Alain Del Moro au centre avec Stéphane Labarrère (à gauche) et Sam Lacombe
- Bastia XV avant le premier match retour face au Teil ?
- Il va bien en tout cas mieux qu'au sortir de notre infernale série de quatre défaites consécutives. Aujourd'hui le vent a, enfin, tourné et si dimanche l'après-midi se déroule comme prévu nous devrions cette fois enregistrer notre quatrième… victoire consécutive !
- Comment expliquez-vous ce revirement de situation ?
- Si l'on ne regarde que le côté mathématique de la chose l'on a, c'est vrai, du mal à comprendre qu'après une telle série négative l'on puisse en signer une totalement opposée. Mais si l'on avait voulu regarder le contenu de nos matches, l'on se serait rendu compte qu'ils étaient loin de refléter les résultats défavorables qui les ont sanctionné. C'est vrai que nous avons perdu mais, par exemple, à Cavaillon, l'actuel leader, il a manqué peu de choses pour que l'issue de ce match soit inversée. Il en est allé ainsi pendant quatre rencontres même si parfois, aussi, il faut le reconnaître, nous n'avons pas su mettre tous les ingrédients qu'il fallait pour essayer d'inverser le cours des choses…
- Qu'est-ce qui a changé aujourd'hui ?
- Au-delà du travail, exemplaire, des entraîneurs - Sam Lacombe, le directeur technique, Stéphane Labarrère et François Pagliai - il y a lieu de citer la "mentalité" de nos joueurs. Ils sont, vous le savez, 100% amateur et s'entraînent, et jouent, en fonction de leurs disponibilités professionnelles. Au terme de cette série ils ont décidé d'en finir de jouer au "yoyo". Aujourd'hui, et c'est une bonne chose pour Bastia XV, ils ne veulent plus rien céder à commencer par ce match de dimanche au Casone face au Teil que nous avions, déjà, battu chez lui lors de la première journée de championnat.
- Pour aller jusqu'où ?
- On verra bien ce que nous réserve l'avenir. Mais l'objectif est aujourd'hui de se qualifier pour les phases finales et d'aller le plus loin possible dans la compétition. Ensuite, si nous avions le bonheur de franchir encore un palier, nous aviserions. Mais évitons de tirer des plans sur la comète : même si nous battons, comme nous l'espérons Le Teil dimanche. Il y aura huit matches à disputer derrière. Tout peut donc encore arriver. Dans un sens ou, je ne le souhaite pas, dans l'autre !
- Il va bien en tout cas mieux qu'au sortir de notre infernale série de quatre défaites consécutives. Aujourd'hui le vent a, enfin, tourné et si dimanche l'après-midi se déroule comme prévu nous devrions cette fois enregistrer notre quatrième… victoire consécutive !
- Comment expliquez-vous ce revirement de situation ?
- Si l'on ne regarde que le côté mathématique de la chose l'on a, c'est vrai, du mal à comprendre qu'après une telle série négative l'on puisse en signer une totalement opposée. Mais si l'on avait voulu regarder le contenu de nos matches, l'on se serait rendu compte qu'ils étaient loin de refléter les résultats défavorables qui les ont sanctionné. C'est vrai que nous avons perdu mais, par exemple, à Cavaillon, l'actuel leader, il a manqué peu de choses pour que l'issue de ce match soit inversée. Il en est allé ainsi pendant quatre rencontres même si parfois, aussi, il faut le reconnaître, nous n'avons pas su mettre tous les ingrédients qu'il fallait pour essayer d'inverser le cours des choses…
- Qu'est-ce qui a changé aujourd'hui ?
- Au-delà du travail, exemplaire, des entraîneurs - Sam Lacombe, le directeur technique, Stéphane Labarrère et François Pagliai - il y a lieu de citer la "mentalité" de nos joueurs. Ils sont, vous le savez, 100% amateur et s'entraînent, et jouent, en fonction de leurs disponibilités professionnelles. Au terme de cette série ils ont décidé d'en finir de jouer au "yoyo". Aujourd'hui, et c'est une bonne chose pour Bastia XV, ils ne veulent plus rien céder à commencer par ce match de dimanche au Casone face au Teil que nous avions, déjà, battu chez lui lors de la première journée de championnat.
- Pour aller jusqu'où ?
- On verra bien ce que nous réserve l'avenir. Mais l'objectif est aujourd'hui de se qualifier pour les phases finales et d'aller le plus loin possible dans la compétition. Ensuite, si nous avions le bonheur de franchir encore un palier, nous aviserions. Mais évitons de tirer des plans sur la comète : même si nous battons, comme nous l'espérons Le Teil dimanche. Il y aura huit matches à disputer derrière. Tout peut donc encore arriver. Dans un sens ou, je ne le souhaite pas, dans l'autre !