« Cette candidature nous pousse à être ambitieux » souligne Juana Macari. « Nos projets se tournent vers cette aspiration européenne et ses enjeux de diversité, d’ouverture, d’échange et de développement humain ».
Si la saison d’Una Volta a débuté avec la rentrée scolaire de septembre 2022, elle va s’enrichir encore plus en cette année 2023 avec de nombreux moments forts. Elle débute ce 12 janvier avec le vernissage de « Ad lucem – Les âmes animales », une expo autant surprenante que belle. « C’est Victoria Henri-Brossard, notre chargée des expo, qui nous a soumis l’idée d’inviter l’artiste Lara Blanchard. On a tous approuvé. C’est une expo qui sort de l’ordinaire, différente de celle qu’on a pu voir jusque là ici. Elle s’adresse à tous les publics, adultes comme enfants qui seront attirés et émerveillés par l’univers de Lara ». Une expo, dont on reparlera très vite sur CNI avec l’auteur, qui se tiendra jusqu’au 10 février.
Une autre expo débutera le 19 janvier, dans le hall d’accueil du Centre culturel : Bellu ritrattu. « En novembre dernier, Casell'arte - Fabbrica culturale avait organisé en nos murs des ateliers de photographie à l’occasion de A festa di a lingua. Guidés par le photographe Laurent Depaepe, les participants avaient réalisé tout un travail autour du portrait social avec l’objectif de saisir des corps, des visages, des situations, dans une réalité à la fois urbaine et rurale, à Bastia dans les quartiers de Lupinu et place du Marché. Nous avons décidé de mettre en lumière ce beau travail à travers cette exposition qui elle aussi se clôturera le 10 février ».
Si la saison d’Una Volta a débuté avec la rentrée scolaire de septembre 2022, elle va s’enrichir encore plus en cette année 2023 avec de nombreux moments forts. Elle débute ce 12 janvier avec le vernissage de « Ad lucem – Les âmes animales », une expo autant surprenante que belle. « C’est Victoria Henri-Brossard, notre chargée des expo, qui nous a soumis l’idée d’inviter l’artiste Lara Blanchard. On a tous approuvé. C’est une expo qui sort de l’ordinaire, différente de celle qu’on a pu voir jusque là ici. Elle s’adresse à tous les publics, adultes comme enfants qui seront attirés et émerveillés par l’univers de Lara ». Une expo, dont on reparlera très vite sur CNI avec l’auteur, qui se tiendra jusqu’au 10 février.
Une autre expo débutera le 19 janvier, dans le hall d’accueil du Centre culturel : Bellu ritrattu. « En novembre dernier, Casell'arte - Fabbrica culturale avait organisé en nos murs des ateliers de photographie à l’occasion de A festa di a lingua. Guidés par le photographe Laurent Depaepe, les participants avaient réalisé tout un travail autour du portrait social avec l’objectif de saisir des corps, des visages, des situations, dans une réalité à la fois urbaine et rurale, à Bastia dans les quartiers de Lupinu et place du Marché. Nous avons décidé de mettre en lumière ce beau travail à travers cette exposition qui elle aussi se clôturera le 10 février ».
Photo archives CNI
Côté musique, Una Volta ne sera pas en reste avec un show case organisé en partenariat avec Le Rézo le jeudi 19 janvier à 18h30. « C’est une formation toute nouvelle dans le paysage musical insulaire que nous accueillerons. Le groupe Sintunia est un trio composé de Anne-Lise Herrera au violoncelle et au chant, Gilles Mahinga N’Dekesse aux percussions et au chant et Virgile Ferjoux au clavier. Ce trio nous offre de la musique du monde qui là aussi touche tous les publics. Les chants sont interprétés en corse, en français et en d’autres langues ».
Habitué des lieux, Tommy Lawson, prendra ses quartiers d’hiver le 31 janvier au Centre avec sa « Zone libre » qui met à l’honneur une création sonore aux multiples facettes. « Il y aura 2 installations sonores au Centre avec des projets qui mettront en valeur des sonorités nouvelles, de nouveaux processus constructeurs d’esthétiques, des combinaisons inédites ».
Une animation qui prendra fin le …. 10 février !
Bigre, le Centre se viderait-il le 10 février ?
