A l'Orange Vélodrome, Olympique de Marseille : 1 AC Ajaccio : 2 (1-1)
Buts pour l'OM : Payet (15e)
Pour l'AC Ajaccio : Moussito-Oko (25e), Belarbi csc (45e)
Arbitre : Willy Delajod
Avertissements : Koné (11e), Gonzalez (86e) à l'AC Ajaccio
OM
Blanco, Mbemba, Gigot, Balerdi, Tavares, Kaboré puis Dieng (77e), Rongier, Gerson puis Suarez (56e), Gueye puis Veretout (46e), Payet puis Under (57e), Sanchez puis Harit (56e)
AC Ajaccio
Leroy, Avinel, Koné puis Diallo (60e), Gonzalez puis Vidal (89e), Coutadeur, Youssouf, Nouri, Marchetti puis Mangani (89e), Moussiti-Oko puis Botué (74e), Bayala puis Alphonse (74e), El Idrissy
Quand Payet au quart d'heure a ouvert la marque sur penalty - c'était aussi son 100 e but en Ligue 1 - on ne donnait pas cher des chances ajacciennes que les meilleurs pronostiqueurs voyaient sombrer au Vélodrome.
Mais on le sait et ce match l'a encore prouvé tout, même l'incroyable, peut arriver dans un match de football.
Mais entre l'OM, que certains rêvaient de voir renouer avec le titre national, ses stars et Ajaccio, lanterne rouge de la compétition avec seuls 4 petits à son compteur, la balance a penché du côté du Petit Poucet de la Ligue 1. Au grand dam de tous ceux qui voyaient, d'ores et déjà, l'AC Ajaccio retourner d'où il était venu en Ligue 2.
Et bien non.
Moussiti-Oko et le sort qui ont fait marquer Belarbi contre son camp à l'entame de la seconde période ont contribué à bouleversé tous les pronostics.
Et tant mieux pour Olivier Pantaloni et ses joueurs qui à partir de ce samedi après-midi ensoleillé ont fait la preuve qu'ils avaient assez d'étoffe pour demeurer en L1 et pour rivaliser avec les meilleurs.
Buts pour l'OM : Payet (15e)
Pour l'AC Ajaccio : Moussito-Oko (25e), Belarbi csc (45e)
Arbitre : Willy Delajod
Avertissements : Koné (11e), Gonzalez (86e) à l'AC Ajaccio
OM
Blanco, Mbemba, Gigot, Balerdi, Tavares, Kaboré puis Dieng (77e), Rongier, Gerson puis Suarez (56e), Gueye puis Veretout (46e), Payet puis Under (57e), Sanchez puis Harit (56e)
AC Ajaccio
Leroy, Avinel, Koné puis Diallo (60e), Gonzalez puis Vidal (89e), Coutadeur, Youssouf, Nouri, Marchetti puis Mangani (89e), Moussiti-Oko puis Botué (74e), Bayala puis Alphonse (74e), El Idrissy
Quand Payet au quart d'heure a ouvert la marque sur penalty - c'était aussi son 100 e but en Ligue 1 - on ne donnait pas cher des chances ajacciennes que les meilleurs pronostiqueurs voyaient sombrer au Vélodrome.
Mais on le sait et ce match l'a encore prouvé tout, même l'incroyable, peut arriver dans un match de football.
Mais entre l'OM, que certains rêvaient de voir renouer avec le titre national, ses stars et Ajaccio, lanterne rouge de la compétition avec seuls 4 petits à son compteur, la balance a penché du côté du Petit Poucet de la Ligue 1. Au grand dam de tous ceux qui voyaient, d'ores et déjà, l'AC Ajaccio retourner d'où il était venu en Ligue 2.
Et bien non.
Moussiti-Oko et le sort qui ont fait marquer Belarbi contre son camp à l'entame de la seconde période ont contribué à bouleversé tous les pronostics.
Et tant mieux pour Olivier Pantaloni et ses joueurs qui à partir de ce samedi après-midi ensoleillé ont fait la preuve qu'ils avaient assez d'étoffe pour demeurer en L1 et pour rivaliser avec les meilleurs.
L'OM a vite déchanté
Première déconvenue en Ligue 1 pour l'OM ! Méconnaissable et brouillon, Marseille a perdu son invincibilité en L1 contre le mal-classé Ajaccio (1-2) samedi pour la 10e journée, en dépit du centième but en Championnat de France du capitaine Dimitri Payet.
Loin de ses fulgurances européennes mardi face au Sporting Portugal (4-1), l'OM a chuté au stade Vélodrome sur des buts de Bevic Moussiti-Oko (25e) et Leonardo Balerdi contre son camp (47e), alors que Payet avait ouvert le score sur penalty (15e).
