De Jean Zuccarelli, au nom du groupe des radicaux et apparentés au conseil municipal de Bastia
"L'éviction de Julien Morganti est l'énième rebondissement d'une crise politique sans fin. Aujourd'hui Gilles Simeoni ne peut plus se prévaloir du soutien de la majorité des Bastiais. Francois Tatti, isolé à la CAB et désormais rejeté à la mairie, récolte avec ce qu'il lui reste de partisans, ce qu'il a semé. Il reste complice et responsable, avec ses anciens alliés, de la grande désillusion des Bastiais. La paralysie est installée, notre ville plus que jamais à l'arrêt."
"L'éviction de Julien Morganti est l'énième rebondissement d'une crise politique sans fin. Aujourd'hui Gilles Simeoni ne peut plus se prévaloir du soutien de la majorité des Bastiais. Francois Tatti, isolé à la CAB et désormais rejeté à la mairie, récolte avec ce qu'il lui reste de partisans, ce qu'il a semé. Il reste complice et responsable, avec ses anciens alliés, de la grande désillusion des Bastiais. La paralysie est installée, notre ville plus que jamais à l'arrêt."