L'épidémie de grippe est déclarée au niveau national et la Corse n'est pas épargnée. Cette semaine, sur l'île, on recense une activité en hausse par rapport à la précédente même si les chiffres de l'épidémie "restent constants par rapport aux années précédentes" selon Alessandra Falchi-Thibault, épidémiologiste et responsable de l'antenne PACA-Corse du réseau Sentinelles.
Les principaux symptômes sont : fièvre, maux de têtes, courbatures et toux. S'il n'y a pas de réel traitement pour le virus de la grippe, la fièvre peut être traitée par la prise de paracétamol à raison de 4 grammes maximum en 24 heures pour un adulte.
Pour le docteur Faber, médecin généraliste à Borgo et Ponte-Leccia : "le meilleur moyen de prévention reste le vaccin, surtout chez les personnes à risque, c'est à dire les personnes âgées à partir d'environ 60 ou 65 ans, les nourrissons et leur entourage, les femmes enceintes, le personnel de santé, les personnes ayant des pathologies respiratoires et les personnes immunodéprimés".
Le vaccin peut être administré par un médecin, certains pharmaciens, un infirmier ou encore par la médecine du travail pour le personnel de santé. Le docteur Faber précise : "Pour les personnes qui tolèrent mal le vaccin, une alternative homéopathique est possible".
Si le virus de la grippe reste courant et sans risques majeurs pour la plupart, des complications respiratoires pouvant mener à une hospitalisation voire à un décès, sont tout de même possibles.
Selon l'institut Pasteur, la grippe ferait entre 10.000 et 15.000 morts tous les ans en France.
Les principaux symptômes sont : fièvre, maux de têtes, courbatures et toux. S'il n'y a pas de réel traitement pour le virus de la grippe, la fièvre peut être traitée par la prise de paracétamol à raison de 4 grammes maximum en 24 heures pour un adulte.
Pour le docteur Faber, médecin généraliste à Borgo et Ponte-Leccia : "le meilleur moyen de prévention reste le vaccin, surtout chez les personnes à risque, c'est à dire les personnes âgées à partir d'environ 60 ou 65 ans, les nourrissons et leur entourage, les femmes enceintes, le personnel de santé, les personnes ayant des pathologies respiratoires et les personnes immunodéprimés".
Le vaccin peut être administré par un médecin, certains pharmaciens, un infirmier ou encore par la médecine du travail pour le personnel de santé. Le docteur Faber précise : "Pour les personnes qui tolèrent mal le vaccin, une alternative homéopathique est possible".
Si le virus de la grippe reste courant et sans risques majeurs pour la plupart, des complications respiratoires pouvant mener à une hospitalisation voire à un décès, sont tout de même possibles.
Selon l'institut Pasteur, la grippe ferait entre 10.000 et 15.000 morts tous les ans en France.