«On est venu en Corse, comme on l’a fait dans toutes les autres ligues de France, pour faire un point à la fin de cette mandature, qui se termine maintenant, et en amont de la prochaine du plan d’action 2021/2024 » indique Patrick Pion qui était ce lundi à la Ligue Corse de Football en compagnie de Florian Bechon, responsable en milieu scolaire à la DTN (Direction Technique Nationale) et Emilie Trimoreau, responsable de la pratique jeune et loisir.
«Nous avons encore toute cette saison, qui est une saison de transition, pour construire avec notamment la Ligue Corse, le schéma national et régional qui concerne le développement et l’animation des pratiques. Par exemple, comment réussir à faire jouer les enfants, les jeunes, les adultes, les séniors au football en Corse. Cela part d’un diagnostic qu’on réalise ici, avec les points forts, les axes d’améliorations de la ligue, mais aussi les opportunités, les menaces aussi avec la concurrence des autres sports. Une fois ceci établi, il nous faut réfléchir ensemble aux actions principales à mettre en place dans les années à venir, de façon à fidéliser un maximum de joueuses et joueurs et en attirer de nouveaux. Aujourd’hui le football est en révolution culturelle. On doit associer un football compétitif à un football tourné vers le loisir pour pouvoir accueillir davantage de personnes, d’avantage de générations de personnes. On a un gros gros gap de licenciés à partir de 35/40 ans et à partir de 40/70 ans on imagine qu’on a une réserve de pratiquants dans le football qui est assez incroyable ».
La FFF admirative du travail effectué en Corse
Mais comment voit-on la LCF depuis Paris ?
«La FFF est admirative du travail qui est fait en Corse. Déjà la Corse est une île qui adhère complètement à la politique de la fédération et il faut saluer le travail des dirigeants et des techniciens de la ligue. La FFF admire aussi le travail effectué en clubs, en matière de formation. La Corse est une terre de passion, de compétition pour les jeunes. Il y a une identité forte qui est marquée et qui va dans le bon sens. Ce qu’il faut envisager dans le football de demain, c’est associer au football compétition, une diversité d’offres de pratiques, un nouveau catalogue de pratiques offertes à tous les licenciés, en espérant aussi, retrouver des clubs dans l’élite nationale car on peut imaginer que c’est forcement très très important d’avoir des clubs qui servent de locomotives, comme cela a été le cas ces dernières années et dernières décennies ».
Du côté de la Ligue Corse de Football on se réjouit de telles visites. «La visite de DTN est toujours très importante car ce sont eux qui gèrent la politique en matière de développement et de formation » souligne Jean-René Morrachini, président de la LCF. «On a fait le point de ce qui passe chez nous et ça permet aux DTN d’avoir une approche complète de ce qu’on fait en matière de développement et d’animation de pratiques. Il n’y a en effet pas que le foot pro car le foot commence dès le plus jeune âge. On dresse donc un bilan avec eux et on compare avec ce qui se fait à l’échelon national. On voit ce qu’on peut apporter chez nous, ce qu’on peut améliorer, les secteurs où on est un peu défaillant, les secteurs où on est en excellence. On essaye ensuite tous ensemble de progresser rapidement vers toutes les pratiques notamment le foot loisir où, il faut le reconnaitre, on a un certain déficit. La Corse est une terre de football, une terre passion mais il faut être vigilant car si on se contente de ce qu’on a, à un moment donné on va régresser. Il faut toujours être progressiste et faire en sorte qu’on ne perde pas de licenciés, qu’on attitre les jeunes. Aujourd’hui beaucoup de jeunes veulent aller vers d’autres pratiques qu’on connait moins comme le foot diversifié, le beach soccer, le footy volley, le foot féminin où on a un léger déficit. Donc on veut mettre l’accent sur toutes ces pratiques où l’on connait des difficultés. Autrement dit, maintenir l’existant et voir les secteurs où on a encore des marges de manœuvres, où on doit mettre l’accent. »
CNI a rencontré le DTN et le président de la LCF….
