- Le thème de ce film ?
- Ce sont 4 femmes, 4 bastiaises du quartier de Lupino qui tentent une aventure théâtrale pour la 1ère fois de leur vie. C’est un aller/retour entre la vie du théâtre, les répétitions, le moment du théâtre très fort qu’elles vivent et leur vie intime, leur vie sociale, leur solitude.
- Le message ?
- J’ai voulu montrer à travers ce film comment on pouvait trouver dans ces quartiers, qu’on pense quartiers défavorisés, une telle densité d’émotion et de gens qui se dévouent dans la vie, qui essayent d’avancer au-delà de ce que la vie leur met comme barrières. Ce sont des gens dévoués à la sensibilité humaine. Ces 4 femmes se battent pour faire avancer les choses mais en même temps, elles ont chacune une histoire personnelle forte.
- Le choix de ces 4 femmes ?
- Ces 4 femmes faisaient partie d’un atelier de théâtre mis en place par la Compagnie Théâtre Alibi de François Bergoin et Catherine Graziani, à Bastia. C’est un projet qu’ils entretenaient depuis longtemps. Ils ont fait deux escales et pour la 3ème escale on m’a demandé de faire un film. C’est parti de là. Le film n’est pas l’histoire du théâtre Alibi. C’est cette expérience que je cultive du cinéma que je mets au service du théâtre.
- Vous êtes multi-casquettes, vos projets ?
- J’ai en effet une double casquette, celle de producteur et celle de réalisateur. J’ai un projet de long métrage qui se tournera entièrement en Corse mais l’écriture n’est pas encore bouclée. Je me donne 2 ans pour que les choses mûrissent. J’ai d’autres projets aussi en tant qu’auteur-scénariste que je co-écris avec des cinéastes du bassin méditerranéen et des films en production qu’on est en train de tourner en Corse. Enfin, j’ai aussi des documentaires long-métrages : un en Israël et dans les territoires occupés palestiniens et un autre long-métrage documentaire qui se tournera dans 2 mois en Arménie, à Erevan.
- Comment percevez-vous ce festival Arte Mare ?
- C’est un festival qui colle parfaitement à l’esprit méditerranéen. La spécificité de ce festival c’est qu’il rassemble plusieurs visions du monde méditerranéen, des femmes cinéastes, des hommes cinéastes, des artistes divers, de jeunes réalisateurs plein de talent. On voit de plus en plus que la Corse rayonne, qu’il y a une émergence de talents et ce festival donne l’occasion de très belles rencontres.
- Ce sont 4 femmes, 4 bastiaises du quartier de Lupino qui tentent une aventure théâtrale pour la 1ère fois de leur vie. C’est un aller/retour entre la vie du théâtre, les répétitions, le moment du théâtre très fort qu’elles vivent et leur vie intime, leur vie sociale, leur solitude.
- Le message ?
- J’ai voulu montrer à travers ce film comment on pouvait trouver dans ces quartiers, qu’on pense quartiers défavorisés, une telle densité d’émotion et de gens qui se dévouent dans la vie, qui essayent d’avancer au-delà de ce que la vie leur met comme barrières. Ce sont des gens dévoués à la sensibilité humaine. Ces 4 femmes se battent pour faire avancer les choses mais en même temps, elles ont chacune une histoire personnelle forte.
- Le choix de ces 4 femmes ?
- Ces 4 femmes faisaient partie d’un atelier de théâtre mis en place par la Compagnie Théâtre Alibi de François Bergoin et Catherine Graziani, à Bastia. C’est un projet qu’ils entretenaient depuis longtemps. Ils ont fait deux escales et pour la 3ème escale on m’a demandé de faire un film. C’est parti de là. Le film n’est pas l’histoire du théâtre Alibi. C’est cette expérience que je cultive du cinéma que je mets au service du théâtre.
- Vous êtes multi-casquettes, vos projets ?
- J’ai en effet une double casquette, celle de producteur et celle de réalisateur. J’ai un projet de long métrage qui se tournera entièrement en Corse mais l’écriture n’est pas encore bouclée. Je me donne 2 ans pour que les choses mûrissent. J’ai d’autres projets aussi en tant qu’auteur-scénariste que je co-écris avec des cinéastes du bassin méditerranéen et des films en production qu’on est en train de tourner en Corse. Enfin, j’ai aussi des documentaires long-métrages : un en Israël et dans les territoires occupés palestiniens et un autre long-métrage documentaire qui se tournera dans 2 mois en Arménie, à Erevan.
- Comment percevez-vous ce festival Arte Mare ?
- C’est un festival qui colle parfaitement à l’esprit méditerranéen. La spécificité de ce festival c’est qu’il rassemble plusieurs visions du monde méditerranéen, des femmes cinéastes, des hommes cinéastes, des artistes divers, de jeunes réalisateurs plein de talent. On voit de plus en plus que la Corse rayonne, qu’il y a une émergence de talents et ce festival donne l’occasion de très belles rencontres.