"Pour Per a Pace, cette nouvelle initiative, la cinquième pour l’association depuis 2021, aura été l’occasion de répondre à un appel à la générosité par le convoyage de denrées alimentaires, matériel d’hygiène, toiles de tente..., mais aussi de constater les situations sur place et de témoigner de ce qui nous semble inacceptable" soulignent, en chœur, les trois hommes en s'attardant sur les conditions faites réfugiés kurdes, pour la majorité originaires de Turquie ou du Rojava syrien.
Per a Pace estime que ces populations auraient préféré continuer à vivre dans leur pays, dans leurs villes et villages "mais les persécutions, le racisme, les arrestations et les violences de toutes sortes ont contraint femmes et enfants compris, à se retrouver sur les chemins de l’exode et à chercher un avenir meilleur et ailleurs."
Et l'association d'ajouter cette citation qui dit que « lorsque l’on veut tuer son chien, on l’accuse d’avoir la rage » et lorsqu’on veut chasser une population de sa terre, on « l’accuse de terrorisme ».
Jacques Casamarta et ses compagnons en Grèce n'hésitent pas à faire état d'un "scandale et une honte pour la Communauté internationale, les pays dits « riches », notamment en Europe, qui acceptent et contribuent à la banalisation de toutes ces détresses humaines. La Méditerranée vit déjà des heures sombres, caractérisées notamment par des dizaines de milliers de noyades. Ce qui se passe aujourd’hui, avec la stigmatisation des Kurdes, participe à accentuer les phénomènes migratoires."
"Un devoir de solidarité humaine"
Pour "Per a Pace'' informer l’opinion publique de ces réalités semble "être un devoir de nécessaire solidarité humaine et au-delà un engagement, une résistance contre toutes sortes de violences et de barbarie."
Et les représentants de l'association poursuivent en soulignant qu'il est "Il est triste de constater que ces populations, sacrifiées par la diplomatie, probablement abandonnées par l’Union européenne pour répondre à la pression exercée par la Turquie et son président Erdogan, sont aujourd’hui délaissées et que le HCR (Haut Commissariat aux Réfugiés) s’est retiré de la gestion des camps"
heureusement que la solidarité citoyenne, la solidarité internationale existent, elles sont présentes pour aider et casser ce mur du silence."
"Per a Pace", n'omet pas de rappeler qu'a lendemain de la Première Guerre mondiale à la chute de l’Empire ottoman "il avait été promis aux Kurdes de créer un État".
Mais cela ne s’est pas produit et, depuis, ils représentent le plus grand peuple au monde écartelé entre quatre pays (la Turquie, la Syrie, l’Iran et l’Irak). "C’est sur ces terres que, depuis toujours ils ont vécu et sur lesquelles ils désirent retourner. Ils revendiquent la reconnaissance et le respect de leur culture, leur Kurdicité".
Per a Pace estime que ces populations auraient préféré continuer à vivre dans leur pays, dans leurs villes et villages "mais les persécutions, le racisme, les arrestations et les violences de toutes sortes ont contraint femmes et enfants compris, à se retrouver sur les chemins de l’exode et à chercher un avenir meilleur et ailleurs."
Et l'association d'ajouter cette citation qui dit que « lorsque l’on veut tuer son chien, on l’accuse d’avoir la rage » et lorsqu’on veut chasser une population de sa terre, on « l’accuse de terrorisme ».
Jacques Casamarta et ses compagnons en Grèce n'hésitent pas à faire état d'un "scandale et une honte pour la Communauté internationale, les pays dits « riches », notamment en Europe, qui acceptent et contribuent à la banalisation de toutes ces détresses humaines. La Méditerranée vit déjà des heures sombres, caractérisées notamment par des dizaines de milliers de noyades. Ce qui se passe aujourd’hui, avec la stigmatisation des Kurdes, participe à accentuer les phénomènes migratoires."
"Un devoir de solidarité humaine"
Pour "Per a Pace'' informer l’opinion publique de ces réalités semble "être un devoir de nécessaire solidarité humaine et au-delà un engagement, une résistance contre toutes sortes de violences et de barbarie."
Et les représentants de l'association poursuivent en soulignant qu'il est "Il est triste de constater que ces populations, sacrifiées par la diplomatie, probablement abandonnées par l’Union européenne pour répondre à la pression exercée par la Turquie et son président Erdogan, sont aujourd’hui délaissées et que le HCR (Haut Commissariat aux Réfugiés) s’est retiré de la gestion des camps"
heureusement que la solidarité citoyenne, la solidarité internationale existent, elles sont présentes pour aider et casser ce mur du silence."
"Per a Pace", n'omet pas de rappeler qu'a lendemain de la Première Guerre mondiale à la chute de l’Empire ottoman "il avait été promis aux Kurdes de créer un État".
Mais cela ne s’est pas produit et, depuis, ils représentent le plus grand peuple au monde écartelé entre quatre pays (la Turquie, la Syrie, l’Iran et l’Irak). "C’est sur ces terres que, depuis toujours ils ont vécu et sur lesquelles ils désirent retourner. Ils revendiquent la reconnaissance et le respect de leur culture, leur Kurdicité".
Pourquoi ce nouveau témoignage ?
"De retour dans notre île, nous tenons à témoigner de la situation qui est imposée aux citoyens kurdes."
Nous considérons qu’il faut tout faire pour aider les populations à vivre dans leur pays d’origine, éviter les immigrations du désespoir, défendre le droit en toute circonstance.
Une nouvelle fois nous interpellons la Communauté internationale, l’ONU pour que celles-ci s’engagent à trouver les chemins du dialogue et d’une justice dans la paix. " soulignent les membres de Per a Pace.
-----
L’association tient à remercier les réfugiés kurdes pour leur accueil chaleureux et fraternel.
"Nous tenons également à remercier toutes celles et tous ceux qui en Corse (entreprises, organismes et citoyens) ont apporté une contribution décisive à la réalisation de cette belle initiative de solidarité humaine. "
Nous considérons qu’il faut tout faire pour aider les populations à vivre dans leur pays d’origine, éviter les immigrations du désespoir, défendre le droit en toute circonstance.
Une nouvelle fois nous interpellons la Communauté internationale, l’ONU pour que celles-ci s’engagent à trouver les chemins du dialogue et d’une justice dans la paix. " soulignent les membres de Per a Pace.
-----
L’association tient à remercier les réfugiés kurdes pour leur accueil chaleureux et fraternel.
"Nous tenons également à remercier toutes celles et tous ceux qui en Corse (entreprises, organismes et citoyens) ont apporté une contribution décisive à la réalisation de cette belle initiative de solidarité humaine. "