- Comment avez-vous vécu le retrait de la liste de Stéphanie Grimaldi aux municipales de Bastia ?
- Lorsqu’une personne fait la démarche d’une candidature et souhaite composer une liste, c’est avant tout une décision personnelle. C’est la posture qu’a choisi Stéphanie Grimaldi quand elle m’a invité à la rejoindre en septembre dernier.
Comme dans tout système, il y a une hiérarchie naturelle, le meneur de liste est donc le chef d’équipe. Cela veut donc dire qu’il y a une équipe à consulter d’une part mais que les décisions appartiennent en grande partie à la tête de liste.
Après des mois de campagne, Stéphanie Grimaldi a annoncé qu’elle souhaitait mettre un terme à celle-ci, c’est son choix et je le respecte.
- On a entendu que vous seriez éventuellement candidat. Est-ce le cas ?
- Quand j’ai souhaité m’investir pour la ville qui m’a vu naître et grandir, je l’ai fait avec le respect qui est du à la population bastiaise. Aujourd’hui, après le retrait de Stéphanie Grimaldi, il me semble judicieux de dire qu’une candidature de dernière minute manquerait de lisibilité et serait confuse. Bastia et ses habitants méritent mieux. Pour ma part, je ne regrette absolument pas la démarche que j’ai entrepris ces derniers mois. J’ai travaillé à adjoindre des colistiers et j’ai contribué à élaborer le programme dont la partie économique qui me tenait particulièrement à cœur. J’ai vraiment apprécié aller à la rencontre des habitants et des commerçants qui attendent beaucoup aujourd’hui. Ma décision est donc prise, je ne conduirai pas de liste sur cette campagne municipale mais je continuerai à m’investir auprès des entreprises locales qui en ont besoin comme je l’ai toujours fait.
- Si vous n’êtes pas candidat, seriez-vous prêt à rejoindre une autre liste, on parle d’un rapprochement avec Jean-Martin Mondoloni ?
- Non, ce n’est pas le cas. Je comprends les personnes qui pourraient le penser, j’ai été à ses côtés lors des dernières territoriales car je crois dans son projet pour la région. Pour autant, chaque élection est différente, et je me suis déjà exprimé en septembre dernier sur la candidature de M. Mondoloni qui ne me semblait pas appropriée pour une ville dans laquelle il vient juste de s’installer. Nous avons eu une discussion sur le sujet en présence de Stéphanie Grimaldi qui lui a proposé de rejoindre sa démarche, puisqu’alors il disait ne pas vouloir être candidat. Nous sommes toutefois en démocratie, comme je l’ai dit précédemment les candidatures émane d’une volonté et parfois d’une ambition personnelle. Il a donc fait ce choix, l’issue du scrutin nous dira s’il trouve un écho dans les urnes, car rappelons le, le peuple reste le seul décideur.
- Est-ce que vous envisagez d’arrêter votre engagement politique ?
- C’est une chose qui ferait plaisir à certains, je m’en amuse mais la réponse est non. Cela fait près de cinq ans que j’ai décidé de m’impliquer dans la politique de mon île avec passion. Ce qui m’importe le plus c’est l’avenir des corses et de la Corse et ce que je peux modestement y apporter avec mon expérience et mes compétences professionnelles. Malgré mon jeune âge, si j’avais du m’arrêter et reculer à chaque échec ou difficulté je n’en serai pas arriver là professionnellement. Il en est de même pour mon engagement politique, je rêve d’une Corse qui rayonne économiquement, une Corse forte et dans laquelle la population vit dignement et sereinement. Lorsqu’on a une telle vision, je ne crois pas qu’on puisse s’arrêter de travailler. Et les gens qui me connaissent savent que le travail ne me fait pas peur, il est même ancré dans mon ADN. Et c’est ce travail que je souhaite mettre au service de mon île, de ses habitants et de ses entreprises. Car après toutes ces années passées auprès de personnalités politiques diverses, je peux dire qu’il est temps que les compétences et le travail prédominent sur les manœuvres politiciennes qui fatiguent les électeurs et impactent leur quotidien. Ce que je peux dire aujourd’hui c’est qu’il n’est pas impossible que lors d’une prochaine élection je conduise une liste.
- Apportez-vous votre soutien à un candidat à Bastia ?
- J’irai voter comme tout le monde en mon âme et conscience, comme chacun est libre de le faire. Je fais le choix aujourd’hui de me retirer de cette campagne, il serait donc mal venu de ma part de soutenir publiquement un candidat. Cependant, ce qui m’importe le plus ce sont les projets et les programmes pour ma ville. Si un projet me semble cohérent, je n’hésiterai pas à le soutenir. Je souhaite néanmoins une bonne campagne à l’ensemble des candidats, l’engagement est toujours respectable et il faut espérer que la grande victorieuse au mois de mars soit la Ville de Bastia.
