« J’ai découvert cette expression artistique grâce au chanteur Loïc Lantoine » indique Nicolas Zallu, auteur et interprète, grand amateur de chansons françaises. On avait découvert le bastiais en 2018 grâce au Rézo. Un premier showcase au Centre Culturel Una Volta à Bastia puis dans la foulée une soirée découverte à l’Aghja à Ajaccio avant un concert au Tavagna Club en 2019. Nicolas, et c’est bizarre, ne chante pas, mais on dirait qu’il chante. Si certains pourraient vite faire l’amalgame avec le slam, les puristes de cet art ne le rangent pas dans cette catégorie. « Quand on me demande ce que je fais, je dis tout simplement que je fais du Nicolas Zallu». D’un de ses concerts on ne repart pas indemne car on y rit autant qu’on y écrase une larme. Nicolas est à la fois facétieux, fantaisiste, mélancolique et malicieux. Il nous revient en cette fin mai, accompagné par Francè Guerrini, un guitariste qu’il a rencontré par hasard dans un café de la place St… Nicolas !
« S’il possède quelques mélodies, le plus souvent il improvise et me tend même quelques pièges. On se comprend, on est complice ». Poète, poseur de mots, charmeur, tout inspire Nicolas, comme vous pourrez l’entendre ce vendredi soir.
Pourquoi ce titre de « A pleines mains » ?
« C’est tout simplement le titre de l’un de mes textes. J’aurais pu l’appeler autrement mais le titre sonne bien ».
« S’il possède quelques mélodies, le plus souvent il improvise et me tend même quelques pièges. On se comprend, on est complice ». Poète, poseur de mots, charmeur, tout inspire Nicolas, comme vous pourrez l’entendre ce vendredi soir.
Pourquoi ce titre de « A pleines mains » ?
« C’est tout simplement le titre de l’un de mes textes. J’aurais pu l’appeler autrement mais le titre sonne bien ».