Le capitaine de frégate Grégoire Chavignot a pris ses fonctions de commandant de la base navale d’Aspretto et de la Marine en Corse - Photos Michel Luccioni
C’est sous un soleil de plomb que s’est déroulée la cérémonie de passation de commandement, ce mardi 28 septembre, à Aspretto. Le capitaine de frégate Grégoire Chavignot est désormais le nouveau commandant de la base navale et de la Marine en Corse.
Âgé de 50 ans, il a, durant sa carrière, participé à de nombreuses opérations : Licorne en Côte d’Ivoire, Enduring Freedom en océan Indien depuis Djibouti, Epervier au Tchad, Serval au Sahel comme chef du détachement de patrouille maritime. À bord du porte-avions Charles de Gaulle, il a également participé à des opérations de lutte contre l’Etat islamique en Irak et en Syrie. Son expérience et son vécu opérationnel lui ont valu de devenir Chevalier de la légion d’honneur.
À la tête de la base navale d’Aspretto, le tout nouveau commandant entend poursuivre l’action de son prédécesseur, Bertrand de Gaullier des Bordes. « Je souhaite développer le travail de mon prédécesseur, arrivé il y a trois ans. Mon but est de poursuivre son action », déclare t-il. Une action marquée notamment par l’opération Tonnerre. Celle-ci avait permis, en mars 2020, d’acheminer douze patients de Corse, atteints par le Covid-19, vers le Continent, afin de soulager les hôpitaux insulaires. Au-delà de ces opérations d’envergure, le tout nouveau commandant souhaite continuer à « développer l’infrastructure », estimant que la base actuelle n’est « pas très moderne ». Ses missions sont pourtant diverses, de la lutte antipollution à l’antiterrorisme, en passant par la protection du littoral.
Pour les mener à bien, l’objectif est d’augmenter la capacité d’accueil de la base : « Il faut avoir une vraie capacité d’accueil d’hélicoptères, de moyens extérieurs. À terme, nous avons le projet d’accueillir des bateaux un peu plus gros ». Et, pourquoi pas, le Charles de Gaulle, qui a déjà fait escale quelques jours dans la cité impériale en novembre 2020. Le vice-amiral d’escadre Gilles Boidevezi, commandant la zone et l'arrondissement maritimes Méditerranée et préfet maritime de la Méditerranée insiste lui aussi sur « l’importance de redynamiser ce point d’appui en Corse », une opération qui a « déjà commencé depuis plusieurs années ».
Au nouveau commandant de la poursuivre.
Âgé de 50 ans, il a, durant sa carrière, participé à de nombreuses opérations : Licorne en Côte d’Ivoire, Enduring Freedom en océan Indien depuis Djibouti, Epervier au Tchad, Serval au Sahel comme chef du détachement de patrouille maritime. À bord du porte-avions Charles de Gaulle, il a également participé à des opérations de lutte contre l’Etat islamique en Irak et en Syrie. Son expérience et son vécu opérationnel lui ont valu de devenir Chevalier de la légion d’honneur.
À la tête de la base navale d’Aspretto, le tout nouveau commandant entend poursuivre l’action de son prédécesseur, Bertrand de Gaullier des Bordes. « Je souhaite développer le travail de mon prédécesseur, arrivé il y a trois ans. Mon but est de poursuivre son action », déclare t-il. Une action marquée notamment par l’opération Tonnerre. Celle-ci avait permis, en mars 2020, d’acheminer douze patients de Corse, atteints par le Covid-19, vers le Continent, afin de soulager les hôpitaux insulaires. Au-delà de ces opérations d’envergure, le tout nouveau commandant souhaite continuer à « développer l’infrastructure », estimant que la base actuelle n’est « pas très moderne ». Ses missions sont pourtant diverses, de la lutte antipollution à l’antiterrorisme, en passant par la protection du littoral.
Pour les mener à bien, l’objectif est d’augmenter la capacité d’accueil de la base : « Il faut avoir une vraie capacité d’accueil d’hélicoptères, de moyens extérieurs. À terme, nous avons le projet d’accueillir des bateaux un peu plus gros ». Et, pourquoi pas, le Charles de Gaulle, qui a déjà fait escale quelques jours dans la cité impériale en novembre 2020. Le vice-amiral d’escadre Gilles Boidevezi, commandant la zone et l'arrondissement maritimes Méditerranée et préfet maritime de la Méditerranée insiste lui aussi sur « l’importance de redynamiser ce point d’appui en Corse », une opération qui a « déjà commencé depuis plusieurs années ».
Au nouveau commandant de la poursuivre.