C'est une défaite qui tombe très mal pour l'équipe olympienne (2e, 23 pts): voilà sa deuxième place menacée par ses poursuivants avant une semaine décisive, avec une deuxième manche face au Sporting mercredi en Ligue des champions puis le classique de la Ligue 1 dimanche prochain face au leader Paris SG (1er, 25 pts), opposé à Reims samedi soir (21h00).
Les joueurs d'Igor Tudor sont tombés de haut : les Marseillais s'attendaient peut-être à un samedi après-midi tranquille face à l'AC Ajaccio, dernier du classement avant ce match, qui n'avait marqué que 5 buts en neuf journées de L1 jusque-là.
Ils ont vite déchanté, malgré l'ouverture du score sur penalty de leur capitaine Dimitri Payet.
Le meneur de jeu (35 ans) s'est emparé du ballon avec autorité lorsque l'arbitre a sifflé une main du défenseur ajaccien Cédric Avinel. Et il a transformé sa tentative d'un tir tendu pour marquer son 100e but en Ligue 1, 16 ans après le premier inscrit avec Nantes.
De quoi permettre au Réunionnais d'entrer dans l'histoire du Championnat de France: il est le premier joueur, selon certains décomptes, à atteindre à la fois la barre des 100 buts et 100 passes décisives en L1 (Payet en est à 112 passes, selon le statisticien Opta).
L'émotion de "Dim" faisait plaisir à voir, le Vélodrome a salué son exploit mais le scénario s'est corsé lorsque l'attaquant ajaccien Bevic Moussiti-Oko a égalisé d'un tir rasant du gauche, son premier but en L1 (25e).
Et comme le défenseur argentin Leonardo Balerdi, buteur mardi, est retombé dans ses travers en marquant cette fois contre son camp (47e), l'OM s'est retrouvé mené et contraint de cravacher pour s'en sortir.
L'entraîneur marseillais Igor Tudor a changé toute son attaque, lançant Luis Suarez, Amine Harit et même l'ancien banni Bamba Dieng, mais l'égalisation n'est jamais venue... La déviation de Samuel Gigot a été sauvée par le gardien (75e) et Ajaccio a défendu avec acharnement en fin de rencontre, venant à bout de la belle série de l'OM en Ligue 1.
Loin de ses fulgurances européennes mardi face au Sporting Portugal (4-1), l'OM a chuté au stade Vélodrome sur des buts de Bevic Moussiti-Oko (25e) et Leonardo Balerdi contre son camp (47e), alors que Payet avait ouvert le score sur penalty (15e).
C'est une défaite qui tombe très mal pour l'équipe olympienne (2e, 23 pts): voilà sa deuxième place menacée par ses poursuivants avant une semaine décisive, avec une deuxième manche face au Sporting mercredi en Ligue des champions puis le classique de la Ligue 1 dimanche prochain face au leader Paris SG (1er, 25 pts), opposé à Reims samedi soir (21h00).
Les joueurs d'Igor Tudor sont tombés de haut : les Marseillais s'attendaient peut-être à un samedi après-midi tranquille face à l'AC Ajaccio, dernier du classement avant ce match, qui n'avait marqué que 5 buts en neuf journées de L1 jusque-là.
Ils ont vite déchanté, malgré l'ouverture du score sur penalty de leur capitaine Dimitri Payet.
Le meneur de jeu (35 ans) s'est emparé du ballon avec autorité lorsque l'arbitre a sifflé une main du défenseur ajaccien Cédric Avinel. Et il a transformé sa tentative d'un tir tendu pour marquer son 100e but en Ligue 1, 16 ans après le premier inscrit avec Nantes.
De quoi permettre au Réunionnais d'entrer dans l'histoire du Championnat de France: il est le premier joueur, selon certains décomptes, à atteindre à la fois la barre des 100 buts et 100 passes décisives en L1 (Payet en est à 112 passes, selon le statisticien Opta).
L'émotion de "Dim" faisait plaisir à voir, le Vélodrome a salué son exploit mais le scénario s'est corsé lorsque l'attaquant ajaccien Bevic Moussiti-Oko a égalisé d'un tir rasant du gauche, son premier but en L1 (25e).
Et comme le défenseur argentin Leonardo Balerdi, buteur mardi, est retombé dans ses travers en marquant cette fois contre son camp (47e), l'OM s'est retrouvé mené et contraint de cravacher pour s'en sortir.
L'entraîneur marseillais Igor Tudor a changé toute son attaque, lançant Luis Suarez, Amine Harit et même l'ancien banni Bamba Dieng, mais l'égalisation n'est jamais venue... La déviation de Samuel Gigot a été sauvée par le gardien (75e) et Ajaccio a défendu avec acharnement en fin de rencontre, venant à bout de la belle série de l'OM en Ligue 1.