Photo Michel Luccioni
Faiblesse des alaires, classes surchargées, réformes "à marche forcée" qui s’enchaînent, groupes de niveaux au collège, port de l'uniforme et encore les suppressions de poste qui dégraderaient la qualité d’enseignement comme de travail. Ces inquiétudes, couplées à un sentiment de défiance grandissant envers la nouvelle ministre de l'Éducation et des Sports, Amélie Oudéa-Castéra, ont constitué le catalyseur de la grève de ce jeudi 1er février 2024.
Pourtant malgré ses revendication si à la veille de la grève, la participation était annoncée comme très importante, en Corse seulement 19,53 % d'enseignants du premier degré et 11,74 % d'enseignants du second degré ont répondu ce jeudi à l’appel à la grève lancé par les principaux syndicats, d’après rectorat de Corse. Des chiffres en deçà de la moyenne nationale, qui s'établissait respectivement à 20,11 %et à 20,40 %.
Sur l'ile, l'intersyndicale CGT, FO, FSU, STC a organisé deux rassemblements devant le rectorat à Ajaccio et devant l'inspection académique à Bastia. Ces moments de mobilisation ont été l'occasion pour les enseignants de faire entendre leur voix, de partager leurs préoccupations, et de montrer leur détermination face aux enjeux qui touchent leur profession.
Pourtant malgré ses revendication si à la veille de la grève, la participation était annoncée comme très importante, en Corse seulement 19,53 % d'enseignants du premier degré et 11,74 % d'enseignants du second degré ont répondu ce jeudi à l’appel à la grève lancé par les principaux syndicats, d’après rectorat de Corse. Des chiffres en deçà de la moyenne nationale, qui s'établissait respectivement à 20,11 %et à 20,40 %.
Sur l'ile, l'intersyndicale CGT, FO, FSU, STC a organisé deux rassemblements devant le rectorat à Ajaccio et devant l'inspection académique à Bastia. Ces moments de mobilisation ont été l'occasion pour les enseignants de faire entendre leur voix, de partager leurs préoccupations, et de montrer leur détermination face aux enjeux qui touchent leur profession.