Eric Simoni
Le scrutin du 28 juin prochain déchaine les passions, notamment en raison de la nouvelle alliance composée de l'avocat de divers gauche Jean-Sébastien de Casalta (20,02 %) , Jean Zuccarelli (13,83 %) et le candidat de droite Jean-Martin Mondoloni ( 8,96 %). Le maire sortant Pierre Savelli (30,43 %) et Julien Morganti (12,42 %) n'ont, quant à eux, pas formé d'unions pour le second tour.
Si Eric Simoni (5,93 %), tête de liste de Per Bastia affirme ne pas avoir été convié à des réunions concernant une possibilité d’alliance durant l'entre deux tours, la position officielle de Per Bastia (une composante de Corsica Libera et du PNC) pour le second tour sera connue dans quelques jours. " Aujourd'hui nous n'avons aucune garantie sur le renforcement des axes que l'on voudrait écarter comme le projet de la Carbonite. Les trois alternatives ne présentent pas de perspectives lisibles. Nous voulons un renforcement d’une démarche Pè a Corsica.", déclare Eric Simoni.
Concernant Unione per Bastia, le candidat nationaliste la qualifie comme " une alliance hétéroclite de recyclage des forces du passé qui se pare d’un vernis neuf." Et reprend. "Ils ne sont pas capable de créer des alliances naturelles donc je suis assez inquiets pour l'avenir. On ne peut pas avoir de regrets de n’avoir pas participé à cela."
Si Eric Simoni (5,93 %), tête de liste de Per Bastia affirme ne pas avoir été convié à des réunions concernant une possibilité d’alliance durant l'entre deux tours, la position officielle de Per Bastia (une composante de Corsica Libera et du PNC) pour le second tour sera connue dans quelques jours. " Aujourd'hui nous n'avons aucune garantie sur le renforcement des axes que l'on voudrait écarter comme le projet de la Carbonite. Les trois alternatives ne présentent pas de perspectives lisibles. Nous voulons un renforcement d’une démarche Pè a Corsica.", déclare Eric Simoni.
Concernant Unione per Bastia, le candidat nationaliste la qualifie comme " une alliance hétéroclite de recyclage des forces du passé qui se pare d’un vernis neuf." Et reprend. "Ils ne sont pas capable de créer des alliances naturelles donc je suis assez inquiets pour l'avenir. On ne peut pas avoir de regrets de n’avoir pas participé à cela."
Filippo de Carlo : "Je ne veux pas influencer la démocratie"
Les trois candidats du second tour essaieront de compter sur les 201 voix du petit Poucet des municipales.
La tête de liste de Forza Nova, Filippo de Carlo (2,07 %), le souligne volontiers " Depuis quelques semaines, tout le monde dans les soutiens des trois camps m’appelle."
Bien que le candidat de droite n'a aucune consigne de vote à donner - "je ne veux pas influencer la démocratie", explique-t-il - ce dernier "appelle à une réflexion commune" et à se poser les bonnes questions :"Continuer avec l'équipe en place en espérant qu’elle s’améliore ou faire un bond dans le passé ?."
Pour lui, Unione per Bastia est une "incohérence". La présence de Jean-Martin Mondoloni sur la liste le laisse à la fois "stupéfait et heureux car cela montre, encore une fois, que la vraie droite assumée c'est nous et pas lui. Au final il aime aussi ses petits copains de gauche."
La tête de liste de Forza Nova, Filippo de Carlo (2,07 %), le souligne volontiers " Depuis quelques semaines, tout le monde dans les soutiens des trois camps m’appelle."
Bien que le candidat de droite n'a aucune consigne de vote à donner - "je ne veux pas influencer la démocratie", explique-t-il - ce dernier "appelle à une réflexion commune" et à se poser les bonnes questions :"Continuer avec l'équipe en place en espérant qu’elle s’améliore ou faire un bond dans le passé ?."
Pour lui, Unione per Bastia est une "incohérence". La présence de Jean-Martin Mondoloni sur la liste le laisse à la fois "stupéfait et heureux car cela montre, encore une fois, que la vraie droite assumée c'est nous et pas lui. Au final il aime aussi ses petits copains de gauche."