"Nous avançons sur une constatation, mais il est encore trop tôt pour en parler".
Eric Bouillard, procureur de la République d'Ajaccio confirme que les enquêteurs, à partir d'une constatation effectuée sur le terrain après l'assassinat de Massimu Susini, exploitent une piste qui serait susceptible de faire progresser leurs investigations.
Quelle constatation ?
La suite de l'enquête le dira, si tant est qu'elle aboutisse.
En attendant on a appris ce vendredi que l'autopsie de la victime de ce nouvel assassinat aurait lieu ce samedi.
On en saura alors un peu plus sur la façon dont les hommes attachés à la perte de Massimu Susini lui ont ôté la vie.
Mais au-delà, c'est dans le passé de la victime que les enquêteurs devront aller chercher les motivations de ceux qui ont armé les bras de ses tueurs.
Jeudi matin on n'excluait aucune hypothèse : sur place, en effet, le procureur de la République soulignait que les pistes sur lesquelles les enquêteurs de la gendarmerie travaillaient étaient nombreuses : engagement politique et rivalité commerciale notamment mais beaucoup de voix dénoncent, aussi, depuis jeudi matin la piste mafieuse.
La méthode employée, avec ce véhicule calciné retrouvé à proximité du lieu de l'assassinat, fait incontestablement penser à la méthode qu'affectionne le grand banditisme.
L'exploitation de la "constatation" évoquée par le procureur de la République permettra t-elle d'orienter l'enquête dans un sens précis?
Et à partir de là de mieux cerner les raisons pour lesquelles Massimu Susini est tombé sous les balles de ceux qui lui ont tendu un véritable guet-apens jeudi matin sur la plage de Pero qu'il affectionnait tant ?
Eric Bouillard, procureur de la République d'Ajaccio confirme que les enquêteurs, à partir d'une constatation effectuée sur le terrain après l'assassinat de Massimu Susini, exploitent une piste qui serait susceptible de faire progresser leurs investigations.
Quelle constatation ?
La suite de l'enquête le dira, si tant est qu'elle aboutisse.
En attendant on a appris ce vendredi que l'autopsie de la victime de ce nouvel assassinat aurait lieu ce samedi.
On en saura alors un peu plus sur la façon dont les hommes attachés à la perte de Massimu Susini lui ont ôté la vie.
Mais au-delà, c'est dans le passé de la victime que les enquêteurs devront aller chercher les motivations de ceux qui ont armé les bras de ses tueurs.
Jeudi matin on n'excluait aucune hypothèse : sur place, en effet, le procureur de la République soulignait que les pistes sur lesquelles les enquêteurs de la gendarmerie travaillaient étaient nombreuses : engagement politique et rivalité commerciale notamment mais beaucoup de voix dénoncent, aussi, depuis jeudi matin la piste mafieuse.
La méthode employée, avec ce véhicule calciné retrouvé à proximité du lieu de l'assassinat, fait incontestablement penser à la méthode qu'affectionne le grand banditisme.
L'exploitation de la "constatation" évoquée par le procureur de la République permettra t-elle d'orienter l'enquête dans un sens précis?
Et à partir de là de mieux cerner les raisons pour lesquelles Massimu Susini est tombé sous les balles de ceux qui lui ont tendu un véritable guet-apens jeudi matin sur la plage de Pero qu'il affectionnait tant ?