Stade François-Coty
ACA bat Dijon 1-0 (0-0)
Temps doux
Spectateurs : 2532
Bon terrain
Arbitre : M. Varela assisté de MM. Haulbert et Panont
But : El Idrissy (90+2)
Avertissements :
ACA : Cimingnani (8e), Bayala (39e), Marchetti (87e), Nouri (89e)
Dijon : Le Bihan (15e), Scheidler 61e), Coulibaly (87e)
Les équipes :
ACA
Leroy- Youssouf, Gonzalez, Avinel, Diallo- Bayala (Arconte 89e), Coutadeur (cap.), Laçi (Marchetti 62e), Cimignani (Nouri 71e)- Courtet, El Idrissy- ent : O.Pantaloni
Dijon FCO
Racioppi- Traoré, Congré (cap.), Coulibaly, Fofana- Dobre (Jacob 75e), Younoussa (Deaux 69e), Pi, Rocchia- Benzia, Le Bihan (Scheidler 46e)- ent : P.Garande
L’ambiance
Une affluence qui si elle ne grossit pas, ne faiblit pas dans les travées de Timizzolu où près de 3 000 supporters avaient pris place. Côté visiteur, une poignée d’irréductibles bourguignons. Et sur le terrain, un match tendu et fermé malgré l’emprise évidente de l’ACA. Enfin, une grosse pression du public dans les derniers instants pour aider les « biancu è rossi » à forcer le verrou bourguignon. Avec l’issue que l’on connaît !
L’enjeu
Il est de taille pour les hommes de Pantaloni. Profiter de la défaite de Sochaux à Bonal (1-0 face à Nîmes) pour remonter sur le podium. Il s’agit, en même temps pour les « bianchi è rossi » d’effacer la déconvenue de Pau. De leur côté, les Dijonnais veulent se rassurer après deux défaites consécutives. Une équipe reléguée de Ligue 1 et engluée à la 14e place du classement.
Les équipes
Retour de Youssouf sur le flanc droit de la défense ajaccienne dans un dispositif qui reste le même (4-4-2). Et titularisation de Cimignani en lieu et place de Nouri. Côté absent, Moussiti Oko toujours blessé et Kalulu, suspendu. Dans les rangs bourguignons, Philippoteaux, Panzo et Touré sont blessés et Ngouymansa suspendu. Patrice Garande a opté pour un 4-2-3-1 avec Benzia à la baguette et Le Bihan en pointe.
Le match
Il faut attendre, malgré une superbe occase de Courtet d’entrée de jeu, la vingtième minute pour voir le match s’emballer quelque peu. Côté bourguignon tout d’abord avec un but de Le Bihan (de la tête sur un corner de Benzia), refusé pour une faute de Rocchia sur Leroy (22e). Et puis, dans la foulée, Cimignani qui vient buter sur Racioppi (23e) et Courtet un crampon trop court pour redresser la course du ballon (24e). Un premier acte fermé, dans l’ensemble malgré de belles situations pour les Ajacciens qui pêchent beaucoup dans la finition. Dommage car cette défense bourguignonne n’a rien de l’assurance tous risques.
Le second acte démarre plutôt bien. Un bon coup franc de Courtet qui oblige Racioppi, encore lui, à une belle parade et encore un caviar, le deuxième pour Cimignani qui bute encore sur le portier visiteur. Mieux dans ses crampons, l’ACA insiste mais pêche toujours dans le dernier comme sur cette frappe de Courtet au premier poteau encore une fois sortie par Racioppi, le gardien remplaçant adverse (67e). Quatre occasions nettes et une fin de match à sens unique où l’ACA poussera de nouveau toujours. Pour finalement forcer la décision dans les toutes dernières secondes.
Le fait du match
Avec un soupçon de réalisme, Yanis Cimignani aurait pu être l’homme du match. Par trois fois, il s’est trouvé seul face au portier visiteur. Deux en première période et une peu avant l’heure de jeu où, idéalement servi par Courtet, il avait le but grand ouvert. Dommage car le jeune ajaccien est à créditer d’une bonne prestation. Toujours au chapitre des occases, Courtet, par deux fois dont un caviar de Bayala. Avant la libération sur un dernier corner.
Le but
On joue le temps additionnel dans une fin de match à sens unique. À la suite d’un nième corner, frappé par Nouri, El Idrissy s’élève au-dessus de la mêlée et marque de la tête.
L’homme du match
Par son abnégation et son travail en attaque, Gaëtan Courtet est à créditer d’une très bonne prestation. Dans tous les coups offensifs, il a pesé sur l’arrière-garde visiteuse et failli marquer à deux reprises.
Le bilan de la soirée
Une soirée tout benef pour les Ajacciens qui tirent un profit maximum de la journée (défaite de Sochaux, nul de Toulouse) pour grimper, de nouveau, sur le podium.
