Le premier documentaire a été présenté le jeudi 28 octobre « Maroc terre de Partage » en partenariat avec la PJJ (protection judiciaire de la jeunesse) dans les locaux de la FALEP à Ajaccio en présence d’un public jeune et d’éducateurs autour du film documentaire réalisé en 2009 par Mehdi Lalloui qui retrace un séjour et une action solidaire de Per à Pace dans deux régions du Maroc.
Un débat passionné a suivi avec les jeunes et les éducateurs. Tous ont relevé la qualité émotionnelle qui se dégage de ce film et la parole des jeunes qui ont participé à cette initiative solidaire avec Per a Pace au Maroc.
La solidarité, l’altérité, l’échange et le partage ont été au centre des discussions et ont jeté les bases de futures actions pour donner sens aux propos anti racistes du généticien Albert Jacquard, « les rencontres font de nous des humains ».
Le même jour, en soirée, à la librairie La Marge à Ajaccio, Mehdi Lallaoui avant de dédicacer deux ouvrages édités par « Au nom de la mémoire » a expliqué le contexte politique qui a conduit à la dramatique journée du 17 octobre 1961 à Paris et qui a vu la police dirigée par le préfet Maurice Papon, jeter dans la seine et assassiner des dizaines d’Algériens qui manifestaient pacifiquement contre le sort discriminatoire qui leur était imposé par le gouvernement de l’époque.
Vendredi, dans les locaux de l’association Point de suspension à Ajaccio et toujours à l’initiative de Per à Pace; le public était convié à une projection et un débat autour d’un support visuel « le silence du fleuve » film documentaire retraçant les événements dramatiques du 17 octobre 1961 à Paris et qui ont conduit au massacre de centaines d’Algériens par la police du préfet Maurice Papon. Ils manifestaient pacifiquement contre les mesures discriminatoires qui avaient été prises contre toute la communauté algérienne par le gouvernement de l’époque.
Ce dimanche le 31 octobre à Bastia , a eu lieu une nouvelle projection au Studio cinéma à l’initiative des Amis de l’Humanité, de Terre Corse, d’Ava Basta et de Per à Pace.
Un débat passionné a suivi avec les jeunes et les éducateurs. Tous ont relevé la qualité émotionnelle qui se dégage de ce film et la parole des jeunes qui ont participé à cette initiative solidaire avec Per a Pace au Maroc.
La solidarité, l’altérité, l’échange et le partage ont été au centre des discussions et ont jeté les bases de futures actions pour donner sens aux propos anti racistes du généticien Albert Jacquard, « les rencontres font de nous des humains ».
Le même jour, en soirée, à la librairie La Marge à Ajaccio, Mehdi Lallaoui avant de dédicacer deux ouvrages édités par « Au nom de la mémoire » a expliqué le contexte politique qui a conduit à la dramatique journée du 17 octobre 1961 à Paris et qui a vu la police dirigée par le préfet Maurice Papon, jeter dans la seine et assassiner des dizaines d’Algériens qui manifestaient pacifiquement contre le sort discriminatoire qui leur était imposé par le gouvernement de l’époque.
Vendredi, dans les locaux de l’association Point de suspension à Ajaccio et toujours à l’initiative de Per à Pace; le public était convié à une projection et un débat autour d’un support visuel « le silence du fleuve » film documentaire retraçant les événements dramatiques du 17 octobre 1961 à Paris et qui ont conduit au massacre de centaines d’Algériens par la police du préfet Maurice Papon. Ils manifestaient pacifiquement contre les mesures discriminatoires qui avaient été prises contre toute la communauté algérienne par le gouvernement de l’époque.
Ce dimanche le 31 octobre à Bastia , a eu lieu une nouvelle projection au Studio cinéma à l’initiative des Amis de l’Humanité, de Terre Corse, d’Ava Basta et de Per à Pace.