Une fois de plus L'Associu Sulidarità se doit de protester contre les conditions de détention des prisonniers politiques corses. En l'occurrence, à la maison d'arrêt de Fleury Merogis on assiste à une dérive dangereuse de la part des surveillants :
ceux-ci, pour la plupart, nouveaux et très peu formés entretiennent des rapports humains délétères (activités sportives régulièrement annulées sans explication, accès aux cabines téléphoniques rendu difficile volontairement…).
Hier, 2 patriotes corses, Cedric Courbey et Xavier Ceccaldi, ont été envoyés au mitard. Le prétexte de cette abjecte punition est ubuesque : suite à un incident dans une cours, ils ont été désignés, sans preuve, par un surveillant, comme les "possibles fomenteurs" d'un mouvement de protestation. Ce même surveillant leur a interdit de prendre leurs vêtements et ils ont passés la nuit en tee-shirt et en short dans au quartier disciplinaire froid.
Sulidarità, comme elle a toujours fait, dénoncera, chaque fois que les droits humains de patriotes incarcérés seront bafoués. Des initiatives seront prises rapidement afin de faire évoluer le sort des prisonniers corses face à un état qui n'applique pas ses propres lois (conditions de détention, rapprochement, aménagement de peines …).
ceux-ci, pour la plupart, nouveaux et très peu formés entretiennent des rapports humains délétères (activités sportives régulièrement annulées sans explication, accès aux cabines téléphoniques rendu difficile volontairement…).
Hier, 2 patriotes corses, Cedric Courbey et Xavier Ceccaldi, ont été envoyés au mitard. Le prétexte de cette abjecte punition est ubuesque : suite à un incident dans une cours, ils ont été désignés, sans preuve, par un surveillant, comme les "possibles fomenteurs" d'un mouvement de protestation. Ce même surveillant leur a interdit de prendre leurs vêtements et ils ont passés la nuit en tee-shirt et en short dans au quartier disciplinaire froid.
Sulidarità, comme elle a toujours fait, dénoncera, chaque fois que les droits humains de patriotes incarcérés seront bafoués. Des initiatives seront prises rapidement afin de faire évoluer le sort des prisonniers corses face à un état qui n'applique pas ses propres lois (conditions de détention, rapprochement, aménagement de peines …).