Olivier Pantaloni (entraîneur de l’ACA)
« C’est une victoire logique sur le vu du match. On a été moins incisif mais d’une manière générale, l’équipe a été solide, on leur a posé des problèmes en jouant dans le dos et dans la profondeur. C’est une délivrance de marquer à la dernière minute qui plus est face à une bonne équipe qui n’est pas à sa place. Il fallait être patient. En marquant à la fin du match, il y a une récompense. »
Patrice Garande (entraîneur de Dijon)
« Défaite cruelle, je suis déçu pour les joueurs, match cohérent avec du cœur, deux buts dont un valable, on a su défendre quand Ajaccio poussait. Quand on fait un match comme ça, on ne doit pas perdre. C’est dommage parce que l’on prend encore un but sur un coup de pied arrêté. On a été bon sur ce type d’actions et là, c’est la troisième fois que l’on encaisse un but de la sorte. Il faudra y remédier rapidement. »
ACA bat Dijon 1-0 (0-0)
Temps doux
Spectateurs : 2532
Bon terrain
Arbitre : M. Varela assisté de MM. Haulbert et Panont
But : El Idrissy (90+2)
Avertissements :
ACA : Cimingnani (8e), Bayala (39e), Marchetti (87e), Nouri (89e)
Dijon : Le Bihan (15e), Scheidler 61e), Coulibaly (87e)
Les équipes :
ACA
Leroy- Youssouf, Gonzalez, Avinel, Diallo- Bayala (Arconte 89e), Coutadeur (cap.), Laçi (Marchetti 62e), Cimignani (Nouri 71e)- Courtet, El Idrissy- ent : O.Pantaloni
Dijon FCO
Racioppi- Traoré, Congré (cap.), Coulibaly, Fofana- Dobre (Jacob 75e), Younoussa (Deaux 69e), Pi, Rocchia- Benzia, Le Bihan (Scheidler 46e)- ent : P.Garande
L’ambiance
Une affluence qui si elle ne grossit pas, ne faiblit pas dans les travées de Timizzolu où près de 3 000 supporters avaient pris place. Côté visiteur, une poignée d’irréductibles bourguignons. Et sur le terrain, un match tendu et fermé malgré l’emprise évidente de l’ACA. Enfin, une grosse pression du public dans les derniers instants pour aider les « biancu è rossi » à forcer le verrou bourguignon. Avec l’issue que l’on connaît !
L’enjeu
Il est de taille pour les hommes de Pantaloni. Profiter de la défaite de Sochaux à Bonal (1-0 face à Nîmes) pour remonter sur le podium. Il s’agit, en même temps pour les « bianchi è rossi » d’effacer la déconvenue de Pau. De leur côté, les Dijonnais veulent se rassurer après deux défaites consécutives. Une équipe reléguée de Ligue 1 et engluée à la 14e place du classement.
Les équipes
Retour de Youssouf sur le flanc droit de la défense ajaccienne dans un dispositif qui reste le même (4-4-2). Et titularisation de Cimignani en lieu et place de Nouri. Côté absent, Moussiti Oko toujours blessé et Kalulu, suspendu. Dans les rangs bourguignons, Philippoteaux, Panzo et Touré sont blessés et Ngouymansa suspendu. Patrice Garande a opté pour un 4-2-3-1 avec Benzia à la baguette et Le Bihan en pointe.
Le match
Il faut attendre, malgré une superbe occase de Courtet d’entrée de jeu, la vingtième minute pour voir le match s’emballer quelque peu. Côté bourguignon tout d’abord avec un but de Le Bihan (de la tête sur un corner de Benzia), refusé pour une faute de Rocchia sur Leroy (22e). Et puis, dans la foulée, Cimignani qui vient buter sur Racioppi (23e) et Courtet un crampon trop court pour redresser la course du ballon (24e). Un premier acte fermé, dans l’ensemble malgré de belles situations pour les Ajacciens qui pêchent beaucoup dans la finition. Dommage car cette défense bourguignonne n’a rien de l’assurance tous risques.
Le second acte démarre plutôt bien. Un bon coup franc de Courtet qui oblige Racioppi, encore lui, à une belle parade et encore un caviar, le deuxième pour Cimignani qui bute encore sur le portier visiteur. Mieux dans ses crampons, l’ACA insiste mais pêche toujours dans le dernier comme sur cette frappe de Courtet au premier poteau encore une fois sortie par Racioppi, le gardien remplaçant adverse (67e). Quatre occasions nettes et une fin de match à sens unique où l’ACA poussera de nouveau toujours. Pour finalement forcer la décision dans les toutes dernières secondes.
Le fait du match
Avec un soupçon de réalisme, Yanis Cimignani aurait pu être l’homme du match. Par trois fois, il s’est trouvé seul face au portier visiteur. Deux en première période et une peu avant l’heure de jeu où, idéalement servi par Courtet, il avait le but grand ouvert. Dommage car le jeune ajaccien est à créditer d’une bonne prestation. Toujours au chapitre des occases, Courtet, par deux fois dont un caviar de Bayala. Avant la libération sur un dernier corner.
Le but
On joue le temps additionnel dans une fin de match à sens unique. À la suite d’un nième corner, frappé par Nouri, El Idrissy s’élève au-dessus de la mêlée et marque de la tête.
L’homme du match
Par son abnégation et son travail en attaque, Gaëtan Courtet est à créditer d’une très bonne prestation. Dans tous les coups offensifs, il a pesé sur l’arrière-garde visiteuse et failli marquer à deux reprises.
Le bilan de la soirée
Une soirée tout benef pour les Ajacciens qui tirent un profit maximum de la journée (défaite de Sochaux, nul de Toulouse) pour grimper, de nouveau, sur le podium.
Olivier Pantaloni (entraîneur de l’ACA)
« C’est une victoire logique sur le vu du match. On a été moins incisif mais d’une manière générale, l’équipe a été solide, on leur a posé des problèmes en jouant dans le dos et dans la profondeur. C’est une délivrance de marquer à la dernière minute qui plus est face à une bonne équipe qui n’est pas à sa place. Il fallait être patient. En marquant à la fin du match, il y a une récompense. »
Patrice Garande (entraîneur de Dijon)
« Défaite cruelle, je suis déçu pour les joueurs, match cohérent avec du cœur, deux buts dont un valable, on a su défendre quand Ajaccio poussait. Quand on fait un match comme ça, on ne doit pas perdre. C’est dommage parce que l’on prend encore un but sur un coup de pied arrêté. On a été bon sur ce type d’actions et là, c’est la troisième fois que l’on encaisse un but de la sorte. Il faudra y remédier rapidement. »