- Lorsqu’une personne fait la démarche d’une candidature et souhaite composer une liste, c’est avant tout une décision personnelle. C’est la posture qu’a choisi Stéphanie Grimaldi quand elle m’a invité à la rejoindre en septembre dernier.
Comme dans tout système, il y a une hiérarchie naturelle, le meneur de liste est donc le chef d’équipe. Cela veut donc dire qu’il y a une équipe à consulter d’une part mais que les décisions appartiennent en grande partie à la tête de liste.
Après des mois de campagne, Stéphanie Grimaldi a annoncé qu’elle souhaitait mettre un terme à celle-ci, c’est son choix et je le respecte.
- On a entendu que vous seriez éventuellement candidat. Est-ce le cas ?
- Quand j’ai souhaité m’investir pour la ville qui m’a vu naître et grandir, je l’ai fait avec le respect qui est du à la population bastiaise. Aujourd’hui, après le retrait de Stéphanie Grimaldi, il me semble judicieux de dire qu’une candidature de dernière minute manquerait de lisibilité et serait confuse. Bastia et ses habitants méritent mieux. Pour ma part, je ne regrette absolument pas la démarche que j’ai entrepris ces derniers mois. J’ai travaillé à adjoindre des colistiers et j’ai contribué à élaborer le programme dont la partie économique qui me tenait particulièrement à cœur. J’ai vraiment apprécié aller à la rencontre des habitants et des commerçants qui attendent beaucoup aujourd’hui. Ma décision est donc prise, je ne conduirai pas de liste sur cette campagne municipale mais je continuerai à m’investir auprès des entreprises locales qui en ont besoin comme je l’ai toujours fait.
- Si vous n’êtes pas candidat, seriez-vous prêt à rejoindre une autre liste, on parle d’un rapprochement avec Jean-Martin Mondoloni ?
- Non, ce n’est pas le cas. Je comprends les personnes qui pourraient le penser, j’ai été à ses côtés lors des dernières territoriales car je crois dans son projet pour la région. Pour autant, chaque élection est différente, et je me suis déjà exprimé en septembre dernier sur la candidature de M. Mondoloni qui ne me semblait pas appropriée pour une ville dans laquelle il vient juste de s’installer. Nous avons eu une discussion sur le sujet en présence de Stéphanie Grimaldi qui lui a proposé de rejoindre sa démarche, puisqu’alors il disait ne pas vouloir être candidat. Nous sommes toutefois en démocratie, comme je l’ai dit précédemment les candidatures émane d’une volonté et parfois d’une ambition personnelle. Il a donc fait ce choix, l’issue du scrutin nous dira s’il trouve un écho dans les urnes, car rappelons le, le peuple reste le seul décideur.
- Est-ce que vous envisagez d’arrêter votre engagement politique ?
- C’est une chose qui ferait plaisir à certains, je m’en amuse mais la réponse est non. Cela fait près de cinq ans que j’ai décidé de m’impliquer dans la politique de mon île avec passion. Ce qui m’importe le plus c’est l’avenir des corses et de la Corse et ce que je peux modestement y apporter avec mon expérience et mes compétences professionnelles. Malgré mon jeune âge, si j’avais du m’arrêter et reculer à chaque échec ou difficulté je n’en serai pas arriver là professionnellement. Il en est de même pour mon engagement politique, je rêve d’une Corse qui rayonne économiquement, une Corse forte et dans laquelle la population vit dignement et sereinement. Lorsqu’on a une telle vision, je ne crois pas qu’on puisse s’arrêter de travailler. Et les gens qui me connaissent savent que le travail ne me fait pas peur, il est même ancré dans mon ADN. Et c’est ce travail que je souhaite mettre au service de mon île, de ses habitants et de ses entreprises. Car après toutes ces années passées auprès de personnalités politiques diverses, je peux dire qu’il est temps que les compétences et le travail prédominent sur les manœuvres politiciennes qui fatiguent les électeurs et impactent leur quotidien. Ce que je peux dire aujourd’hui c’est qu’il n’est pas impossible que lors d’une prochaine élection je conduise une liste.
- Apportez-vous votre soutien à un candidat à Bastia ?
- J’irai voter comme tout le monde en mon âme et conscience, comme chacun est libre de le faire. Je fais le choix aujourd’hui de me retirer de cette campagne, il serait donc mal venu de ma part de soutenir publiquement un candidat. Cependant, ce qui m’importe le plus ce sont les projets et les programmes pour ma ville. Si un projet me semble cohérent, je n’hésiterai pas à le soutenir. Je souhaite néanmoins une bonne campagne à l’ensemble des candidats, l’engagement est toujours respectable et il faut espérer que la grande victorieuse au mois de mars soit la Ville de Bastia.