« On doit faire le vide pour préparer BD Bastia» se fait rassurante Juana Macari. « Ce seront les 30 ans de cette manifestation qui se déroulera du 30 mars au 2 avril. Une édition anniversaire donc pour le Centre qui célèbre, depuis ses débuts, la BD d’une manière unique, loin du format salon commercial et dédicaces. Comme chaque année nous investirons plusieurs lieux en ville dont le théâtre pour la dernière fois en raison de sa fermeture pour travaux. On réfléchit d’ailleurs déjà à des endroits pour remplacer ce lieu d’expos et la librairie qui s’y tenait. Un casse-tête ! Parmi nos invités cette année Zep, le papa de Titeuf, mais qui viendra cette fois avec des albums pour adultes qui donneront un autre éclairage sur l’auteur. Autres invités Catherine Meurisse, Olivier Tallec ou encore Jérémie Moreau, pour ne citer qu’eux parmi la trentaine d’auteurs présents. »
Habitué des lieux, Tommy Lawson, prendra ses quartiers d’hiver le 31 janvier au Centre avec sa « Zone libre » qui met à l’honneur une création sonore aux multiples facettes. « Il y aura 2 installations sonores au Centre avec des projets qui mettront en valeur des sonorités nouvelles, de nouveaux processus constructeurs d’esthétiques, des combinaisons inédites ».
Une animation qui prendra fin le …. 10 février !
Bigre, le Centre se viderait-il le 10 février ?
« On doit faire le vide pour préparer BD Bastia» se fait rassurante Juana Macari. « Ce seront les 30 ans de cette manifestation qui se déroulera du 30 mars au 2 avril. Une édition anniversaire donc pour le Centre qui célèbre, depuis ses débuts, la BD d’une manière unique, loin du format salon commercial et dédicaces. Comme chaque année nous investirons plusieurs lieux en ville dont le théâtre pour la dernière fois en raison de sa fermeture pour travaux. On réfléchit d’ailleurs déjà à des endroits pour remplacer ce lieu d’expos et la librairie qui s’y tenait. Un casse-tête ! Parmi nos invités cette année Zep, le papa de Titeuf, mais qui viendra cette fois avec des albums pour adultes qui donneront un autre éclairage sur l’auteur. Autres invités Catherine Meurisse, Olivier Tallec ou encore Jérémie Moreau, pour ne citer qu’eux parmi la trentaine d’auteurs présents. »
La danse ne sera pas oubliée en cette année 2023 à Una Volta avec là aussi un rendez-vous incontournable le « Plateforme danse » d’Hélène Taddei Lawson. « Ce sera du 23 mai au 2 juin. Intitulée Blue Time, cette installation a été réalisée dans le cadre du projet Identité(s) en Mouvement en juillet dernier à Girolata ».
Le 15 juin, retour à la photo avec une exposition de Lola Reboud. « Originaire du Cap Corse, cette exposition intitulée -180 km après la mer - est une commande du CNAP, le Centre National des Arts Plastiques. Lola a suivi 3 adolescents en Corse durant quelques mois : Antonia, Ceccè et Lucie ».
Enfin, à l’aube de l’été, le 21 juin, toute l’équipe d’Una Volta nous entrainera jusqu’à fin juillet dans une nouvelle aventure de « Partir en livre »
Et les ateliers dans tout ça ?
Una Volta, ce sont aussi des activités, pour enfants et adultes, telles arts plastiques, musique, danse, théâtre, cirque, chant, arts visuels…. « Au niveau fréquentation, nous n’avons pas encore retrouvé notre niveau de 2019, d’avant la pandémie mais on a du monde et certains ateliers reviennent. Aucun n’est vide en tout cas. Je pense qu’il faudra encore du temps aux gens pour se réhabituer ».
Le 15 juin, retour à la photo avec une exposition de Lola Reboud. « Originaire du Cap Corse, cette exposition intitulée -180 km après la mer - est une commande du CNAP, le Centre National des Arts Plastiques. Lola a suivi 3 adolescents en Corse durant quelques mois : Antonia, Ceccè et Lucie ».
Enfin, à l’aube de l’été, le 21 juin, toute l’équipe d’Una Volta nous entrainera jusqu’à fin juillet dans une nouvelle aventure de « Partir en livre »
Et les ateliers dans tout ça ?
Una Volta, ce sont aussi des activités, pour enfants et adultes, telles arts plastiques, musique, danse, théâtre, cirque, chant, arts visuels…. « Au niveau fréquentation, nous n’avons pas encore retrouvé notre niveau de 2019, d’avant la pandémie mais on a du monde et certains ateliers reviennent. Aucun n’est vide en tout cas. Je pense qu’il faudra encore du temps aux gens pour se réhabituer ».
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