«Nous avons encore toute cette saison, qui est une saison de transition, pour construire avec notamment la Ligue Corse, le schéma national et régional qui concerne le développement et l’animation des pratiques. Par exemple, comment réussir à faire jouer les enfants, les jeunes, les adultes, les séniors au football en Corse. Cela part d’un diagnostic qu’on réalise ici, avec les points forts, les axes d’améliorations de la ligue, mais aussi les opportunités, les menaces aussi avec la concurrence des autres sports. Une fois ceci établi, il nous faut réfléchir ensemble aux actions principales à mettre en place dans les années à venir, de façon à fidéliser un maximum de joueuses et joueurs et en attirer de nouveaux. Aujourd’hui le football est en révolution culturelle. On doit associer un football compétitif à un football tourné vers le loisir pour pouvoir accueillir davantage de personnes, d’avantage de générations de personnes. On a un gros gros gap de licenciés à partir de 35/40 ans et à partir de 40/70 ans on imagine qu’on a une réserve de pratiquants dans le football qui est assez incroyable ».
La FFF admirative du travail effectué en Corse
Mais comment voit-on la LCF depuis Paris ?
«La FFF est admirative du travail qui est fait en Corse. Déjà la Corse est une île qui adhère complètement à la politique de la fédération et il faut saluer le travail des dirigeants et des techniciens de la ligue. La FFF admire aussi le travail effectué en clubs, en matière de formation. La Corse est une terre de passion, de compétition pour les jeunes. Il y a une identité forte qui est marquée et qui va dans le bon sens. Ce qu’il faut envisager dans le football de demain, c’est associer au football compétition, une diversité d’offres de pratiques, un nouveau catalogue de pratiques offertes à tous les licenciés, en espérant aussi, retrouver des clubs dans l’élite nationale car on peut imaginer que c’est forcement très très important d’avoir des clubs qui servent de locomotives, comme cela a été le cas ces dernières années et dernières décennies ».
Du côté de la Ligue Corse de Football on se réjouit de telles visites. «La visite de DTN est toujours très importante car ce sont eux qui gèrent la politique en matière de développement et de formation » souligne Jean-René Morrachini, président de la LCF. «On a fait le point de ce qui passe chez nous et ça permet aux DTN d’avoir une approche complète de ce qu’on fait en matière de développement et d’animation de pratiques. Il n’y a en effet pas que le foot pro car le foot commence dès le plus jeune âge. On dresse donc un bilan avec eux et on compare avec ce qui se fait à l’échelon national. On voit ce qu’on peut apporter chez nous, ce qu’on peut améliorer, les secteurs où on est un peu défaillant, les secteurs où on est en excellence. On essaye ensuite tous ensemble de progresser rapidement vers toutes les pratiques notamment le foot loisir où, il faut le reconnaitre, on a un certain déficit. La Corse est une terre de football, une terre passion mais il faut être vigilant car si on se contente de ce qu’on a, à un moment donné on va régresser. Il faut toujours être progressiste et faire en sorte qu’on ne perde pas de licenciés, qu’on attitre les jeunes. Aujourd’hui beaucoup de jeunes veulent aller vers d’autres pratiques qu’on connait moins comme le foot diversifié, le beach soccer, le footy volley, le foot féminin où on a un léger déficit. Donc on veut mettre l’accent sur toutes ces pratiques où l’on connait des difficultés. Autrement dit, maintenir l’existant et voir les secteurs où on a encore des marges de manœuvres, où on doit mettre l’accent. »
CNI a rencontré le DTN et le président de la LCF….
Etaient présent à cette réunion : Jean-René Morrachini, président de la LCF, Francis Maggiani, secrétaire général, David Saladini, directeur administratif, Pierre Fontana et Nicolas Gagliardi, CTR, Yoann Vauzelle, CTD, Paul Cristofari, président de la commission des jeunes et Jackie Peri et Jean-Claude Perfetti, de la commission des jeunes.