Une pièce dans la pièce

Cette pièce, mettait en scène, dans une première partie, une troupe de comédiens en pleine répétition, jouant l’histoire d’un gentleman cambrioleur qui s’introduit dans une maison d’aristocrates, et devient l’amant de la maitresse de maison. Ambiance électrique, deux jours avant la première, alors que l’actrice, jouant la femme adultère, est au bord de la crise de nerf, ne supportant pas les gaffes à répétition du jeune premier qui joue le rôle de son amant, et qui n’a comme expérience que d’être le fils du producteur. A cela s’ajoute, un mari qui sait tout mieux que tout le monde, sauf … son texte, une habilleuse déjantée et une directrice complètement dépassée……
Fidèle au théâtre de boulevard, c’est ensuite toute une série de quiproquos, maladresses et disputes qui s’enchaînent, pour le plus grand bonheur des spectateurs qui s’amusent dès le début de la pièce.
Dans une deuxième partie le public ajaccien assiste à la « première » qui tourne très rapidement au délire. C’est, alors une salle qui rit comme un seul homme, à un point tel, que par moments les dialogues sont difficilement audibles. Les erreurs et malentendus se suivent, jusqu’à la fin, frôlant la catastrophe. Catastrophe qui n’aura pas lieu, puisque les acteurs assurent tant bien que mal, menant la pièce jusqu’à son final. Le public de l’Empire n’a cessé de rire de bon cœur.
Une réussite donc pour cette unique représentation. A la sortie les commentaires n’ont été qu’éloges et compliments, avec d’un coté les bons spectateurs qui ont trouvé la pièce drôle dès le début, et de l’autre un public un peu plus aguerri qui pensait, qu’après une mise en place un peu longue, cette pièce fut finalement très drôle.
Lydie COLONNA
Fidèle au théâtre de boulevard, c’est ensuite toute une série de quiproquos, maladresses et disputes qui s’enchaînent, pour le plus grand bonheur des spectateurs qui s’amusent dès le début de la pièce.
Dans une deuxième partie le public ajaccien assiste à la « première » qui tourne très rapidement au délire. C’est, alors une salle qui rit comme un seul homme, à un point tel, que par moments les dialogues sont difficilement audibles. Les erreurs et malentendus se suivent, jusqu’à la fin, frôlant la catastrophe. Catastrophe qui n’aura pas lieu, puisque les acteurs assurent tant bien que mal, menant la pièce jusqu’à son final. Le public de l’Empire n’a cessé de rire de bon cœur.
Une réussite donc pour cette unique représentation. A la sortie les commentaires n’ont été qu’éloges et compliments, avec d’un coté les bons spectateurs qui ont trouvé la pièce drôle dès le début, et de l’autre un public un peu plus aguerri qui pensait, qu’après une mise en place un peu longue, cette pièce fut finalement très drôle.
Lydie COLONNA