« Mardi 7 janvier, des chefs d’entreprise de notre ville triés sur le volet ont eu la surprise de recevoir un courrier soigneusement infographié, duquel a surgi comme un clown à ressort une mise en garde fracassante: « Voter Angelini, c’est Voter Charles Pieri ».
Malgré le mépris qu’inspire à chacun ce genre de pratiques, j’ai jugé utile d’ouvrir une parenthèse sur le fond, et sur la méthode, afin d’alerter à mon tour les courageux auteurs de cette plaquette signée «Personne ». Elle sera aussitôt- et définitivement- refermée car j’ai trop de respect pour le travail accompli par nos candidats, pour ceux qui nous accompagnent, pour l’énergie qu’ils déploient au quotidien, pour ce que nous voulons incarner ensemble.
Et nous n’avons que trop peu de temps, deux mois à peine, pour en perdre avec celles et ceux qui prétendraient parler en leur nom.
Depuis des semaines, avec Michel Giraschi et bien d’autres, nous avons multiplié les rencontres afin de présenter aux porto-vecchiais une équipe représentative et digne de leurs aspirations; une équipe nouvelle, diverse, guidée par le souci de la compétence et de l’intérêt général.
Ce sont plus de partenaires encore, d'amis, de soutiens qui collaborent aujourd’hui pour ajuster les derniers détails d’un projet riche et ambitieux, qui ne laisse en friche aucun des problèmes de cette ville; un projet, je le crois sincèrement, sans équivalent.
C’est donc sur le terrain des idées, et exclusivement sur celui-ci, que nous attendons nos adversaires.
Si par ce genre de méthodes, on compte faire glisser la campagne sur une pente boueuse et ouvrir la boite de Pandore, celle de l’intox et des fantasmes, avec autant de rumeurs ou de tracts anonymes, et rendre ainsi inaudibles les réels enjeux de cette période, je dis simplement qu’on ne doit pas compter sur nous.
Si en agitant les peurs, on compte faire reculer celles et ceux qui, se sentant peut-être proches de notre démarche pourraient la soutenir ou la rejoindre, je réponds simplement que tout ceci est vain.
Voilà pour la forme.
Sur le fond, je ne vois que trop bien ce que l’on cherche à sous-entendre. Je ne suis pour ma part sous l’influence de personne. Chacun sait que je n’ai pas pour habitude d’agir sous la contrainte, et que je me détermine librement en chaque occurrence.
Le dialogue, l’apaisement, le rassemblement des Porto-Vecchiais autour d’un projet d’avenir sont mes seuls objectifs et en même temps, mes seuls moyens.
Mes prises de position en attestent depuis près de 20 ans: toutes les violences, qu’elles soient verbales ou physiques, publiques ou clandestines, directes ou non, doivent être rejetées sans ambiguïté ni réserve, au profit du seul échange démocratique et de la confrontation sereine des idées.
C’est ma réponse à celles et ceux qui n’ont désormais plus besoin de rôder autour des boîtes postales après minuit. Je la partage avec vous, aujourd’hui et de façon claire.
J’irai avec mes amis au bout de cette campagne, et c’est toujours au nom de l’intérêt collectif que pour notre part, nous continuerons à la mener, forts de l’engouement inédit et de l’immense espoir qu’elle nous semble susciter. »
Malgré le mépris qu’inspire à chacun ce genre de pratiques, j’ai jugé utile d’ouvrir une parenthèse sur le fond, et sur la méthode, afin d’alerter à mon tour les courageux auteurs de cette plaquette signée «Personne ». Elle sera aussitôt- et définitivement- refermée car j’ai trop de respect pour le travail accompli par nos candidats, pour ceux qui nous accompagnent, pour l’énergie qu’ils déploient au quotidien, pour ce que nous voulons incarner ensemble.
Et nous n’avons que trop peu de temps, deux mois à peine, pour en perdre avec celles et ceux qui prétendraient parler en leur nom.
Depuis des semaines, avec Michel Giraschi et bien d’autres, nous avons multiplié les rencontres afin de présenter aux porto-vecchiais une équipe représentative et digne de leurs aspirations; une équipe nouvelle, diverse, guidée par le souci de la compétence et de l’intérêt général.
Ce sont plus de partenaires encore, d'amis, de soutiens qui collaborent aujourd’hui pour ajuster les derniers détails d’un projet riche et ambitieux, qui ne laisse en friche aucun des problèmes de cette ville; un projet, je le crois sincèrement, sans équivalent.
C’est donc sur le terrain des idées, et exclusivement sur celui-ci, que nous attendons nos adversaires.
Si par ce genre de méthodes, on compte faire glisser la campagne sur une pente boueuse et ouvrir la boite de Pandore, celle de l’intox et des fantasmes, avec autant de rumeurs ou de tracts anonymes, et rendre ainsi inaudibles les réels enjeux de cette période, je dis simplement qu’on ne doit pas compter sur nous.
Si en agitant les peurs, on compte faire reculer celles et ceux qui, se sentant peut-être proches de notre démarche pourraient la soutenir ou la rejoindre, je réponds simplement que tout ceci est vain.
Voilà pour la forme.
Sur le fond, je ne vois que trop bien ce que l’on cherche à sous-entendre. Je ne suis pour ma part sous l’influence de personne. Chacun sait que je n’ai pas pour habitude d’agir sous la contrainte, et que je me détermine librement en chaque occurrence.
Le dialogue, l’apaisement, le rassemblement des Porto-Vecchiais autour d’un projet d’avenir sont mes seuls objectifs et en même temps, mes seuls moyens.
Mes prises de position en attestent depuis près de 20 ans: toutes les violences, qu’elles soient verbales ou physiques, publiques ou clandestines, directes ou non, doivent être rejetées sans ambiguïté ni réserve, au profit du seul échange démocratique et de la confrontation sereine des idées.
C’est ma réponse à celles et ceux qui n’ont désormais plus besoin de rôder autour des boîtes postales après minuit. Je la partage avec vous, aujourd’hui et de façon claire.
J’irai avec mes amis au bout de cette campagne, et c’est toujours au nom de l’intérêt collectif que pour notre part, nous continuerons à la mener, forts de l’engouement inédit et de l’immense espoir qu’elle nous semble susciter. »