons, tous les soirs, des réunions de quartier très suivies, en live sur Facebook. Le concept "un projet, un quartier", qui consiste à présenter un quartier et les réalisations futures, plait aussi. Nous ferons un grand évènement pour clore la campagne. Nous continuons le tractage et le porte à porte de manière assez classique car notre force est d'aller à la rencontre des Bastiais. C'est important car je veux être un maire de proximité.
- Si vous êtes élu, envisagez vous des alliances de troisième tour ?
- Il n'y aura pas d'alliance de 3ème tour, mais on peut avoir des majorités de projets.
- Les Bastiais nous ont mis en situation d'être qualifiés. Notre force et notre crédibilité pour ce second tour constituent notre projet.
- Votre appel à l’union avec Jean Zuccarelli et Jean-Martin Mondoloni n’a pas été entendu, comment avez-vous réagi à ce refus ?
- En responsabilité. Au regard des résultats du 1er tour, nous avons tendu la main pour une union que l'on a considérée comme la plus cohérente, crédible et saine. Si les têtes de liste ne l'ont pas acceptée, nous le regrettons. Des anciens colistiers adverses ont rejoint notre démarche. Quelque part, c'est le sens d'un futur pour Bastia : rassembler les Bastiais au-delà des sensibilités politiques.
- Pourquoi avez-vous exclu de votre appel J.-S. De Casalta qui a, à ses côtés, votre ancien allié François Tatti avec lequel vous avez fondé le MCD ?
- Il y a eu une rencontre. Au regard du projet, des valeurs, de l'éthique et de l'attitude pendant la campagne, nous avons considéré que nous pouvions faire une alliance avec deux autres listes (Zuccarelli et Mondoloni, ndlr) pour qu'elle soit, je l'ai dit, la plus cohérente, crédible et saine. Nous n'étions pas dans le même schéma avec M. De Casalta.
- Comment se sont déroulées les discussions avec J-S. De Casalta ?
- Elles se sont très bien passées. A l'issue du 1er tour, nous nous sommes rencontrés, puis de nouveau, le 21 mars dernier. A la suite de tout cela, j'ai acté que je ne pouvais pas participer à une union avec cette liste.
- Êtes-vous dans la même démarche : "Tous sauf les Nationalistes " ?
- On est tous pour Bastia. C'est le sens de notre projet et c'est pour cela que, pour la première fois, au 2nd tour, les électeurs auront la possibilité de voter pour un projet et pas uniquement contre des personnes. C'est ça la force d'un Futur pour Bastia. Nous ne voulons pas revivre 2014 !
- Que vous inspire le retrait des Communistes de la coalition ?
- A titre personnel, j'ai été choqué qu'un courant politique aussi important à Bastia soit liquidé pour des questions de places. En tant que candidat, je comprends ce geste politique fort et cohérent. Je souhaite qu'à l'avenir ce courant, comme d'autres, continue à jouer un rôle majeur dans la vie politique bastiaise et corse.
- Espérez vous récupérer leurs voix ?
-Les voix n'appartiennent à personne. Au-delà d'une union, les valeurs sont importantes. Dans notre projet, nous tendons à la création de richesse pour mieux la distribuer notamment avec, d'un point de vue social, la gratuité des crèches, des cantines et des transports, soit trois marqueurs politiques forts. Nous sommes là pour rassembler les différentes sensibilités politiques au-delà des unions.
- Il y a donc des points dans votre programme qui peuvent satisfaire les Communistes ?
- Il y a des points qui peuvent contenter les Bastiais et ceux de sensibilité aussi bien communiste que libérale. C'est ça la force de notre projet.
- Comment politiquement et d’un point du vue du programme, vous démarquez-vous de l'union ?
- Quand il n'y a pas les Communistes et une partie de la droite, il n'y a pas d'union ! On ne se définit pas par rapport à quelqu'un ou en opposition à quelqu'un, mais par nos propositions, notre projet. Nous avons travaillé pendant un an. Nous considérons qu'on ne peut pas être candidat et crédible quand on débarque dans le paysage trois mois avant une élection. Notre force, c'est la cohérence, l'équipe et le projet.
- Quelle est votre position pour la présidence de la CAB ?
- Nous aurons des partenariats avec les communes. L'intérêt, c'est de définir une stratégie, un consensus et de sortir des six ans de conflits et de blocages que la ville de Bastia a connu.
- Vous avez recueilli 12,42% des suffrages au 1er tour, quel score comptez-vous obtenir au second ?
- Celui qui fera gagner Bastia.
- Quel est votre réservoir de voix?
- Les déçus de cette majorité, qui a un bilan catastrophique, les déçus de cet attelage bancal, mais aussi ceux qui veulent un projet pour Bastia.
- Comment comptez-vous faire campagne ?
- Cette campagne de 2nd tour est inédite par rapport au climat et aux gestes barrières que nous devons adopter. Nous avons opté pour une stratégie qui est le prolongement d'actions menées depuis plus d'un an à la fois sur les réseaux sociaux et sur le terrain. Nous faisons, tous les soirs, des réunions de quartier très suivies, en live sur Facebook. Le concept "un projet, un quartier", qui consiste à présenter un quartier et les réalisations futures, plait aussi. Nous ferons un grand évènement pour clore la campagne. Nous continuons le tractage et le porte à porte de manière assez classique car notre force est d'aller à la rencontre des Bastiais. C'est important car je veux être un maire de proximité.
- Si vous êtes élu, envisagez vous des alliances de troisième tour ?
- Il n'y aura pas d'alliance de 3ème tour, mais on peut avoir des majorités de projets.