C’est désormais établi, Arte Mare prolonge les festivités de sa programmation avec des séances toute l’année. Après la projection de Talking about trees de Suhaib Gasmelbari (Météore film) en partenariat avec le festival du Film de Lama et accompagnée par la productrice Marie Balducchi, le festival bastiais méditerranéen poursuit ses rendez-vous avec la projection du premier film de Mehdi Barsaoui, Un Fils.
Michèle Corrotti, Présidente de l’association explique la démarche des séances à l’année : « Nous sommes très attachés à cette programmation mensuelle rendue possible par le partenariat avec le cinéma le Régent. Dans l’esprit de la sélection du festival, nous proposons des avant-premières méditerranéennes et des films corses. »
Pour ce rendez-vous, l’équipe du festival à choisi de programmer le premier long métrage de ce jeune réalisateur tunisien déjà repéré comme premier assistant réalisateur sur le poignant La belle et la meute, grand prix Arte mare 2017. L’histoire commence en 2011, au crépuscule du printemps tunisien. Au delà des conflits et des revendications, c’est toute la société tunisienne qui est ici balayée. Le film n’a pas laissé de marbre les festivals où il est passé, récompensé à Venise, Namur et Bruxelles au Cinemamed 2019.
« Le premier long métrage de Mehdi Barsaoui, Un fils, a obtenu à la Mostra de Venise le prix Interfilm et celui de l’interprétation masculine pour Sami Bouajila, un acteur qui nous a fait l’amitié d’être membre du jury lors d’une précédente édition du festival. », poursuit la Présidente d’Arte Mare, avant d’ajouter « C’est l’occasion également de se réjouir de la belle santé du cinéma tunisien dont nous primons régulièrement les films : La Belle et la meute de Kaouther Ben Haina récompensé par trois prix Arte Mare en 2017: Grand Prix, Prix du Public et Prix Jury Jeunes, représenté par sa comédienne principale l’actrice Mariam El Farjani, Hedi, un vent de liberté de Mohamed Ben Attia qui a obtenu le Grand Prix en 2018 et dont le réalisateur était au jury de l’édition 2019. »
Une séance à ne pas manquer ce jeudi 30 janvier à 19h au Cinéma Le Régent. La sortie de ce film distribué par Jour 2 Fête est prévue le 11 mars prochain…
Michèle Corrotti, Présidente de l’association explique la démarche des séances à l’année : « Nous sommes très attachés à cette programmation mensuelle rendue possible par le partenariat avec le cinéma le Régent. Dans l’esprit de la sélection du festival, nous proposons des avant-premières méditerranéennes et des films corses. »
Pour ce rendez-vous, l’équipe du festival à choisi de programmer le premier long métrage de ce jeune réalisateur tunisien déjà repéré comme premier assistant réalisateur sur le poignant La belle et la meute, grand prix Arte mare 2017. L’histoire commence en 2011, au crépuscule du printemps tunisien. Au delà des conflits et des revendications, c’est toute la société tunisienne qui est ici balayée. Le film n’a pas laissé de marbre les festivals où il est passé, récompensé à Venise, Namur et Bruxelles au Cinemamed 2019.
« Le premier long métrage de Mehdi Barsaoui, Un fils, a obtenu à la Mostra de Venise le prix Interfilm et celui de l’interprétation masculine pour Sami Bouajila, un acteur qui nous a fait l’amitié d’être membre du jury lors d’une précédente édition du festival. », poursuit la Présidente d’Arte Mare, avant d’ajouter « C’est l’occasion également de se réjouir de la belle santé du cinéma tunisien dont nous primons régulièrement les films : La Belle et la meute de Kaouther Ben Haina récompensé par trois prix Arte Mare en 2017: Grand Prix, Prix du Public et Prix Jury Jeunes, représenté par sa comédienne principale l’actrice Mariam El Farjani, Hedi, un vent de liberté de Mohamed Ben Attia qui a obtenu le Grand Prix en 2018 et dont le réalisateur était au jury de l’édition 2019. »
Une séance à ne pas manquer ce jeudi 30 janvier à 19h au Cinéma Le Régent. La sortie de ce film distribué par Jour 2 Fête est prévue le 11 mars prochain…