L’homme était discret et passionné.
Son premier amour : le ballon rond.
Il a cultivé sa passion pour le football en collaborant durant plusieurs années à l'édition corse du Provençal. Puis l'a servi pendant 16 ans, de 1996 à 2012, à la tête de la Ligue Corse de Football, défendant ardemment à la fois le sport et son île.
Magistrat de carrière, il avait tout d’abord été conseiller puis président de chambre à la cour d'appel de de Bastia et, enfin, à Versailles, dans les Yvelines.
Mais ce que Marc aimait particulièrement et qui a accompagné la fin de sa vie, c’est le cinéma, cette deuxième passion qu’il a développée pour le grand écran.
Il animait depuis des années le ciné-club au cinéma le Studio de son ami René Viale, avec des goûts éclectiques et une passion sans limite. Avec lui, cinéphiles, jeunes et moins jeunes, ont pu découvrir ou redécouvrir des classiques du 7e art comme Adieu Philippine de Jacques Rozier, Matador d’Almodovar, La Soif du Mal d’Orson Welles, 12 Hommes en colère de Sydney Lumet, Despair de Fassbinder ou encore L’Homme qui venait d’ailleurs de Nicolas Roeg.
Inlassablement, le mardi, une fois par mois, il présentait un film et animait le débat qui suivait. Il se « battait » aussi, souvent, avec les micros du Studio. Toujours avec le sourire et une note d’humour.
Il avait également été jury au Festival du cinéma Italien de Bastia en 2012 sous la présidence du réalisateur Yves Boisset. Une semaine passionnante qui avait permis de découvrir l’étendue de sa cinéphilie et de confirmer sa grande humilité.
Décédé ce dimanche à l'âge de 74 ans Marc Riolacci était chevalier de la légion d'honneur.
Corse Net Infos présente l'expression de ses condoléances à toutes les personnes affectées par ce deuil.
Son premier amour : le ballon rond.
Il a cultivé sa passion pour le football en collaborant durant plusieurs années à l'édition corse du Provençal. Puis l'a servi pendant 16 ans, de 1996 à 2012, à la tête de la Ligue Corse de Football, défendant ardemment à la fois le sport et son île.
Magistrat de carrière, il avait tout d’abord été conseiller puis président de chambre à la cour d'appel de de Bastia et, enfin, à Versailles, dans les Yvelines.
Mais ce que Marc aimait particulièrement et qui a accompagné la fin de sa vie, c’est le cinéma, cette deuxième passion qu’il a développée pour le grand écran.
Il animait depuis des années le ciné-club au cinéma le Studio de son ami René Viale, avec des goûts éclectiques et une passion sans limite. Avec lui, cinéphiles, jeunes et moins jeunes, ont pu découvrir ou redécouvrir des classiques du 7e art comme Adieu Philippine de Jacques Rozier, Matador d’Almodovar, La Soif du Mal d’Orson Welles, 12 Hommes en colère de Sydney Lumet, Despair de Fassbinder ou encore L’Homme qui venait d’ailleurs de Nicolas Roeg.
Inlassablement, le mardi, une fois par mois, il présentait un film et animait le débat qui suivait. Il se « battait » aussi, souvent, avec les micros du Studio. Toujours avec le sourire et une note d’humour.
Il avait également été jury au Festival du cinéma Italien de Bastia en 2012 sous la présidence du réalisateur Yves Boisset. Une semaine passionnante qui avait permis de découvrir l’étendue de sa cinéphilie et de confirmer sa grande humilité.
Décédé ce dimanche à l'âge de 74 ans Marc Riolacci était chevalier de la légion d'honneur.
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Marc Riolacci (Au centre) entre Noël Le Graet, le président de la FFF, et Pierre Antoniotti lors d'une cérémonie devant la stèle de Furiani