Le feu qui s’est déclaré dans le secteur de Cavaccioli, sur la commune de Linguizzetta, n’a pas gagné de terrain au cours de la nuit du 30 juin au 1er juillet. Mais l’incendie n’est pas pour autant terminé.
Ce mardi matin, plusieurs fumerolles sont encore visibles en bordure du massif et dans les zones déjà brûlées, en particulier sur l’avant gauche du front de feu, selon les secours toujours mobilisés sur place.
Certaines de ces reprises restent inaccessibles aux équipes au sol, ce qui rend nécessaire l’intervention de moyens aériens. « Le sinistre n’a pas évolué, mais plusieurs points chauds subsistent, notamment dans des zones escarpées », indique le service départemental d’incendie et de secours (SDIS).
Au total, 76 personnels sont encore déployés sur place : sapeurs-pompiers, militaires et membres de la FORSAP (Force d’appui spécialisée). Leur mission est désormais de surveiller et d’éteindre ces résurgences afin d’éviter toute reprise plus importante. Le feu a parcouru environ 90 hectares de maquis. Des moyens aériens sont mobilisables pour appuyer le travail au sol, notamment sur les secteurs les plus difficiles d’accès.
Ce mardi matin, plusieurs fumerolles sont encore visibles en bordure du massif et dans les zones déjà brûlées, en particulier sur l’avant gauche du front de feu, selon les secours toujours mobilisés sur place.
Certaines de ces reprises restent inaccessibles aux équipes au sol, ce qui rend nécessaire l’intervention de moyens aériens. « Le sinistre n’a pas évolué, mais plusieurs points chauds subsistent, notamment dans des zones escarpées », indique le service départemental d’incendie et de secours (SDIS).
Au total, 76 personnels sont encore déployés sur place : sapeurs-pompiers, militaires et membres de la FORSAP (Force d’appui spécialisée). Leur mission est désormais de surveiller et d’éteindre ces résurgences afin d’éviter toute reprise plus importante. Le feu a parcouru environ 90 hectares de maquis. Des moyens aériens sont mobilisables pour appuyer le travail au sol, notamment sur les secteurs les plus difficiles d’accès.